Dossier d’œuvre architecture IA49010776 | Réalisé par
  • inventaire topographique
Maison ou Logis Bourbon, 10 rue du Logis-Bourbon, Fontevraud-l'Abbaye
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
  • (c) Conseil départemental de Maine-et-Loire - Conservation départementale du patrimoine

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Fontevraud-l'Abbaye - Montsoreau - Saumur-Sud
  • Commune Fontevraud-l'Abbaye
  • Adresse 10 rue du Logis-Bourbon
  • Cadastre 1813 E 68 à 75 ; 2011 F 53, 97, 98, 919
  • Dénominations
    maison
  • Appellations
    maison ou Logis Bourbon
  • Parties constituantes non étudiées
    parc

Le Logis Bourbon est l'un des bâtiments qui faisaient à l'origine partie du complexe monastique de Fontevraud, mais qui après les ventes des biens nationaux et le redimensionnement de l'ancien site abbatial en ont été dissociés pour se fondre désormais dans la trame du bourg. Amputé et très remanié, le bâtiment conserve une partie de son allure, mais n'est plus réduit qu'à un tronçon de ce qu'était l'ancienne aile du palais abbatial érigée vers 1739 pour accueillir les quatre plus jeunes filles de Louis XV. Par ailleurs, ce bâtiment témoigne d'un programme royal construit, à l'économie, par l'un des architectes français majeurs du milieu du XVIIIe siècle, Jean Aubert, sous le contrôle des plus grands de ses pairs. Après un destin heurté qui en a fait une propriété privée, puis un bâtiment concédé à l'administration militaire, il fut récemment restauré, et attend désormais une affectation dans le cadre de l'Abbaye Royale de Fontevraud à laquelle il est de nouveau rattaché.

Ce bâtiment n'est pas le premier auquel fut donné le nom de Logis Bourbon sur ce site.

Quand Éléonore de Bourbon décide d'intégrer à la grande clôture le clos de vigne qui borde l'abbaye à l'ouest, pour s'y réfugier lors d'une épidémie, en 1578, elle fait rapidement ériger là une maison, vraisemblablement en rez-de-chaussée, plus tard connue sous le nom du Petit logis de Bourbon ou Logis Bourbon. De la même manière le Clos de la Vignerie devint alors le Clos-Bourbon, entouré de hauts murs. Plusieurs autres édifices sont construits dans ce qui devient en quelque sorte le parc du palais abbatial, où l'abbesse peut se rendre par un pont enjambant la voie encaissée qui file au sud vers l'Ânerie et Loudun.

En 1738, l'état des finances royales est tel que le Louis XV se voit proposer par son administration des Finances de placer ses cinq plus jeunes filles hors de Versailles pour alléger les dépenses liées au train de sa Maison. Le choix de Fontevraud s'impose du fait de son prestige et ce sont finalement les quatre jeunes Filles de France qui y sont accueillies : Victoire de France (1733-1799) dite Madame Quatrième ; Sophie de France (1734-1782) dite Madame Cinquième, Thérèse-Félicité de France (1736-1744) dite Madame Sixième et Louise de France (1737-1787) dite Madame Septième ou Dernière.

Toutes quatre sont dans un premier temps logées dans le palais abbatial, mais il est rapidement convenu d'agrandir le palais pour améliorer leur hébergement. Un premier projet est dressé par l'architecte Jean Aubert (vers 1680-1741). Celui-ci, élève de Jules Hardouin-Mansart, est architecte du roi depuis 1707 et membre de l'Académie royale d'architecture depuis 1720. Il développe dans ses principales réalisations un art Régence puis rocaille, marqué par une prédilection pour les bossages continus en table, les baies plein-cintre ou les clefs saillantes très ornées. Même si règne désormais sur l'abbaye une abbesse de la maison de Rochechouart de Mortemart, il est possible que la candidature de Jean Aubert ait été appuyée pour le projet fontevriste par sa proximité avec les Bourbon, famille très liée à l'histoire de l'abbaye et dont il fut l'un des architectes attitrés : il réalise pour eux les écuries de Chantilly en 1719-1736, reprend le Palais-Bourbon en 1724-1726, achève l'hôtel de Lassay en 1724-1730.

Son projet pour Fontevraud est ambitieux et outre l'aile destinée à Mesdames de France, il envisage la reprise d'une large partie du palais abbatial. L'ensemble est jugé trop onéreux et la même année, il doit réviser plusieurs fois son projet pour une réalisation de moindre envergure. Il s'agit, en définitive, de se limiter au seul prolongement vers l'ouest d'une aile préexistante du palais abbatial, dont il conserve le gabarit et la structure d'ensemble et qui doit être destinée au logement des deux plus grandes des quatre enfants. Cette prolongation occidentale enjambe la rue pour s'étendre dans le Clos-Bourbon par le biais d'une voûte qui est prolongée au sud pour former aussi la liaison entre les jardins abbatiaux et le clos, redessinant un jardin à parterres, broderies et bosquets. Les anciens bâtiments du quart nord-est du Clos Bourbon sont aussi réaménagés afin d'accueillir des espaces fonctionnels et de service pour la suite des princesses.

Le devis de construction en est dressé par Jacques V Gabriel (1667-1742), Premier architecte et Inspecteur général des bâtiments du roi, directeur de l'Académie royale d'architecture. Le marché est adjugé le 14 janvier 1739, à Versailles, à Alexandre Cailleau père (1675-1750), résidant à Fontevraud, et à Alexandre Cailleau fils (1708-1779), résidant à Saumur, entrepreneurs des travaux du roi.

Les travaux commencent dès 1739, avec construction de la voûte (incluant la réfection et consolidation des ponts et voûtements préexistants) et de l'aile. La réception des travaux de gros-oeuvre fut prévue pour la fin de l'année 1739, les finitions devant être achevées avant fin avril 1740. Le chantier se poursuit pourtant au fil de modifications parfois sollicitées par Mesdames de France ou des abbesses Louise-Françoise de Rochechouart de Mortemart, à la mort de qui succède en 1742 Louise-Claire de Montmorin Saint-Herem. Une chapelle, non initialement prévue est ainsi aménagée, ainsi qu'un cheminement septentrional direct et privatif permettant aux enfants de pouvoir assister aux offices paroissiaux en longeant le presbytère sans quitter la clôture. Une orangerie est aussi installée dans le Clos-Bourbon. Les bâtiments, ses adjonctions et autres aménagements furent estimés à 71.000 livres.

En 1748, Victoire quitte Fontevraud pour Versailles, suivie de ses deux soeurs en 1750 (Thérèse-Félicité étant décédée là en 1744). Le bâtiment est dès lors sans affectation spécifique, simple prolongement des appartements abbatiaux.

Durant la Révolution française, le Logis Bourbon, comme le reste de l'abbaye est saisi comme bien national et forme, avec l'ensemble du Clos-Bourbon, le onzième des dix-neuf lots détaillés lors de la division des biens composant l'ancienne abbaye de Fontevraud, selon le partage qui en est fait lors de l'estimation du 2 novembre 1792. Pour l'isoler des lots voisins, ce partage le dissocie du reste du palais abbatial et limite l'extension orientale du Logis-Bourbon à l'aplomb de la rue qui file à l'Ânerie, les administrateurs des biens nationaux ayant décidé que la voûte serait alors à détruire. Le bâtiment subit pillage et dégradation : les huisseries sont enlevées et les feuilles de plomb des toitures arrachées, livrant charpente et intérieurs au ruissellement des eaux pluviales.

Ainsi dégradé et nécessitant d'importants travaux, le bâtiment ne trouve acquéreur que le 11 messidor an IV (29 juin 1796), lorsque le cultivateur René Derancher l'achète pour 7.762 francs.

La voûte, très abîmée, est détruite définitivement en juillet 1797, laissant en surplomb de chaque côté de la rue les corps éventrés de l'ancienne aile du palais et son prolongement de Bourbon.

Le Logis Bourbon, ainsi tronçonné passe vers 1800 aux mains du notaire Hudault, par ailleurs associé à une entreprise de salpêtrier, dont il installe en 1805 l'atelier dans l'orangerie de Bourbon. Il est possible qu'il ait fait de plusieurs des bâtiments annexes du Clos-Bourbon les matières premières de son exploitation (ce fut sans doute le cas de la chapelle Notre-Dame-de-Pitié), à moins que certaines de ces constructions (dont le vieux Petit logis de Bourbon) n'aient déjà été détruites auparavant (et peut-être avant même la Révolution). En 1813, sur le cadastre napoléonien la plupart des bâtiments autrefois situés entre le logis et le presbytère ont disparu. À cette même date, le logis principal est déjà largement remanié et redimensionné : le mur oriental, à l'aplomb de la rue, a été reconstruit et une bonne parie des travées occidentales ont été détruites, réduisant l'ancienne aile à un volume de six travées (sur les onze qui se trouvaient de ce côté-ci de la voûte !). La propriété constitue dès lors une maison individuelle de notable, dotée d'un grand parc. Les travaux de réaménagement du logis furent considérables et une étude d'archéologie du bâti sur ces maçonneries a montré que près d'un tiers de l'actuelle façade résulte des reprises menées entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Au cours de ces travaux d'aménagements est aussi érigée l'habitation qui, au nord de l'aile, longe l'actuelle rue du Logis-Bourbon (tournant le dos au parc).

De nouveaux chantiers sont conduits plus tard. La galerie sur poteau qui en façade postérieure assure la distribution de l'étage-carré fut reprise totalement à la fin du XIXe ou au début du XXe siècle.

Le bâtiment et le parc sont réquisitionnés en 1939 par l'administration militaire. L'armée allemande l'occupe en 1940-1944 et, après la guerre, le Ministère de la défense installe un escadron de blindés sur le site, les bâtiments étant affectés à son fonctionnement.

Le Logis-Bourbon et l'Orangerie, ainsi que le parc, sont classés monuments historiques par arrêté du 12 octobre 1962 (protection répétée dans l'arrêté de classement du 28 août 1989) ; l'orangerie toutefois est détruite sans autorisation vers 1977 et dans le même temps les autres vestiges de bâtiments de service qui flanquaient le mur nord de la clôture. Demeurés aux mains de l'État, le Logis-Bourbon et son Clos ont aujourd'hui intégré la structure culturelle de l'abbaye de Fontevraud et le bâtiment a récemment connu d'importantes restaurations.

Le logis des filles de Louis XV

Le bâtiment conçu par Jean Aubert consistait en une aile prolongeant le palais abbatial qui, en 1738, s'achevait à la limite ouest de la clôture de l'abbaye, mais était prolongé là par une voûte enjambant la rue encaissée (actuelle rue du Logis-Bourbon) afin d'accéder de plain-pied au Clos-Bourbon et par une petite galerie latérale elle aussi sur voûte. Incluant le franchissement de la rue, le nouveau bâtiment est long de douze travées. Il est intégralement construit en moyen appareil de tuffeau, avec solin de deux assises de calcaire dur, et couvert d'ardoise. Il se compose d'un rez-de-chaussée, d'un étage-carré et d'un comble à surcroît, avec toit à longs pans brisés et croupe. Au centre de cette aile édifiée sur le Clos-Bourbon se trouve une grande travée d'escalier tournant à retour, en maçonnerie. La hauteur de chaque étage est conditionnée par celle du palais abbatial que cette aile prolonge, répercutant ainsi une forte hiérarchie des espaces. Toutefois, le rez-de-chaussée est ici particulièrement réduit du fait de ce que le bâtiment s'adapte à une légère déclivité ouest-est de la topographie, le niveau du sol étant un peu plus élevé dans le Clos-Bourbon que dans l'enceinte abbatiale. Ce rez-de-chaussée est ainsi assez bas de plafond (7 pieds, soit un peu plus de 2 m de haut) ; il était constitué de salles de stockage accessibles individuellement depuis l'extérieur, par des portes en façade principale et d'autres situées sous la coursière en façade postérieure. L'étage-carré, de bien plus haut développement (14 pieds de haut, soit près de 4m50), accueillait les appartements des filles de Louis XV. Ici se trouvaient les appartements de Madame Quatrième et Madame Cinquième, accessibles de part et d'autre de la cage d'escalier et composés chacun d'une antichambre (avec garde-robe donnant accès par un escalier tournant sans doute à une petite salle en mezzanine), d'une chambre (dotée d'une resserre à « chaise » de toilette) et d'un cabinet à alcôve en abside ; en bout d'aile se trouvait un salon commun. Ces pièces étant distribuées en enfilade depuis le palier de l'escalier, mais le flanquement en façade postérieure d'une coursière extérieure sur file de poteaux permettait une distribution de service de chacun de ces espaces. Le comble à surcroît, à chambres sous charpente lambrissée (là encore basses de plafond : 7 pieds, soit un peu plus de 2 m de haut), servait au logement des gouvernantes religieuses et autres membres du personnel féminin des demoiselles. Ces chambres étaient desservies par une coursière intérieure qui longeait ces pièces au nord.

La façade du Logis Bourbon est traitée de manière très sobre, avec chaînes et jambes à bossages en table en cadrant les travées bâties et scansion horizontale par des bandeaux. Il est à noter que l'architecte a eu le souci d'éviter de rendre trop nette la hiérarchie du développement intérieur des étages en établissant en façade les bandeaux de telle sorte qu'ils ne correspondant pas à la réalité des niveaux : l'étage-carré est en effet plus haut que ne le laisse penser l'espace compris entre deux bandeaux et le surcroît du comble est plus petit que l'espace compris entre bandeau et corniche. Les baies sont encadrées de simples chambranles à crossettes, que l'on retrouve dans les autres réalisations de Jean Aubert, mais le souci d'économie se perçoit à la sobriété des élévations si on la compare aux autres productions de l'architecte : ici, on ne trouve pas d'avant corps, ni de balustrade, les bossages en table sont des plus réduits, l'arc plein-cintre est absent et aucun élément sculpté ne vient embellir les clefs. En façade postérieure où se greffe la coursière, la logique des travées de baies est respectée, mais plusieurs sont aveugles, au moins en partie, et seuls les encadrements animent les maçonneries.

Les récentes restaurations ont permis de rendre visible les ailerons à volutes des lucarnes à fronton triangulaire qui amortissent chaque travée, de même qu'elles ont supprimé les grands volets installés au XIXe siècle.

Un corps d'une seule travée venait flanquer cette aile au nord, au niveau de la rue, assurant la liaison avec d'autres éléments du palais abbatial. Un second corps, flanquant l'aile en retour d'équerre également au nord, fut ajouté un peu plus à l'ouest, pour former à l'étage-carré une chapelle donnant de plain-pied sur la coursière de desserte des appartements des filles de Louis XV. Cette chapelle est d'une élévation différente, plus sobre encore et construite en moellons de tuffeau enduits. La coursière se continuait plus loin encore vers l'ouest, probablement pour fermer visuellement la cour nord. Elle devait aussi former là un passage couvert carrossable donnant accès vers le parc de Bourbon depuis la cour nord qui disposait d'une grande porte en demi-lune ouverte sur la rue au nord-ouest. Entre celle-ci et le logis de Mesdames de France, divers bâtiments fonctionnels avaient été édifiés près de la Cour-des-poules et autour de ce qui devait être le vieux Petit logis Bourbon, réaménagé lui aussi à cette occasion.

L'actuel Logis Bourbon

Hormis le fait que le bâtiment est largement tronqué, une bonne part de sa structure reprend l'organisation ancienne. L'aile, plus courte, compte six travées et son toit a été remanié en croupe à l'est également.

La travée d'escalier, presqu'au centre, témoigne des remaniements du début du XIXe siècle et la rampe en fer forgé date de cette réfection. La distribution des pièces du rez-de-chaussée est désormais en enfilade. À l'étage-carré, l'organisation ancienne avec enfilade doublée d'une coursière perdure, même si cette dernière a été reconstruite en maçonnerie de brique sur charpente métallique entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle. Le comble a été très dégradé, les lambris ont disparu. À l'exception des cheminées du comble, les autres ont été refaites lors des travaux réalisés vers 1800, voire ajoutées, comme au rez-de-chaussée devenu habitable et dont nombre de portes furent reprises en fenêtres.

L'aile de la chapelle a elle aussi connut d'importantes transformations pour devenir habitable : un pignon a été construit au sud (où le Logis Bourbon a été tronqué) et des cheminées d'angle (époque fin XVIIIe-début XIXe siècle) ont été installée dans certaines salles. L'escalier hors-œuvre qui se greffe au nord-est sur l'ancienne chapelle date vraisemblablement de la fin du XIXe siècle ; on observe sur l'arc qui en couvre la porte, au nord, une clef sculptée d'un buste en armure, probable remploi d'un bloc du XVIe siècle.

Le corps sur rue, au nord ouest, est en moellons enduits.

  • Murs
    • calcaire
    • enduit
    • moyen appareil
    • moellon
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    rez-de-chaussée, 1 étage carré, comble à surcroît
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans brisés
    • croupe brisée
  • Escaliers
    • escalier intérieur : escalier tournant à retours en maçonnerie
  • Statut de la propriété
    propriété de l'Etat
    propriété publique
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Protections
    classé MH, 1962/10/12
  • Référence MH

Documents d'archives

  • AD Maine-et-Loire. 1 Fi 264. Fonds iconographique. Plan de partage en lots des bâtiments de l'abbaye (1792, sur fond de plan antérieur).

  • AD Maine-et-Loire. 1 Q 213. Biens nationaux. District de Saumur, procès-verbaux d'estimation des biens de 1ère origine : estimation de l'abbaye de Fontevraud et partage en 19 lots (2 novembre 1792).

  • AD Maine-et-Loire. 1 Q 712. Biens nationaux. District de Saumur, vente des biens mobiliers : Fontevraud (1790-An II).

  • AD Maine-et-Loire. 4 Q 13830. Domaines, enregistrement, hypothèques. Registre de conservation des hypothèques, transcription n°4 (f°8 et sq.) : ente des 3/5e de l'ancien Logis Bourbon, par Hudault (31 janvier 1861).

  • AN. Q1 629. Titres domaniaux. Maine-et-Loire ; titres de l'arrondissement de Saumur. Plan projeté du logis des Filles de France à Fontevraud, dressé par Jean Aubert (1738).

  • AN. O1 1905. Maison du roi ; Direction générale des bâtiments, jardins, arts et manufactures royales ; châteaux, églises, bâtiments et monuments divers : correspondance, travaux exécutés. Fontevrault (abbaye) : Logement de Mesdames. Travaux, correspondance (1738-1750).

  • AN. O1 1906. Maison du roi ; Direction générale des bâtiments, jardins, arts et manufactures royales ; châteaux, églises, bâtiments et monuments divers : correspondance, travaux exécutés. Fontevrault (abbaye). Journal de renvois, mémoires, etc. (1750- 1751).

  • CCO (Fontevraud-l'Abbaye, Maine-et-Loire). Centre de ressources. Documentation générale. Plan de l'abbaye dit de 1762 (3e quart du XVIIIe siècle).

Bibliographie

  • GALLET, Michel. Les architectes parisiens du XVIIIe siècle. Dictionnaire biographique et critique, Paris : Éditions Mengès, 1995.

  • PALUSTRE, Bernard. Une dépendance de l'abbaye de Fontevrault, le Logis Bourbon. In La correspondance historique et archéologique, Paris, 1895.

    p. 371-379
  • POIGNANT, Simone. L'abbaye de Fontevrault et les filles de Louis XV, Paris : Nouvelles éditions latines, 1966.

  • PRIGENT, Daniel. Méthodes d'investigations archéologiques utilisées à l'abbaye de Fontevraud. Fontevraud, Histoire-Archéologie, n°4, 1995-1996, Comité d'histoire fontevriste, Fontevraud : 1997.

    pages 17-38
Date(s) d'enquête : 2010; Date(s) de rédaction : 2010
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
(c) Conseil départemental de Maine-et-Loire - Conservation départementale du patrimoine