Il s'agit de la hauteur de la figuration de saint Louis.

Le programme iconographique est divisé en trois zones principales. Les scènes de dévotions individuelles sont peintes dans la partie basse de la nef, celles de l'annonce de la venue du Christ sur terre, de la préparation de sa Passion et des évangélistes le sont dans l'avant chœur et les scènes d'apparition après la résurrection le sont dans le chœur. L'hagiographie y montret également les liens entre les différents degrés de l’Église : patrons de paroisse, de diocèse et de Rome. Le lien à Rome est rappelé sur le mur occidental avec la Traditio legis.

Une longue inscription reprenant l'histoire de l'église est peinte au-dessus de la porte occidentale. Chaque figure est surmontée de son nom. Chaque scène est accompagnée d'une phrase souvent extraite de l'évangile, d'une autre en latin de source plus variée (psaume, hymnes, évangile...) ainsi que du nom et des armoiries des différentes familles donatrices : les Vanssay, les Bodin de Galembert, les Couché, seigneurs de Lusignan,. Deux armoiries n'ont pas été identifiées avec certitude : celles de la comtesse de Galembert et de la comtesse de Vanssay, respectivement : "d'or à la fasce de gueules chargées d'une étoile d'argent, accompagnée de trois têtes de cheval de sable et d'une épée posée en pal" et "d'azur au coq d'or". Le curé Touzard, sa mère et madame Aimée Dubier, veuve Moriceau font également partie des donateurs.

Des problèmes d'humidité plus ou moins denses, mais localisés, détériorent la peinture allant jusqu'à la destruction quasi complète de la scène d'Agonie du Christ.