Dossier d’œuvre architecture IA53004468 | Réalisé par
Barreau Pierrick (Contributeur)
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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Hamelin Paul (Rédacteur)
Hamelin Paul

Photographe indépendant prestataire en 2022.

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  • enquête thématique départementale, rivière Mayenne
Demeure dite château
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Mayenne - L'Huisserie
  • Commune L'Huisserie
  • Lieu-dit la Houssaye
  • Cadastre 1810 B1 59 60  ; 2022 B 169 221 222 1431 à 1434

Le menhir de la Houssaye, en contrebas du château près de la Mayenne, atteste du passage des hommes du Néolithique en cet endroit.

 

L'ancien manoir disparu

L'abbé Angot relève la première mention de la seigneurie de la Houssaye au XIVe siècle, comme propriété de la famille de Thuboeuf. Le mariage de Jeanne de Thuboeuf avec Ambroise L'Enfant de la Patrière la fait glisser dans cette famille au début du XVe siècle. En 1481, les Hospitaliers de Thévalles cèdent au seigneur de la Houssaye leur moulin d'Etrogné. En 1602, la veuve de Pyrrhus L'Enfant vend à Pierre Ouvrard, sieur de la Gousserie. On trouve ensuite au milieu du XVIIe siècle Michelle Ouvrard, veuve de Guillaume Cazet sieur des Fresnes, puis leur fille Marie Cazet, veuve de Jean de la Porte, sieur du Manoir et de la Houssais, autour de 1700. Au début du XVIIIe siècle, leur fils René de la Porte est juge et maire de Laval. Les de la Porte, résidant à Laval et donnant à la ville plusieurs de ses édiles, conservent le logis seigneurial comme résidence intermittente. A cette époque déjà, et bien que le fief subsiste jusqu'à la Révolution, la Houssaye semble déclassée en simple exploitation agricole.

En 1721, alors que la Houssaye appartient à Marie-Angélique de la Porte, sœur du précédent et veuve de Guy de Gencian, une montrée est réalisée en vue du renouvellement du bail aux fermiers. La "maison seigneurialle de la Houssais", en très mauvais état, est un modeste logis avec une salle à cheminée au rez-de-chaussée, flanquée d'une boulangerie et d'un cellier, et une "grande chambre" à l'étage couverte d'un grenier qui "paroit avoir esté lambricé". Au sommet de l'escalier en bois se trouve un pigeonnier. Le jardin et la cour sont clos de murs ; une chapelle, un logement pour le fermier, une écurie, diverses étables (aux vaches, aux veaux, aux bœufs et aux brebis), une grange, un pressoir, un four et un puits complètent l'ensemble. La montrée se poursuit sur le reste du domaine, incluant les closeries du Veau et du Haut-Fougerai, à la métairie de la Perrine et au moulin d'Etrogné.

Dès le XVIIe siècle (aveux de 1633 et 1647), les seigneurs de la Houssaye prétendaient abusivement que leur terre avait rang de châtellenie et s'étendait sur le bourg de l'Huisserie. Ils empiétaient en réalité sur les prérogatives de leur suzerain, le comte de Laval, ce que rappellent les pièces d'un procès des années 1750. En 1765, René-Louis de la Barre rachète le manoir et le fief pour 22 500 livres et tente à son tour de monnayer le titre de châtelain, ce que le duc de la Trémoïlle lui refuse. A la Révolution, le "château" et la métairie de la Houssaye, les métairies de la Perrine, des Hautes et des Basses Loges ainsi que la closerie du Haut-Fougerai, sont séquestrés par l'administration et loués à son profit à la veuve de la Barre elle-même, dite propriétaire de mainmorte. Il ne reste désormais plus rien des bâtiments dessinés sur le plan cadastral de 1810.

Les deux châteaux du XIXe siècle

Par mariages successifs, la Houssaye passe brièvement à la famille de Pierres, puis au comte Raoul-Armand-Honoré de la Sayette. Selon l'abbé Angot, celui-ci fait construire une nouvelle demeure à côté de l'ancienne autour de 1835. Selon les matrices cadastrales, un logis est dit à moitié démoli en 1842. La demeure du comte de la Sayette, "assez mal exécutée parait-il" (Angot), présente rapidement des signes de faiblesse. En 1860, son gendre Xavier de Quatrebarbes doit se résoudre à la faire démolir. Un dessin de Narcisse Morin, intitulé "les rives de la Mayenne ; château de M. de Quatre-Barbe, près Laval, L'Huisserie" représenterait vraisemblablement cette demeure peu avant sa destruction. La construction, d'inspiration néogothique, présentait une curieuse silhouette avec un corps central à deux travées couvert en terrasse et orné d'un crénelage, flanqué de deux pavillons à une travée chacun, coiffés de clochetons. Les fenêtres étaient pourvues de meneaux et de traverses, tandis que les lucarnes étaient ornées de pinacles.

Il semble que la construction d'un nouveau château soit liée à l'attachement de Madame de la Sayette pour sa terre de L'Huisserie, les Quatrebarbes disposant déjà de plusieurs châteaux notamment en Mayenne. Les plans d'une élégante demeure historiciste sont commandés par Xavier de Quatrebarbes à l'architecte manceau puis parisien Pierre-Félix Delarue, alors associé à son fils adoptif Charles Delarue-Nouvellière. Le style de Delarue est très reconnaissable par le mélange de la brique et de la pierre, l'emploi de pavillons et de tours en rigoureuse symétrie, ainsi que par le vocabulaire ornemental qu'il utilise également aux châteaux de Montgiroux à Saint-Germain-d'Anxure ou d'Orange à Saint-Jean-sur-Mayenne à la même période. Grace aux dessins et esquisses conservés, on note que l'architecte a conçu plusieurs projets d'ampleurs différentes : plan simple, double, et même triple en profondeur. Les plans et élévations aquarellés témoignent du parti finalement retenu, double en profondeur et de style néo-Renaissance, à quelques différences près : positionnement de certaines ouvertures et des escaliers, mais surtout suppression des tourelles en briques initialement prévues de part et d'autre du pavillon central de la façade sud.

Le château est édifié à l'emplacement d'un bâtiment antérieur, partiellement démoli. La construction s'achève vers 1865 et est déclarée imposable au registre des matrices cadastrales en 1868. Le rez-de-chaussée abrite un grand hall, un grand salon, un salon octogonal, une salle à manger et un billard ; l'étage est dévolu aux chambres. Selon les factures conservées, l'escalier d'honneur actuel n'est réalisé qu'en 1886 après plusieurs hésitations, par l'entreprise nantaise P. Baranger. Un projet de réaménagement des abords du château est attribué au paysagiste Paul de Lavenne de Choulot (intervenu de façon certaine pour Lancelot de Quatrebarbes au château de la Cour à Châtelain). Le plan conservé au château ne semble toutefois pas avoir été mis en œuvre. Parmi la douzaine de fermes du domaine, certaines sont remodelées et rationnalisées.

Les transformations du XXe siècle

L'instituteur Veilpeau et l'abbé Angot s'accordent sur leur description de la nouvelle demeure : "ce château qui n'est pas très considérable est très bien conçu et offre à l'œil une élégance parfaite" pour l'un, "un château de style Renaissance, de proportions modestes mais d'une grande élégance" pour l'autre.

Par souci d'économie, le château de la Houssaye cohabite pendant plusieurs décennies avec les dépendances de l'ancienne maison, pourtant trop proches et sans cohérence architecturale. Les communs actuels, bien à l'écart du château, ne sont édifiés qu'en 1912 pour Guillaume de Quatrebarbes. L'architecte est l'angevin Ernest Bricard, qui signale son intervention sur les communs de La Houssaye dans son dossier de candidature au poste d'architecte départemental du Maine-et-Loire en 1919. Le logement du fermier présente un style francilien dans le goût du début du XXe siècle, sans rapport avec le style du château. Les anciennes dépendances sont entièrement rasées afin de dégager les abords du château.

Le 15 juin 1944, un important bombardement américain visant l'aéroport de Laval endommage le château, notamment les communs et la ferme de la Perrine, faisant plusieurs victimes. Le propriétaire, Xavier-Marie-Zacharie de Quatrebarbes, fils du précédent, résidant alors à Argenton-Notre-Dame, obtient une indemnité pour la remise en état des bâtiments. Les plans et devis pour la reconstruction de l'écurie-remise, la réparation du logement du jardinier, de la grange-étable et des autres dépendances sont établis par l'architecte Albert Beaux à Paris et à Mayenne. Les travaux, réalisés en 1946 et suivis par l'architecte Levasseur, sont confiés à la Société d'Installation et d'Exploitation de Services Publics (Paris) pour la maçonnerie, à l'entrepreneur Hubert de l'Huisserie pour les charpentes et couvertures et à R. Camblong d'Ambrières pour les menuiseries.

Isolé du bourg de L'Huisserie et de la campagne environnante par un écrin boisé, le château de la Houssaye est implanté au sommet du coteau en rive droite de la Mayenne et jouit d'une vue dégagée sur la vallée et la rive opposée. La demeure, orientée au sud et au nord, est construite presque parallèlement à la rivière, à environ 250 mètres de la rivière qui n'est que peu visible, masquée par un rideau d'arbres plantés dans la partie basse du parc.

 

Le logis

Le château est construit principalement en moellons enduits, avec des décors en pierre de taille calcaire, un parement en briques ornant la partie centrale de la façade nord et un soubassement en blocs de granit et de grès. L'édifice présente un plan relativement simple, comprenant deux corps adossés l'un à l'autre, le corps nord donnant sur la vallée, le corps sud, plus étroit, étant prolongé par deux grosses tours circulaires. L'axe central forme un léger avant-corps de chaque côté, donnant du relief aux façades et simulant des pavillons. Les toitures d'ardoises de tailles et de formes différentes, à longs pans et à croupes, en pavillons ou en poivrières pour les tours, couronnées de souches de cheminées brique au chiffre de Xavier de Quatrebarbes, confèrent à la silhouette du château son pittoresque, de même que la finesse des épis de faîtage en zinc, en forme de vases, de pots à feu et de girouettes.

La façade sur cour, ordonnancée, présente trois travées d'ouvertures. Elle est quadrillée horizontalement par des bandeaux et une corniche à consoles, verticalement par des chaînages de pierre de taille en bossages. Les fenêtres des travées latérales sont pourvues d'appuis moulurés et d'encadrements à crossettes, les lucarnes sont coiffées de frontons cintrés à enroulements. La travée centrale, formant pavillon, se distingue fortement du reste de l'élévation notamment par son décor néo-Renaissance : perron monumental, rez-de-chaussée en pierre de taille percé de trois baies cintrées, porte à pilastres ioniques et agrafe sculptée, fenêtre de l'étage à meneau et traverse, garde-corps ajouré et pilastres corinthiens. La partie supérieure mêle un vocabulaire défensif factice (mâchicoulis, échauguettes, archères et crénelage) et les ornements Renaissance : grande croisée à pilastre surmontée d'une lucarne à ailerons, colonnettes et fronton triangulaire. On remarque sous la croisée les armoiries de Quatrebarbes (de sable à la bande d'argent accompagnée de deux cotices de même) et de la Sayette (d'azur à trois pointes de flèche d'argent la pointe en haut) portées par deux lions et sommées d'une couronne ducale. De part et d'autre de la fenêtre se trouvent deux médaillons en forme de corolles de fleurs.

La façade sur la vallée, également ordonnancée, reprend les mêmes décors horizontaux et verticaux ainsi que le thème du pavillon central, cette fois-ci parementé en brique. On retrouve au rez-de-chaussée les trois ouvertures cintrées, la porte donnant ici sur un balcon en pierre supporté par deux grosses consoles à enroulements sculptées de feuillages. A l'étage, la grande croisée est flanquée de deux demi-croisées dont les allèges sont ornées de médaillons vides. La partie supérieure mime à nouveau un chemin de ronde sur mâchicoulis avec archères. On retrouve la superposition des croisées à pilastres et la petite lucarne à fronton triangulaire en couronnement. Les armoiries sont remplacées par deux blasons couronnés portant les initiales des commanditaires, Q et S. Les fenêtres des quatre travées latérales présentent des encadrements moulurés, des allèges sculptées en forme de cercles et de tables, des corniches sur consoles au rez-de-chaussée, des linteaux à volutes à l'étage. Les lucarnes disposent d'ailerons et de frontons cintrés à volutes garnis de guirlandes végétales. Les mêmes motifs ornent les baies des fenêtres latérales.

Les deux tours présentent des fenêtres disposées en travées, à encadrements à crossettes. Les lucarnes pendantes sont surmontées de gâbles ornés d'enroulements et percés d'oculi. La corniche à consoles simule, là encore, un chemin de ronde.

Les salons de réception occupent la partie nord du château et sont tournés vers le panorama de la vallée. Côté cour, le pavillon est occupé au rez-de-chaussée par le vestibule, donnant à main gauche sur l'escalier d'honneur et un cabinet-bibliothèque situé dans la tour ouest, à main droite sur un escalier de service et l'office située dans la tour est. Les autres espaces de service se trouvaient au niveau du soubassement. Les étages étaient occupés par les chambres des maîtres et des domestiques, le grenier accueillait les réservoirs d'eau pompée depuis le puits situé devant le château.

 

Les communs et le parc

Les communs et la ferme sont organisés autour d'une cour approximativement carrée placée au sud du château. L'architecture se distingue par ses moellons apparents, ses baies en arc segmentaire, ses décors brique et pierre et ses toitures largement débordantes. Le logis du fermier occupe l'angle et se distingue par son toit plus élevé et sa tour carrée sur l'angle. Remises, écuries et étables sont placées dans deux ailes en retour. Les autres côtés de la cour sont bordés par le four à pain, les toits à porcs et un hangar à poteaux en bois.

En vis-à-vis de la ferme, l'ancien potager forme un vaste trapèze de plus de 50m de côté. Du côté de l'entrée se trouvent une remise à outils et l'ancien chenil. Le petit logis dans l'angle était celui du jardinier, simple maisonnette rectangulaire dont seul le pignon donnant dans le potager a fait l'objet d'une légère ornementation (décor brique et pierre sur les rampants et la fenêtre).

Circonscrit et isolé de l'extérieur par des bosquets d'arbres, le parc semble évoquer une clairière au milieu de laquelle on aurait posé le château. Il inclut un petit étang d'où s'écoule un ruisseau qui se jette dans la Mayenne.

  • Murs
    • pierre moellon enduit
    • brique
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, 2 étages de comble
  • Couvrements
    • charpente en bois apparente
  • Élévations extérieures
    élévation à travées, élévation ordonnancée
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
    • escalier intérieur : escalier en vis avec jour en charpente
  • État de conservation
    bon état
  • Techniques
    • sculpture
  • Représentations
    • armoiries
    • ornement architectural, pilastre, fronton, colonne, ordre ionique, ordre corinthien, agrafe
    • ornement animal, lion
    • ornement végétal, feuillage, fleur
    • ornement en forme d'objet, médaillon, guirlande
  • Précision représentations

    Travées centrales du château à décor néo-Renaissance : portes à pilastres ioniques et agrafe sculptée de feuillage, fenêtres de l’étage à pilastres corinthiens, lucarnes à colonnettes, armoiries, médaillons en forme de fleurs, balcon à consoles à volutes et à feuillages. Lucarnes à ailerons, frontons à volutes garnis de guirlandes végétales.

  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée

Documents d'archives

  • Archives départementales de Maine-et-Loire ; 4 N 364. Dossier de candidature d'Ernest Bricard au poste d'architecte départemental du Maine-et-Loire, 1919.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 3 E 9/121. Montrée du domaine de la Houssaye à L’Huisserie, 1721.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 395 J 3. Procès opposant la dame de la Houssaye en L’Huisserie au comte de Laval, 1754.

  • Archives départementales de la Mayenne ; MS 80/12-3. Monographie communale de L'Huisserie, par l'instituteur Veilpeau, 1899.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 3 P 198-199, 595, 1508. Matrices cadastrales, registres des augmentations et diminutions de construction de la commune de L'Huisserie, XIXe-XXe siècles.

  • Archives départementales de la Mayenne ; Q 905 à 907. Biens nationaux, sommiers des baux des biens aliénés (1792-1806).

  • Archives départementales de la Mayenne ; 445 W 77. Reconstruction des communs du château de la Houssaye en L'Huisserie, 1946-1959.

  • Archives départementales de l'Orne ; 252 J 581. Papiers de l'érudit Yves Roth ; notes concernant l'intervention de l'architecte Pierre-Félix Delarue à La Houssaye à L'Huisserie, 2007.

  • Archives privées. Documents concernant la construction du château de la Houssaye en L'Huisserie, 2e moitié XIXe siècle.

Bibliographie

  • ANGOT, Alphonse (abbé). Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne. Laval : Goupil, 1902.

  • CASTEL, Damien. Pierre Félix Delarue (1795-1873) architecte. Le Mans : Cabinet de Fromentières / Recherches en archives & études architecturales, 2013.

  • CHAUSSIS, Gilbert. La Mayenne de village en village. Laval : Siloë, 1984-1988.

    t. 2, p. 148-150
  • DENIS, Michel. Les royalistes de la Mayenne et le monde moderne (XIXe-XXe siècles). Paris : C. Klincksieck, 1977.

    p. 355
  • RIBAUT, Anne-Antide. L'avenir s'appuie sur le passé : L'Huisserie. Mairie de L'Huisserie, 1998.

    p. 10

Documents figurés

  • Collection de cartes postales anciennes des communes de la Mayenne. (Archives départementales de la Mayenne ; 5 Fi).

  • Plans cadastraux napoléoniens de L'Huisserie, 1810. (Archives départementales de la Mayenne ; 3 P 2714 et 2884).

  • Plans pour la reconstruction des communs du château de la Houssaye en L'Huisserie, par Albert Beaux, 1945. (Archives départementales de la Mayenne ; 445 W 77).

  • Plans du château de la Houssaye en L'Huisserie, par Pierre-Félix Delarue, vers 1860. (Archives privées).

  • Projet pour le parc du château de la Houssaye à L'Huisserie, attribué à Paul de Lavenne de Choulot, vers 1860. (Archives privées).

  • Plan du domaine de la Houssaye à L'Huisserie, 2e moitié XIXe siècle. (Archives privées).

Date(s) d'enquête : 2022; Date(s) de rédaction : 2022
(c) Conseil départemental de la Mayenne
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Barreau Pierrick
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Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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Hamelin Paul
Hamelin Paul

Photographe indépendant prestataire en 2022.

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Articulation des dossiers
Parties constituantes