Chercheuse, Inventaire du Patrimoine, Service du Patrimoine, Région des Pays de la Loire.
- enquête thématique régionale, patrimoine de la villégiature
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Patrimoine balnéaire - Pornic
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Commune
Pornic
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Lieu-dit
la Noëveillard
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Adresse
19 avenue de la Noëveillard
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Cadastre
2011
CV
19
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Dénominationsmaison
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Précision dénominationmaison de villégiature balnéaire
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Appellationsdite Ker Colo
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Parties constituantes non étudiéesjardin, communs, kiosque, réservoir
Cette maison est construite en 1848 pour Alexandre Babonneau, riche industriel nantais, originaire d'Angers, qui possède à Nantes, d'importants établissements fabriquant des ancres et des engins pour la pêche à la baleine. La villa est édifiée sur les terres d'un petit chantier naval, en surplomb de l'anse du Jardinet où avaient été construites des cabines de bains. En 1851, M. Babonneau est directeur des Forges Maritimes à la Prairie au Duc à Nantes. Très vite, la maison est vendue à Alfred Walsh et à Sophie Legrand, comtesse de Walsh, habitant tous deux le château de Serrant à Saint-Georges-sur-Loire. En 1868, la villa devient la propriété de Gustave Etienne, raffineur nantais. Cette même année, la maison prend le nom de Ker Colo et un kiosque polygonal est construit en limite de propriété, du côté de la mer. En 1872, il installe une pompe à vent, modifie l'étage des combles et fait réaliser par M. Rabaud (signé), serrurier, une grille monumentale avec le nom de la villa et ses propres initiales entrelacées en dessous. Deux ans plus tard, des communs sont construits. A la même époque, il achète la maison Trubert qui deviendra le Petit Colo. Le kiosque a disparu à une date indéterminée.
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Période(s)
- Principale : 2e quart 19e siècle
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Dates
- 1848, daté par source
Cette villa, située au milieu d'un parc planté de chênes verts, d'éléagnus et haies de buis. La maison se compose d'un avant-corps central en légère saillie, encadré de deux ailes couvertes de lucarnes et d'une terrasse centrale. On trouve une autre terrasse, au rez-de-chaussée, plus grande, qui prolonge les salons, face à la mer. Les angles et les ouvertures sont appareillés en tuffeau au sud, du côté de la mer, alors que l'élévation nord présente un appareil régulier en tuffeau. Les communs et la pompe à vent sont appareillés en brique. L'entrée est fermée par une grille monumentale en ferronnerie. La domesticité vivait à l'étage des communs.
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Murs
- enduit
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Toitsardoise
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Étagessous-sol, rez-de-chaussée, étage de comble
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Couvertures
- toit à longs pans
- toit en pavillon
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Typologieshistoriciste (néo-classique)
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Techniques
- ferronnerie
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Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
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- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
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- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
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Documents d'archives
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Archives départementales de Loire-Atlantique ; 4 E 88/84. Me Auguste Thibaud.
Chercheuse, Inventaire du Patrimoine, Service du Patrimoine, Région des Pays de la Loire.
Chercheuse.