Dossier d’aire d’étude IA49010663 | Réalisé par
Durandière Ronan (Contributeur)
Durandière Ronan

Chercheur auprès du Conseil départemental de Maine-et-Loire.

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Le Corre Chloé (Rédacteur)
Le Corre Chloé

Stagiaire Conservation départementale du patrimoine (1/03/2022 à 29/07/2022).

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  • enquête thématique départementale, Confluence Maine-Loire
Confluence Maine-Loire : présentation de l'aire d'étude
Auteur
Copyright
  • (c) Conseil départemental de Maine-et-Loire - Conservation départementale du patrimoine
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

  • Aires d'études
    Confluence Maine-Loire
  • Adresse
    • Commune : Bouchemaine
    • Commune : Béhuard
    • Commune : Savennières
    • Commune : Saint-Jean-de-la-Croix
    • Commune : Denée
    • Commune : Sainte-Gemmes-sur-Loire

1. Géographie et paysage

Situées à la périphérie sud-ouest de la ville d'Angers, de part et d'autre de la Maine et de la Loire, les six communes de l'aire d'étude Confluence Maine-Loire présentent une superficie générale de 7 531 ha. Si Savennières, Bouchemaine et Denée se développent sur une surface territoriale allant de 1 500 à 2 000 ha, Saint-Jean-de-la-Croix et Béhuard, situées en zone inondable, sont des communes plus petites, respectivement de 183 ha et 226 ha.

L'aire d'étude de la confluence Maine-Loire.L'aire d'étude de la confluence Maine-Loire.

Le territoire compte un peu plus de 13 000 habitants répartis très inégalement puisqu'environ 10 000 d'entre eux se retrouvent à Bouchemaine et Sainte-Gemmes-sur-Loire, communes situées à proximité immédiate de l'agglomération angevine (quatre des six communes font partie de la communauté d'agglomération Angers-Loire Métropole).

Le nombre de logements confirme cette tendance : on compte en effet 5 443 logements sur le territoire dont près de 4 000 sont implantés sur ces deux mêmes communes. Si la majeure partie de l'aire d’étude présente donc un caractère rural ou semi-rural, Bouchemaine et Sainte-Gemmes-sur-Loire sont des communes périurbaines marquées ces dernières années par une croissance forte de logements, notamment en zones pavillonnaires, et d'activités tertiaires.

Outre le caractère emblématique du lieu, à l'origine de la dénomination du département (de Maine-et-Loire), le secteur d'étude apparaît particulièrement remarquable tant d'un point de vue patrimonial que paysager. La Loire, après avoir traversé le Val d'Anjou, se heurte ici aux roches du massif Armoricain. La topographie plus marquée, avec une rive droite escarpée dominant une rive gauche en partie inondable, rythme les ambiances paysagères et offre de superbes perspectives sur le fleuve et ses rives. La confluence Maine-Loire depuis la pointe de l'île Chevrière.La confluence Maine-Loire depuis la pointe de l'île Chevrière. La Maine, vue de la rive droite depuis les prairies de la Baumette.La Maine, vue de la rive droite depuis les prairies de la Baumette. Vue de l'île de Béhuard et de la boire de la Guillemette depuis les hauts de la Roche-aux-Moines.Vue de l'île de Béhuard et de la boire de la Guillemette depuis les hauts de la Roche-aux-Moines.Les composantes familières des paysages ligériens sont ici bien représentées : îles et bancs de sable, rives verdoyantes, prairies bocagères inondables, promontoire rocheux. Ces caractères sont aussi liés aux activités humaines établies sur le territoire à partir de la fin de l'époque préhistorique. L'aspect stratégique du coteau, le carrefour d'échanges privilégiés que constitue la confluence, les réalisations spécifiques mises en œuvre tant pour la circulation sur le fleuve que pour l'aménagement de ses rives, les coteaux plantés de vignes, les formes particulières d'occupation de l'espace inondable et la qualité des points de vue offerts sur ces paysages illustrent l'anthropisation de cet espace singulier et le développement d'une architecture diversifiée depuis le Haut Moyen Âge.

L'originalité de ce secteur tient notamment à la culture de la vigne sur des coteaux idéalement exposés qui offrent un paysage viticole préservé, des appellations reconnues et un ensemble d'architectures particulièrement remarquables. Situé à proximité immédiate d'Angers, cette zone est également prisée dès la fin du Moyen Âge comme lieu de villégiature suburbaine associant l'architecture (châteaux et demeures) aux parcs et jardins d'agrément. Le phénomène s’intensifie et se démocratise au cours des XIXe et XXe siècles avec la multiplication d'habitations de plaisance dans les différents villages riverains de la Loire (ou de son bras sud, le Louet). Outre les aménagements liés au fleuve et à son usage (épis, cales, quais, ponts…), on soulignera les travaux importants entrepris à partir du deuxième quart du XIXe siècle pour la création de la ligne de chemin de fer d'Angers à Nantes, ouverte en 1847.

Le patrimoine du secteur apparaît donc particulièrement riche et diversifié donnant à voir aussi bien de grands domaines châtelains qu'un habitat traditionnel sur tertre, des centres-bourgs conservant une organisation ancienne associée à un urbanisme de villégiature plus récent. Sur ce territoire, le patrimoine architectural et paysager est déjà pris en considération à travers plusieurs types de protection. On compte en effet trois ZPPAUP (Béhuard, Denée, Savennières), en cours de modification en AVAP, mais aussi 20 protections au titre des Monuments historiques (dont 8 à Savennières et 5 à Denée). On signalera enfin que Béhuard, Denée et Savennières bénéficient du label régional "Petite cité de caractère".

Communes

AVAP

Protection Sites

Protection MH

Petite Citées de caractère

Béhuard

1

3

2

1

Bouchemaine

1

2

3

Denée

1 (ZPPAUP)

3

5

1

Sainte-Gemmes-sur-Loire

2

3

Saint-Jean-de-la-Croix

1

2

0

Savennières

5

8

1

Total

4

17

21

3

Protections et labels patrimoniaux de l'aire d'étude de la confluence Maine-Loire

2. Un patrimoine très documenté

Depuis la fin du XVIIIe siècle, les six communes de l'aire d'étude Confluence Maine-Loire ont fait l'objet d'une littérature abondante. Dès 1764, le curé Robin s'intéresse au « Camp de César » de Sainte-Gemmes-sur-Loire et publie ses recherches. Inaugurant la mode du "tourism", à la fin du siècle des gentilshommes anglais, élèves de l'Académie d'Angers, fouillent le site et recueillent des objets pour leurs collections.

Le site des Châtelliers à Sainte-Gemmes-sur-Loire. Lithographie. 1873.Le site des Châtelliers à Sainte-Gemmes-sur-Loire. Lithographie. 1873.

Savennières et Béhuard apparaissent dès 1821 dans les Recherches sur le Bas Anjou du précurseur Jean-François Bodin. Concomitamment, Jean-Jacques Delusse réalise plusieurs vues aquarellées de la confluence et de ses coteaux traduisant l'attrait encore balbutiant pour ces bords de Loire et leur pittoresque. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les communes de Bouchemaine, Savennières et Béhuard sont un passage obligé du tourisme de Loire et figurent en bonne place dans les premiers guides de voyageurs. Régulièrement, tout au long du XXe siècle, la littérature sur l'aire de la Confluence s'étoffe et se voit compléter, notamment, de travaux universitaires.

Outre une bibliographie abondante, les six communes de l'aire d'étude disposent de fonds d'archives importants. Dépendantes pour la plupart des grandes abbayes et église angevines, les anciennes paroisses de la confluence sont documentées par des fonds d'archives anciennes considérables, conservées aux Archives départementales de Maine-et-Loire, à l'image de celles du chapitre Saint-Laud d'Angers (série G) couvrant une grande parties des territoires de Saintes-Gemme-sur-Loire (Port-Thibault) et de Bouchemaine (Ruzebouc) ou encore de celles de l'abbaye Saint-Nicolas d'Angers (série H) concernant Épiré et Savennières. Il est à noter que plusieurs de ces fonds ont été exploités dans le cadre de travaux universitaires d'histoire médiévale ou moderne. La série 188 J (Chartrier de Brissac) contient par ailleurs une grande partie des archives de la seigneurie de Denée.Extrait du plan visuel de la châtellenie de Ruzebouc en Bouchemaine. Vers 1773.Extrait du plan visuel de la châtellenie de Ruzebouc en Bouchemaine. Vers 1773.

Les archives contemporaines sont également très riches. Parmi tant d'autres (cartes postales, photos anciennes, cartes et plans - séries O, S et Alpha…) citons notamment les archives de l'hôpital de Sainte-Gemmes-sur-Loire (4 N 221 à 269), intégralement conservées, depuis sa fondation en 1842. Elles contiennent en particulier une série complète de plans datant des années 1930 concernant la cité-jardin imaginée par l'architecte Ernest Bricard.

L'aire d'étude de la Confluence Maine-Loire présente l'intérêt d’être bien connue de la Conservation départementale du patrimoine. Les communes de Bouchemaine, Denée, Savennières, Sainte-Gemmes-sur-Loire et Saint-Jean-de-la-Croix ont fait l'objet d'un pré-inventaire topographique entre 1969 et 1975 et il existe aujourd'hui 111 dossiers « architecture » conservés au centre de ressources. L'inventaire thématique des parcs et jardins mené depuis 2007 dans le Département a par ailleurs mis en avant l'existence de 260 sites, dont 21 ont été étudiés sur l'aire d'étude concernée.

Les objets mobiliers des communes de Béhuard, Bouchemaine, Denée, Sainte-Gemmes-sur-Loire, Saint-Jean-de-la-Croix et Savennières ont également fait l'objet d'un inventaire complet par la Conservation des Antiquités et Objets d'art. Environ 370 objets font actuellement l'objet d'une notice détaillée :

- Béhuard (église Notre Dame, Calvaire et maison diocésaine) : 90 objets.

- Bouchemaine (église Saint-Symphorien et Saint-Aubin de Pruniers, chapelle de la Pointe) : 60 objets.

- Denée (église Notre-Dame) : 50 objets.

- Sainte-Gemmes sur Loire (église Sainte-Gemmes, presbytère, CESAM et lycée du Fresne) : 80 objets.

- Saint-Jean de la Croix (église Saint-Jean) : 25 objets.

- Savennières (églises Saint-Pierre et Saint-Aubin d'Épiré) : 65 objets.

Enfin, le Pôle archéologique a effectué récemment plusieurs diagnostics ou fouilles sur ou aux abords des églises paroissiales Saint-Pierre et Saint-Romain de Savennières (2010, 2018 et 2019) et Saint-Symphorien de Bouchemaine (2005 et 2007).

3. Un patrimoine remarquable

3.1. Le patrimoine en quelques chiffres

L'aire d’étude de la Confluence est connue de longue date pour sa richesse patrimoniale. La moyenne des sites par commune faisant l'objet d'une protection MH (20 sites soit 3,3 par commune) atteste d'une moyenne supérieure à celle du département de Maine-et-Loire (2,2 par commune), déjà très au-delà de la moyenne nationale (1,2 par commune). Savennières est la commune la plus représentée (avec 8 édifices faisant l'objet d'une protection MH) devant Denée (5 édifices). Saint-Jean-de-la-Croix ne possède aucun édifice protégé.

La typologie des édifices faisant l'objet d'une protection au titre des monuments historiques est variée. On observe une prédominance des églises et des châteaux (4 et 5 occurrences), mais le patrimoine vernaculaire n'est pas absent avec l'inscription de deux moulins à vent à Savennières (moulins de Plussin et la Petite-Roche). Il est à noter que l'exceptionnel site gallo-romain des Châtelliers à Sainte-Gemmes-sur-Loire a fait l'objet d'une protection pour raison archéologique dès 1975.

L'église Saint-Pierre-et-Saint-Romain de Savennières (classée MH en 1840).L'église Saint-Pierre-et-Saint-Romain de Savennières (classée MH en 1840).

À l'achèvement de la première phase de recensement (voir dossier de présentation de l'opération), 938 édifices présentant un intérêt patrimonial ont été retenu. Bouchemaine et Savennières apparaissent comme les communes présentant le plus d'édifices recensés, respectivement 236 et 221. Saint-Jean-de-la-Croix est la commune la moins représentée avec 48 édifices. La proportion des objets recensés varie bien évidemment en fonction de la surface des communes, Bouchemaine avec 1 981 ha étant le territoire comportant le plus d'édifices recensés et Saint-Jean-de-la-Croix, avec 183 ha, le moins pourvu. Néanmoins, les moyennes des édifices recensés à l’hectare, oscillant entre 0,10 et 0,12 pour les 4 communes les plus étendues (Bouchemaine, Denée, Sainte-Gemmes-sur-Loire et Savennières) apparaissent relativement homogènes. Béhuard et Saint-Jean-de-la-Croix présentent par contre une densité de bâti recensé plus forte à l'hectare respectivement 0,26 et 0,30/ha.

Sur l'ensemble de l'aire d'étude, environ 1 % du bâti recensé présente une architecture à caractère exceptionnel ou remarquable. Parmi les édifices exceptionnels retenus, on peut citer l'église paroissiale Saint-Pierre et le site de la Coulée de Serrant à Savennières, l'église Notre-Dame de Béhuard, le château de Mantelon ou encore le centre hospitalier de Sainte-Gemmes sur Loire. Il est à noter que les édifices ayant fait l'objet d'une protection au titre des Monuments historiques n'ont pas systématiquement été qualifiés d'édifices exceptionnels, leur architecture ne présentant pas nécessairement une dimension nationale ou régionale (comme les moulins de Savennières). À l'inverse, certains édifices qualifiés d'"exceptionnels" n'ont pas fait l'objet d'une protection (comme le CESAM de Sainte-Gemmes-sur-Loire).

Bouchemaine est la commune présentant la plus forte proportion de bâtiments exceptionnels ou remarquables (28,4 %), devant Sainte-Gemmes-sur-Loire (20,8 %) et Savennières (19,5 %). Le dynamisme économique de ces communes situées en périphérie de la capitale angevine et au cœur de la zone de confluence, peut en partie expliquer ce phénomène mais l’hypothèse demandera à être étayée par une chronologie plus fine des grandes phases de leur développement urbain. À Sainte-Gemmes-sur-Loire et à Savennières, comme à Denée, l'essor important du commerce du vin, à partir du XVIIe siècle, et le développement du commerce de Loire seront notamment des facteurs intéressants à caractériser.

Par son insularité, le cas de Béhuard apparaît singulier. Tourné essentiellement vers une économie rurale, notamment liée à la culture du chanvre et du lin, jusqu'au XIXe siècle, le territoire communal doit en grande partie sa vitalité à la persistance de son pèlerinage séculaire puis au développement d'un tourisme précoce.

3.2. Le choix de la thématique de la villégiature

La situation de l'aire d'étude à proximité de la ville d'Angers, sa relation au fleuve (la Loire) et à son affluent (la Maine) et la richesse de son patrimoine architectural ont permis d’orienter la recherche vers la thématique de la villégiature ligérienne (voir dossier de présentation de l'opération), sujet d’intérêt pour les deux partenaires : Région des Pays de la Loire et Département de Maine-et-Loire.

Cette thématique que l'on peut nommer villégiature "périurbaine" ou de "bords de ville", voire villégiature "de bord de l'eau", s'inscrit plus largement dans un programme régional qui, outre l'étude de l'architecture de la villégiature balnéaire (Loire-Atlantique et Vendée) déjà menée, propose des études plus spécifiques sur ce sujet en Sarthe (dans le cadre de l'opération d'inventaire de la vallée du Loir) et en Mayenne. On signalera également le travail d'étude réalisé sur cette question, à partir du recensement du patrimoine remarquable de la périphérie d'Angers-centre, réalisé entre 1999 et 2000 (aire d'étude d'Angers extra-muros) préalablement à la révision de l'ancien POS, ayant donné lieu à plusieurs communications et publications scientifiques*.

Pour la confluence, plusieurs problématiques ont pu être dégagées faisant l'objet d'autant de dossiers collectifs ou thématiques.

1. L'histoire longue de l’habitat suburbain aux portes d’Angers depuis la fin du XVe siècle jusqu’à l’époque contemporaine

- Les typologies et les caractères architecturaux de cet habitat (implantation, orientation, percements, matériaux, décors)

- Le développement de cette architecture depuis la ville vers les bords du fleuve, en lien avec les réseaux de circulation.

- Les rapports entre architecture, jardins et grands paysages ligériens (voir dossier collectif Les maisons de villégiature de la confluence Maine-Loire)

2. Les nouveaux modes d’appréciation de la nature et du paysage tels qu'ils apparaissent notamment dans les guides à l'usage des premiers excursionnistes, mais aussi ceux "des monuments" dont certains revêtent un caractère emblématique en Anjou : église de Savennières et de Béhuard, classées MH respectivement en 1840 et 1868 (voir dossier thématique Des lieux à voir : les sites pittoresques de la confluence Maine-Loire)

3. Les réseaux qui permettent d"y accéder : lignes de bateaux à vapeur, chemin de fer, tramway (voir dossier thématique Les réseaux et les voies de circulation sur le secteur de la confluence Maine-Loire)

4. Les loisirs fluviaux et les modes de vie qui concourent à la culture du fleuve (voir dossier thématique Loisirs et sociabilité en bord de rives Maine-Loire)

Vue du village de la Pointe depuis la rive sud de la Loire. Le quai du Port-Boulet et le Petit-Serrant.Vue du village de la Pointe depuis la rive sud de la Loire. Le quai du Port-Boulet et le Petit-Serrant.

L'étude comporte 93 dossiers : 6 dossiers de présentation de commune, 3 dossiers thématiques, 2 dossiers collectifs et 82 dossiers individuels.

* Voir notamment Dominique Letellier-d'Espinose et Olivier Biguet, "Entre ville et campagne, la villégiature à Angers (Maine-et-Loire) au XIXe siècle", In Situ [En ligne], 12 | 2009, mis en ligne le 03 novembre 2009. "Aux lisières de la ville", 303, arts, recherches et créations, n° 118, novembre 2011.

  • Sites de protection
    liste du patrimoine mondial, site inscrit, zone de protection du patrimoine architectural et urbain, abords d'un monument historique

Documents d'archives

  • Archives départementales de Maine-et-Loire ; 392 J. Fonds Henri Lapart.

Bibliographie

  • Panorama de la Loire. Voyage de Nantes à Angers, et d'Angers à Nantes, sur les bateaux à vapeur. Nantes : Mellinet-Malassis. 1829, 112 p.

  • Panorama de la Loire. Voyage de Nantes à Angers, et d'Angers à Nantes, sur les bateaux à vapeur. Nantes : Mellinet-Malssis. 1830, 144 p.

  • Panorama de la Loire ou voyage historique et pittoresque sur les bateaux à vapeur : Nantes, Angers, Tours, Orléans et lieux intermédiaires. Nantes : P. Sébire. 1845, 106 p.

  • BERTOLDI, Sylvain, JACOBZONE, Alain. Angers au cœur : chroniques d'une ville, Société des études angevines, 2008, 383 p.

  • CUSSONNEAU, Christian. "Des blairies aux fours à chanvre : architecture rurale de la vallée d'Anjou". Revue 303, arts, recherches et créations, n° 56, 1998.

    p. 20-31
  • DION, Roger. Histoire des levées de la Loire, Paris, 1961, 312 p.

  • DUBOIS-RICHIR, Amélie. La Loire au XIXe siècle : le fleuve et ses riverains, de Saumur à Bouchemaine, thèse en Histoire moderne et contemporaine, Angers, université d’Angers, 2001, 4 volumes, 950 p.

  • GAY, Jean-A., Sports et jeux d’exercice en Anjou. Angers, édition de l'Ouest, 1947, 236 p.

  • GIRAUD-LABALTE, Claire. Les Angevins et leurs monuments 1800-1840. Angers, Société d'Études angevines, 1996, 361 p.

  • GIRAUD-LABALTE, Claire, BARBIER, Patrick (dir.). Les années du romantisme. Musique et culture entre Paris et l’Anjou (1823-1839), Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2012, 275 p.

  • LETELLIER-D'ESPINOSE, Dominique, BIGUET, Olivier. "Entre ville et campagne, la villégiature à Angers (Maine-et-Loire) au XIXe siècle", In Situ [En ligne], 12 | 2009, mis en ligne le 03 novembre 2009, consulté le 13 mars 2020. URL : http://journals.openedition.org/insitu/6590

  • LEVÊQUE, Isabelle. Les parcs et jardins de l'Anjou. Au fil de l'histoire. Lyon, Lieux-Dits, 2015, 252 p.

  • LITOUX, Emmanuel, CUSSONNEAU, Christian, et al. Entre ville et campagne, Demeures du Roi René en Anjou. Images du patrimoine, 254, 72 p.

  • MANASE, Viviane, ORAIN, Véronique. Marine et rivage de Loire en Anjou, Conseil général de Maine-et-Loire, 1993, 56 p.

  • MARAIS, Jean-Luc, BERGÈRE, Marc. Le Maine-et-Loire aux XIXe et XXe siècles. Paris, Picard, 2009, 394 p.

  • MASSIN-LE GOFF, Guy. Les château néogothique en Anjou, Paris, 2007, 287 p.

  • PELLOQUET, Thierry. La Loire angevine, territoire de villégiature, in Le temps des vacances. Revue 303. Hors-série n° 118.

  • PORT, Célestin. Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire, 3 vol., Paris-Angers, 1874-1878 ; réédition, mise à jour et augmentée (coll.), 4 vol., Angers : 1965-1989 ; supplément (Sarazin, André), 2 vol. Angers : 2004.

  • PORT, Célestin. Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire, 3 vol., Paris-Angers, 1874-1878 ; réédition, mise à jour et augmentée (coll.), 4 vol., Angers : 1965-1989 ; supplément (Sarazin, André), 2 vol. Angers : 2004.

  • DURANDIÈRE, Ronan. La confluence Maine-Loire. Territoire de villégiature. Images Patrimoines en région, Nantes, Éditions 303, 2021, 136 p.

Date(s) d'enquête : 2016; Date(s) de rédaction : 2016
(c) Conseil départemental de Maine-et-Loire - Conservation départementale du patrimoine
Durandière Ronan
Durandière Ronan

Chercheur auprès du Conseil départemental de Maine-et-Loire.

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Le Corre Chloé
Le Corre Chloé

Stagiaire Conservation départementale du patrimoine (1/03/2022 à 29/07/2022).

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