Dossier d’œuvre architecture IA49010784 | Réalisé par
  • inventaire topographique, Fontevraud-l'Abbaye - Montsoreau
Parc du Clos-Bourbon, Fontevraud-l'Abbaye
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
  • (c) Conseil départemental de Maine-et-Loire - Conservation départementale du patrimoine

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Fontevraud-l'Abbaye - Montsoreau - Saumur-Sud
  • Commune Fontevraud-l'Abbaye
  • Adresse 10 rue du Logis-Bourbon
  • Cadastre 1813 E 68 à 75 ; 2011 F 53, 97, 98, 919
  • Dénominations
    parc
  • Appellations
    parc du Clos-Bourbon
  • Parties constituantes non étudiées
    chapelle, maison, orangerie, communs, logis abbatial, abri troglodytique, mur de clôture, glacière, citerne, parc de stationnement

Visible depuis de nombreux points de vue par ses clôtures et murs de soutènement, le Clos Bourbon, traduit de nos jours encore dans le paysage fontevriste l'empreinte forte des espaces monastiques qui ont pu limiter l'extension du bourg.

Malgré la présence du Logis Bourbon (très amputé), les vestiges architecturaux de la période abbatiale sont peu nombreux en un site où plusieurs constructions d'importance furent érigées sur trois siècles, notamment la chapelle Notre-Dame-de-Liesse (au XVIe siècle), le Gros Pavillon de Madame de Montespan (au XVIIe siècle), la voûte et le Logis Bourbon (au XVIIIe siècle).

Jardin d'agrément des abbesses, le parc est en cours de reconquête paysagère.

Du XIIe au XVIe siècle, les terres qui bordaient le cimetière paroissial, au sud, formaient un espace agricole exploité par l'abbaye qui prit le nom de Vignerie. L'exploitation viticole dut y être précoce et des vestiges d'abris troglodytiques des XVe-XVIe siècles, sans doute à usage de dépendances liées à la vinification ou au stockage du vin ont été mis au jour en 2014 sur ce site. Il est très probable que dès le Moyen Âge cet espace fut circonscrit d'une première clôture.

Lors d'une épidémie, Éléonore de Bourbon fait en 1578 construire un pont (d'abord en bois puis reconstruit en pierre en 1580) pour franchir la route qui, en contrebas du palais abbatial, menait du bourg de Fontevraud à l'écart de l'Ânerie et à Loudun. Ainsi, elle rattache à l'ensemble monastique la Vignerie, qui dès lors est appelé Clos Bourbon, pour faire aménager là un petit logis, afin d'y résider en période de contagion. Elle fait dans le même temps ériger un grand mur d'enceinte autour de cette vaste parcelle quadrangulaire de près de 150x350 mètres (soit plus de 5 hectares), ce qui permet d'intégrer le Clos Bourbon à la Grande clôture.

Une chapelle est édifiée entre 1589 et 1591 au sein de cet enclos : Notre-Dame-de-Liesse, dite aussi chapelle de Bourbon ; dans le même temps, semble-t-il, le petit logis de Bourbon est aussi repris.

D'autres bâtiments sont ensuite construits entre le palais de l'abbesse et le Clos Bourbon : au-dessus de la route de Loudun, la partie nord du tablier du pont accueille (vers 1680 ?) une petite chapelle, reliée au logis abbatial par une galerie (construite vers 1676-1680).

En 1687, Madame de Montespan, soeur de l'abbesse Marie-Madeleine-Gabrielle de Rochechouart de Mortemart est autorisée à construire à l'ouest du Clos Boubon un bâtiment, le Gros pavillon, à cheval sur la clôture et relié à la fondation pieuse et caritative qu'elle vient de fonder juste au-dehors, l'Hôpital de la Sainte-Famille. Ce pavillon et une partie de l'hôpital sont toutefois détruits vers 1710 et les quelques murs qui en restent, du côté du clos, sont transformés en dépendances (remise et magasin de stockage).

C'est dans les premières décennies du XVIIIe siècle que, contre la chapelle préexistante, une bibliothèque vient couvrir la partie sud du tablier du petit pont qui menait des appartements abbatiaux à « Bourbon ».

En 1738, le Clos Bourbon connaît de grands bouleversement à la suite de l'installation des quatre filles cadettes de Louis XV et de la reine Marie Leczinska (ou Leszczynska) : les princesses Victoire, Sophie, Thérèse-Félicité et Louise, dites Mesdames de France. En 1739, une longue voûte est construite par-dessus la route de Loudun pour relier entre eux les jardins du Clos Bourbon et ceux du palais abbatial et ce dernier est prolongé d'une grande aile qui s'étire jusque dans le clos et où sont logées les filles du roi jusqu'à leur départ, les plus jeunes quittant l'abbaye en 1750. C'est sans doute dans ces mêmes années que fut érigée contre le mur nord du clos une orangerie, au sein d'un jardin lui-même enclos et associé au logis des filles de France, qui prend progressivement le nom de Logis Bourbon.

Les bâtiments du Clos Bourbon, comme le reste de l'ensemble monastique, sont saisis au titre des biens nationaux lors de la Révolution française et forment le onzième des dix-neuf lots détaillés lors de la division des biens composant l'ancienne abbaye de Fontevraud, selon le partage qui en est fait lors de l'estimation du 2 novembre 1792.

Dans un premier temps, ce lot ainsi que plusieurs autres qui composaient notamment la Grande clôture, ne trouvent pas d'acquéreur et sont alors administrés par la commune. À partir de 1793, ces bâtiments subissent d'importantes dégradations au fil de saccages et vols perpétrés au cours de la tourmente révolutionnaire.

Très dégradés le Logis et les autres bâtiments du Clos Bourbon sont acquis le 29 juin 1796, par René Derancher, cultivateur, pour la somme de 7762 livres. Fragilisée faute d'entretien, la voûte qui surplombe l'ancienne route de Loudun est détruite fin juillet 1797 (mention de la démolition en cours dans les premiers jours de thermidor an V), sans doute pour mieux délimiter les biens nés du démembrement de l'abbaye.

Vers 1800, l'ensemble du Clos Bourbon, désormais isolé physiquement des autres biens de l'ancienne abbaye, est acquis par Jean Hudault. Notaire (il tient une étude à Fontevraud de l'an IX à 1842), ce dernier est également entrepreneur, associé avec le salpêtrier Baudouin, dans le contexte des guerres postrévolutionnaires où la demande en salpêtre est forte. Baudouin se retire dès 1805 et Hudault poursuit seul cette activité, installant son atelier de salpêtrier dans l'orangerie du Clos Bourbon. Au vu du nombre d'édifices de ce clos disparus entre le plan dit de 1762 et le cadastre de 1813, il est très probable que ceux-ci, dont la chapelle Notre-dame-de-Liesse, aient été rasés dès le début du XIXe siècle pour satisfaire la consommation de calcaire de cet atelier. Amputé de plusieurs travées, le Logis Bourbon est remanié en habitation du notaire avec parc d'agrément.

L'angle nord-ouest du clos est tronqué entre 1836 et 1839 lors de la rectification du tracé de la route royale n°147 en direction de Loudun, isolant ainsi du parc le seul vestige du Gros pavillon de Madame de Montespan (soit l'actuelle parcelle F 145 du cadastre). Le mur de clôture est reconstruit en pan coupé le long de la nouvelle voie. L'ensemble change plusieurs fois de mains jusque dans l'Entre-Deux-Guerres.

En 1939, le logis et le parc sont réquisitionnés par l'administration militaire qui utilise la forêt de Fontevraud comme terrain d'exercice depuis la fin du XIXe siècle. L'armée allemande l'occupe en 1940-1944 et, après la guerre, le Ministère de la Défense acquiert le site pour y accueillir un escadron de blindés.

Plusieurs éléments du site (immeubles nus et bâtis des parcelles 919, 53, 97 et 98 de la section F du cadastre, notamment le Logis Bourbon et l'Orangerie) sont classés monuments historiques par arrêté du 12 octobre 1962 (protection répétée dans l'arrêté de classement du 28 août 1989, qui évoque les immeubles nus et bâtis de l'ancien parc Bourbon) ; l'orangerie toutefois est détruite sans autorisation vers 1977. L'arrêté du 6 mars 1998, a ajouté à l'ensemble l'inscription sur la liste supplémentaire des monuments historiques, des vestiges de l'Hôpital de la Sainte-Famille qui était à l'origine inclus dans le Clos Bourbon (parcelle 145 de la section G du cadastre).

Demeuré aux mains de l'État, mais désaffecté depuis les années 1970, le Clos Bourbon a aujourd'hui intégré la structure publique culturelle de l'abbaye de Fontevraud et le Logis Bourbon ainsi que le parc et le mur de clôture ont connu d'importantes restaurations dans les dernières décennies.

Le Clos Bourbon est une vaste parcelle quadrangulaire close de murs (avec pan nord-ouest coupé depuis le second quart du XIXe siècle). Elle mesure près de 350 mètres de long par 150 mètres de large. La partie sud est aménagée en terrasses sur murs de soutènements, parallèles au vallon du ruisseau de la Vacherie. L'angle nord-ouest du clos est aujourd'hui à pan coupé.

Les bâtiments

Le seul édifice qui désormais s'élève dans le Clos Bourbon est l'aile, tronquée, conçue pour abriter les filles de Louis XV, bâtiment dit Logis Bourbon.

On observe toujours, à l'est du clos, les traces d'arrachement de la voûte qui, sur près de 70 mètres de long, couvrait l'actuelle rue du Logis-Bourbon Au nord-est, les dépendances du logis des filles de Louis XV (blanchisserie, boulangerie, etc.), qui mettaient notamment en relation celui-ci et le presbytère de Saint-Michel de Fontevraud, au nord, ont été détruites et n'en restent que des vestiges d'arrachements et des portes, murées, d'anciennes communication.

Plus à l'est encore, on conserve le portail en demi-lune qui ouvrait anciennement sur cette rue. Ce portail est attesté sur les plans du milieu du XVIIIe siècle, mais est absent du premier projet de Jean Aubert pour le logis des filles de Louis XV, où figure un portail plus simple, à double vantaux. Il doit donc avoir été réalisé, probablement sur l'emplacement d'une porte plus ancienne du clos, au cours des travaux de construction du Logis Bourbon, à la fois pour en magnifier l'accès et pour faciliter la manœuvre des véhicules hippomobiles en cette rue étroite. Au sud de ce portail s'alignent le long de la rue des bâtiments construits entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle, sans doute comme nouvelles dépendances du Logis Bourbon Le long du mur nord du Clos Bourbon, l'on trouve des traces de baies et arrachements qui correspondent à l'ancienne orangerie et, dans le parc, quelques mètres au sud de l'ancienne porte qui permettait à un religieux d'accéder au chœur de cette chapelle, se trouvent les ruines de Notre-Dame-de-Liesse.

Dans l'espace qui, aujourd'hui, constitue une aire de stationnement pour visiteurs, au nord-est du clos, fut mis au jour début 2014, lors de travaux, la galerie d'une ancienne descente de cave, probablement du XVe ou du XVIe siècle, qui devait être lié à la production viticole du clos de vigne préalablement à l'intégration de la parcelle à l'ensemble monastique.

Le jardin

Le parc de Bourbon selon la vue de 1699 de la collection Gaignières

Conservée à la Bibliothèque nationale de France, la vue de la collection de François-Roger de Gaignières, datée de 1699 et dressée depuis le sud-ouest du bourg, montre qu'à la fin du XVIIe siècle, le clos était divisé principalement en deux secteurs : au nord, des espaces couverts rythmés par de grands alignements, au sud et à l'ouest, des espaces découverts composés de successions de parterres.

Si l'on ne connaît pas clairement leur rôle dans l'aménagement du Clos Bourbon, les archives livrent pour cette période quelques noms de jardiniers à Fontevraud, comme celui de Jean Dubois, qui fut aussi « dessignateur de Madame de Montespan » en 1697 ou encore Claude Dubois, sans doute son proche parent, « maître fleuriste des jardins de Madame l'abbesse » en 1708.

Le parc de Bourbon selon le plan dit de 1762

Le plan de l'abbaye dit de 1762 est connu pour sa grande précision concernant les bâtiments de l'ensemble monastique. En ce qui concerne les jardins, si une grande prudence est de mise, il semble que cette représentation soit là encore assez fidèle à la réalité, d'autant que certains éléments sont confirmés par d'autres plans, comme les parterres de broderie, à l'est, qui figurent sur le projet dressé en 1738 par Jean Aubert pour le Logis Bourbon.

Les jardins tels qu'ils sont représentés sur le plan dit de 1762, reprennent en grande partie la structure précédente. Présentes en effet sur la vue de Gaignière, les grandes lignes directrices du jardin paraissent résulter des aménagements du XVIIe siècle, même si de nouveaux agencements apparaissent là.

Selon ce plan, les jardins sont formés de trois ensemble longitudinaux.

Le partie nord-est détonne dans l'organisation de la zone nord du clos et semble avoir été surimposé à la structure préexistante : cet espace est en effet fortement marqué par la construction de l'aile des filles de Louis XV. Entre l'extrémité ouest du logis des Filles de France et la chapelle Notre-Dame-de-Liesse, semble ainsi avoir été érigée une galerie enserrant un jardin composé de plates-bandes quadrangulaires où prend place une orangerie.

Le secteur nord des jardins se poursuit plus à l'ouest par un ensemble à couvert encadré de deux allées d'arbres de haute tige, qui forment de longues promenades ombragées tout en conférant à l'ensemble un bel effet de perspective linéaire, accélérée par le fait que ces allées convergent vers l'ouest. Si l'allée nord suit simplement le mur de clôture, le tracé de l'allée sud, en légère oblique par rapport à l'axe du clos, semble être lié à un point de vue établi en lien avec l'ancien palais abbatial. C'est là l'allée principale, plantée de marronniers.

Entre ces deux grandes allées, un large espace est occupé par des bosquets réguliers, sans doute plus bas, entrecoupés d'allées secondaires, rectilignes ou diagonales, et traversés d'une allée principale ponctuée, à mesure que l'on s'éloigne du Logis Bourbon, de salles de verdure de plus en plus petites et de formes diverses : en quadrilobe, en ellipse, en carré puis simple carrefour en étoile. Dans certains bosquets sont ménagés des effets, labyrinthe ou fabrique.

La partie centrale du Clos Bourbon, sous le nom de « jardin de Bourbon à l'usage des religieuses », présente un compartimentage plus diversifié de couverts et découverts : à l'est, en venant du palais abbatial, se trouvent des de parterres brodés vraisemblablement de traits de buis à volutes et ponctués d'arbustes en caisse (très certainement des orangers) . L'on trouve ensuite un boulingrin à allée tournante dont le centre devait accueillir une statue ou un arbre en son centre. Un second boulingrin quadrangulaire suit, puis un bosquet à allées formant carrefour en étoile. À l'ouest, enfin, le dernier compartiment est formé d'arbres plantés en échiquier.

Séparé des précédents par une rupture de pente aménagée en terrasse maçonnée, le jardin sud est divisé en trois parties. À l'est, est planté un petit échiquier d'arbustes. Entouré de murs, au centre, se trouve un long « jardin de mille-fleurs à l'usage de Madame l'Abbesse », composé de plates-bandes fleuries qui encadrent une allée centrale le long de laquelle s'alignent de petits arbres. À l'ouest, enfin, il semble que soit composé un théâtre de verdure, avec boulingrin et gradins.

Diverses indications portées sur d'autres plans et sur des documents d'archives du XVIIIe siècle permettent d'apporter quelques précisions supplémentaires. Ainsi, on conserve mention d'allées couvertes de sable de Loire et de boulingrins ensablés. De même, on peut identifier une glacière au centre du mur sud, et une citerne, au sud-est du clos.

Une rapide description des jardins en 1794, alors que l'ensemble saisi au titre des biens nationaux n'a pas encore trouvé d'acquéreur, permet de retrouver des éléments que l'on avait ainsi pu repérer. Sont ici mentionnés des allées de marronniers d'Inde, ormeaux et tilleuls en quinconce, mais aussi des plantations de poiriers, pommiers et pruniers, parfois portés par des espaliers ; on y décrit également des treilles de muscats et de chasselas et les parterres d'un jardin dit « de Mille-Fleurs ».

Le jardin, du XIX siècle à nos jours

Le Clos Bourbon, devenu parc d'une habitation particulière après la Révolution conserva des éléments structurants (murs et terrasses), mais le couvert végétal, par contre, changea comme en témoigne un acte de vente de 1861 qui décrit le clos comme étant composé de « terre, vigne, pâtures et promenades de tilleuls ». De même, une photographie aérienne de 1927 montre que, si le principe d'une grande allée d'arbres est maintenu, son tracé en revanche ne correspond plus à celui du XVIIIe siècle : repoussée plus au nord, l'allée conduit au Logis Bourbon en partant, depuis l'ouest, de la nouvelle porte du domaine percée dans le mur qui longe la route de Loudun. Lorsque le site passa sous administration militaire, le site accueillant des escadrons de blindés, le jardin fut totalement bouleversé et les alignements décimés.

Sous le giron du Ministère de la Culture, associés à l'abbaye, les jardins du Clos Bourbon sont reconstitués dès 1986, sous la direction de Pierre Prunet (ACMH) qui décide de restituer ceux du plan dit de 1762. Les plantations sont réalisées (notamment allées, bosquets et échiquiers), mais progressivement délaissées.

De nouveaux projets paysagers sont désormais en cours d'étude.

  • Murs
    • moellon
  • Plans
    jardin régulier
  • Jardins
    bosquet, labyrinthe de jardin, quinconce, boulingrin, parterre en broderie, salle de verdure
  • Statut de la propriété
    propriété de l'Etat
    propriété publique
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Protections
    classé MH partiellement, 1962/10/12
    classé MH, 1989/08/28
  • Référence MH

Documents d'archives

  • AD Maine-et-Loire. 1 Fi 263. Fonds iconographiques. Plan de l'abbaye de Fontevraud (vers 1789-1796).

  • AD Maine-et-Loire. 1 Q 213. Biens nationaux. District de Saumur, procès-verbaux d'estimation des biens de 1ère origine : estimation de l'abbaye de Fontevraud et partage en 19 lots (2 novembre 1792).

  • AD Maine-et-Loire. 4 Q 13830. Domaines, enregistrement, hypothèques. Vente Hudault, enregistrement n°4 (30 janvier 1861).

  • AN. Q1 629. Titres domaniaux. Maine-et-Loire ; titres de l'arrondissement de Saumur. Plan projeté du logis des Filles de France à Fontevraud, dressé par Jean Aubert (1738).

  • BN, département Estampes et photographie. EST VA-408 (2). Collection Gaignières. Vue de l'abbaye de Fontevraud depuis le sud-ouest, par Louis Boudan (1699).

  • CCO (Fontevraud-l'Abbaye). Fonds iconographiques. Plan de l'abbaye de Fontevraud dit plan de 1762 (milieu du XVIIIe siècle).

Bibliographie

  • MELOT, Michel. L'abbaye de Fontevrault, de sa réforme à nos jours, 1458-1963. Étude archéologique, thèse de l'École des Chartes, 2 volumes dactylographiés, 1967.

  • PALUSTRE, Bernard. Une dépendance de l'abbaye de Fontevrault, le Logis Bourbon. In La correspondance historique et archéologique, Paris, 1895.

    p. 371-379
  • PARROT, Armand. Mémorial des abbesses de Fontevrault issues de la maison royale de France accompagné de notes historiques et archéologiques. In Mémoires de la Société académique de Maine-et-Loire, tome XXXVI, Lettres et Arts. Angers : 1881.

    p. 1 à 189
  • POIGNANT, Simone. L'abbaye de Fontevrault et les filles de Louis XV, Paris : Nouvelles éditions latines, 1966.

  • POULAIN, Jean. Dictionnaire de l'ordre fontevriste : noms de personnes, noms de lieux, termes usuels religieux, d'architecture et d'archéologie avec la bibliographie correspondante. Tapuscrit, Comité d'histoire fontevriste, janvier 2000.

Date d'enquête 2010 ; Date(s) de rédaction 2010
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
(c) Conseil départemental de Maine-et-Loire - Conservation départementale du patrimoine