Dossier d’œuvre architecture IA53004422 | Réalisé par
Barreau Pierrick (Contributeur)
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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  • enquête thématique départementale, rivière Mayenne
Manoir, puis demeure dite château, la Girardière
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Mayenne - Saint-Berthevin
  • Commune Saint-Jean-sur-Mayenne
  • Lieu-dit la Girardière
  • Cadastre S. d. B3 138  ; 2021 B 829 832
  • Dénominations
    manoir, demeure
  • Parties constituantes étudiées
  • Parties constituantes non étudiées
    dépendance, parc, mur de clôture, portail

Un manoir féodal disparu

L'abbé Angot signale avoir eu accès, aux cours de ses recherches, aux archives privées du château de la Girardière, aujourd’hui disparues. Il relève ainsi en 1490 que le fief relevait de la seigneurie d'Anthenaise : "la court du lieu de la Girardière, en laquelle soulloit demeurer le seigneur, une tasse de bois antian, contenant cinq journaux, une chesnaye de grant bois de un journal". Il précise que le sergent du seigneur d'Anthenaise venait requérir 6 sols de taille en appelant par trois fois du bout des Grandes-Planches (l'ancien pont) de Saint-Jean "en telle manière que l'on puisse raisonnablement ouïr et entendre du lieu de la Girardière". Parmi les droits du seigneur de la Girardière, l'abbé Angot cite celui de mener les porcs à la glandée en bois d'Anthenaise, les droits de mesure à blé et à vin sur les lieux de l'Effarière, de la Maugendière et de Montfranchet, ainsi que des droits honorifiques dans l'église de Saint-Jean.

Il ne reste aucun vestige de l’époque féodale ; le plan cadastral napoléonien du début du XIXe siècle (1811 ?) présente seulement une courte et étroite pièce nommée « la douve » longeant le potager : rien n’atteste toutefois qu’il s’agisse d’un vestige de fossés défensifs, mais peut-être simplement d’un réservoir destiné aux jardins. Cet emplacement est aujourd’hui remblayé. Une tradition orale non étayée rapporte que le site féodal aurait été implanté plus au nord ; cette hypothèse semble peu probable, car le plan cadastral ne présente aucune anomalie du parcellaire à cet emplacement qui permette d’en soupçonner l’existence. Il est plus vraisemblable, mais actuellement impossible à vérifier, que les bâtiments de la Girardière aient toujours occupé le même emplacement.

Depuis la fin du XIVe siècle au moins, la Girardière appartenait à la famille de Mathefelon : Jean de Mathefelon, seigneur de Lancheneil, puis son fils du même nom, étaient propriétaires du lieu dans les années 1400. Par la suite, une série de mariages et de ventes fait passer le domaine dans les mains de nombreuses familles dont la liste a été établie par l'abbé Angot. En revanche, aucun document n'atteste de l'aspect du bâti à cette époque. Une pièce isolée de 1557 semblerait indiquer que le lieu est alors déjà déclassé en simple métairie. Le 24 octobre 1629, un certain Guillaume Robideu achète le domaine à Radegonde des Rotours, dame de la Feuillée, pour la somme de 4 200 livres. L'héritage de sa veuve Anne Geslot passe à Marguerite Torillon, épouse de Vincent Périer, marchand et seigneur du Coudray, dans le 2e quart du XVIe siècle.

La maison de campagne de la famille Périer

En 1673, suite au décès de Vincent Périer, un inventaire des meubles de la maison de la Girardière est dressé, ainsi que des animaux de la métairie. En 1675, le partage de la succession fait état de "la mestairie, fief et seigneurie de la Girardière situé en la parroisse de Saint-Jean-sur-Maienne avecq les subjects et vassaux cens rentes et debvoirs dudit fief [...] et ce qui reste de meubles [...] en la maison au maître dudit lieu". L’aspect de la propriété n’est pas davantage connu à cette époque. La branche Périer prenant le nom de la Girardière demeure propriétaire et titulaire de la seigneurie jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Les Périer sont une vaste dynastie de riches négociants lavallois, qui possède de multiples ramifications et se trouve à la tête de nombreux domaines et petites seigneuries achetés en périphérie de Laval.

L’aile sud-ouest du château actuel, qui fait la jonction entre les deux principaux corps de logis, porte la date 1741 sur la lucarne : il s’agit vraisemblablement d’une portion de la maison de maître, de plan rectangulaire, édifiée pour Pierre Périer du Coudray. C’est aujourd’hui la partie la plus ancienne de la demeure. Cette petite portion du château a néanmoins commandé l’ensemble des agrandissements successifs réalisés au XIXe siècle et au début du XXe siècle. Le logis rectangulaire du XVIIIe siècle figure sur le cadastre napoléonien de 1811, ainsi que les bâtiments de dépendances donnant sur la cour (remaniés par la suite). Une avenue rectiligne allant jusqu’au pont de Saint-Jean-sur-Mayenne, probablement tracée à la même époque, y est également représentée. Le grand jardin potager qui longe les bâtiments à l’ouest est ponctué de deux édicules carrés dont un seul subsiste à l’état de ruine : il s’agit d’un pavillon dont la couverture à l’impériale et le plafond lambrissé aux scènes de chasse peintes se sont malheureusement effondrés au début du XXIe siècle. L’abbé Angot précise autour de 1900 que les quatre peintures étaient alors déjà endommagées ; il fait aussi référence à un cadran solaire du XVIIIe siècle dédié par le frère Denis Hayeneuve, jacobin à Laval.

En 1747, le partage de la succession de Pierre Périer du Coudray donne une première description des lieux, assez sommaire toutefois : "La maison de maître dudit lieu de la Girardière, composée d'un sallon, d'une salle, d'un cellier, de trois chambres sur le tout ; le jardin de maître clos de murs avec un pavillon dans ledit jardin avec l'avenue tendant de la dite maison de maître aux planches de Saint-Jean ; les étables aux bœufs et aux vaches avec la grange le tout joint au comble ; l'écurie étant au bout de la loge du pressouer […] ; les deux toits à porcs ; […] la maison du collon, la chambre basse cellier et grenier sur le tout ; le jardin du collon". "Le fief et seigneurie de la Girardière, hommes, sujets et vassaux, cens, rentes et devoirs" était assorti d'un droit de pêche dans la Mayenne.

Le château des du Mans de Chalais

En 1777, Marie-Anne-Charlotte Périer de la Girardière épouse Léon-Jean-Jacques du Mans de Chalais, lieutenant des maréchaux de France, descendant d'une famille noble de riches marchands de Bretagne, du Maine et de l'Anjou. Il sera guillotiné à Doué-en-Anjou en 1793. Son fils, secrétaire de préfecture, puis son petit-fils, avocat et conseiller général, également prénommés Léon, conservent le château et y font d'importants agrandissements tout au long du XIXe siècle. La documentation et les noms des architectes ont disparu, mais les dates portées et les informations du cadastre permettent de restituer sans trop d’hésitation l’évolution chronologique des bâtiments.

Un premier agrandissement, porté au registre cadastral en 1839, correspond très vraisemblablement au remaniement en pavillon de la partie nord de la demeure du XVIIIe siècle. En 1856, le corps de bâtiment sud est construit en retour du logis du XVIIIe siècle, comme en atteste la date portée sur une lucarne. L’architecte y développe un pavillon central en saillie sur le modèle de celui du corps ouest, ainsi qu’une aile en quasi-symétrie du pignon de la maison de 1741. Cette campagne est enregistrée dans les matrices cadastrales en 1858. En 1872, date portée sur une autre lucarne, le pavillon du corps ouest est remanié et agrandi côté cour pour dégager un large couloir de circulation entre les différentes pièces placées en enfilade. L’escalier initial est alors déporté dans une tour demi-hors-œuvre polygonale qui s’insère assez maladroitement à la jonction des deux corps, côté cour. Cette nouvelle phase de travaux est portée aux matrices cadastrales en 1874. Enfin, une dernière augmentation fournie par les matrices en 1880 pourrait correspondre soit à la construction de la décharge de cuisine et du pigeonnier, soit à la construction de la ferme attenante au château. La demeure ainsi "castellisée" par l’adjonction de tours et de pavillons, conserve néanmoins la sobriété de la demeure du XVIIIe siècle, les décors se limitant au bandeau et aux corniches, ainsi qu'aux lucarnes pourvues de frontons et d'ailerons. Seul le pavillon du corps ouest introduit quelques ornements supplémentaires : balustrades aux fenêtres de l’étage, lucarnes à frontons trilobés, crête de faîtage en zinc. Ces éléments ont été gommés par une restauration des années 2000.

Il faut également imputer aux du Mans de Chalais la transformation des abords du château. Un vaste parc à l’anglaise ponctué de bosquets est aménagé. Un chemin courbe est substitué à l’allée rectiligne, tandis que le potager est diminué pour dégager la façade ouest en direction de la Mayenne. Une partie des dépendances, au nord, est remaniée ou reconstruite en écurie-remise. La ferme est en partie déportée à l'extérieur de l'enceinte du château : les anciennes dépendances agricoles, remaniées, sont réorientées vers l'est autour d'une cour neuve où sont ajoutés de nouveaux bâtiments. Elle est désormais distribuée par un chemin annexe et séparée du château par une portion de mur. Ce réaménagement complet de la partie agricole du domaine témoigne à la fois d'une volonté d'isoler le logis tout en conservant la vue sur la vallée, mais reflète aussi sans doute d'un manque de moyens pour procéder à une reconstruction complète de la ferme bien à l'écart du château, comme c'est généralement le cas dans les grands domaines foncier du XIXe siècle. A noter également qu'en 1829, M. du Mans de Chalais demande l'autorisation de construire un petit four à chaux à la métairie de l'Effardière, non loin de la Girardière, sans doute dans le cadre de l'amélioration des rendements de ses domaines agricoles. La construction du pavillon octogonal n'est pas documentée, néanmoins une brique porte les chiffres 1016 (?) : faut-il y lire la date 1916 ?

La retraite de campagne d'un homme d'affaires parisien

En 1922, Roger Martin-Sané (1880-1952), associé d'agent de change à Paris (24 rue des Belles Feuilles, 16e arrondissement), originaire de Laval, achète le château de la Girardière à la famille du Mans de Chalais pour 194 000 francs. Il confie à l'architecte Léon Guinebretière l'agrandissement de la demeure par l'adjonction d'une aile nord où se trouvera l'entrée principale du château ainsi que l'escalier d'honneur. Un registre des mémoires et forfaits de travaux de l'architecte indique que les aménagements sont achevés en 1929 ou 1930. Celui-ci fournit la liste des entrepreneurs intervenus sur le chantier : Brévault pour la maçonnerie, Haudu pour la pierre de taille, Gaudin pour la charpente, la couverture, la zinguerie, la menuiserie et la serrurerie, Chauvin pour la menuiserie, Brochard pour la plâtrerie. Une grille est fournie par l'entreprise Bourny et un système de chauffage par Lechaitier-Poisson.

Les plans de Guinebretière pour la "terminaison" du château (donc apparemment considéré comme inachevé) ont été conservés mais ne sont pas datés. L'aile nord est accolée en retour du corps ouest pour donner une quasi-symétrie à la façade vers le parc et la Mayenne. Afin de ne pas dénoter, le pignon ouest reprend approximativement le volume de l’aile de 1741, bien que la symétrie soit rompue par une toiture plus haute, un positionnement différent des ouvertures et une lucarne à fronton cintré et non triangulaire. La nouvelle aile inclut au rez-de-chaussée un vaste hall d'entrée avec à sa suite un grand escalier d'honneur rampe sur rampe, à l'étage une mezzanine avec balustrade et sous les toits un grand bureau et une salle de bains.

Les décors choisis, tels que les boiseries du hall ou les balustres de l'escalier, pastichent le goût du XVIIIe siècle bien que largement passé de mode dans le 2e quart du XXe siècle. Un projet de porte inspiré de l'architecture du XVIIe siècle n'a pas été réalisé. D’autres éléments intérieurs, tels que les trumeaux peints du salon ou le carrelage, rappellent que la Girardière demeure jusqu’au XXe siècle une résidence de plaisance et un domaine de chasse. Le domaine est peu entretenu dans le courant du XXe siècle, on note néanmoins quelques remaniements sur les communs. Une verrière est également aménagée sur la pente nord du toit de l’aile nord pour l’installation, semble-t-il, d’un atelier de peintre, dont on ignore s’il a véritablement servi. Il faut attendre les années 2000 et l’arrivée des actuels propriétaires pour voir une restauration d’ampleur du château.

L'abbé Angot évoque en ces mots le château de la Girardière : "Dominé par une futaie de chênes et de pins, il a sa façade à l'ouest sur de belles pelouses coupées de bosquets qui descendent en pente douce jusqu'à la Mayenne, avec le bourg perché sur la colline opposée comme horizon prochain".

 

La demeure

L'allée qui monte à travers le parc depuis le pont sur la Mayenne offre une apparente harmonie des façades ouest et sud, qui présentent chacune un gros pavillon central entre des pavillons d'angles plus bas. En réalité, il s'agit du résultat d'adjonctions successives à partir d'un volume initial dont subsiste le pavillon d'angle sud-ouest.

Les maçonneries sont en moellons enduits, la pierre de taille étant réservée aux ornements et aux encadrements des baies, en arc segmentaire parfois délardé. La pierre de taille de granite est généralement employée pour le rez-de-chaussée ; le tufeau pour l’étage. L’aile nord présente des ornements en imitation de pierre de taille.

Le château compte trois corps de bâtiments disposés à l'équerre. Le corps ouest, vers la vallée de la Mayenne, possède un gros pavillon central à deux travées, pourvu d'un solin, d'un bandeau, d'une corniche moulurée et de chaînages d'angles harpés. Les deux lucarnes sont dotées de frontons triangulaires initialement ornés de trilobes, tandis que les souches de cheminées possèdent des tirants en forme de fleurs de lys. De part et d'autre du pavillon central, sont placés deux courtes ailes plus basses et en léger retrait, à une travée chacune. Celle de gauche correspond à l'extrémité de l'aile nord, simple bâtiment rectangulaire coiffé d'un toit à longs pans et à croupes et orné de lucarnes à frontons cintrés. Celle de droite fait la jonction avec le corps sud : elle possède une lucarne à fronton triangulaire côté ouest et une autre à fronton cintré côté sud. Le gros pavillon du corps sud est semblable à celui du corps ouest par son volume, ses deux travées et ses décors de façade ; il en diffère par ses lucarnes moins aigües. L’aile qui lui fait suite à droite imite celle de gauche, avec une lucarne à fronton cintré. Dans le prolongement se trouve un pigeonnier circulaire et une décharge de cuisine en rez-de-chaussée, avec des ouvertures cintrées en briques. L'élévation postérieure, côté cour, est marquée par une tour d’escalier polygonale, placée dans l'angle des ailes ouest et sud. Son insertion maladroite vient masquer une partie de la façade du corps sud et buter contre la lucarne.

Le corps nord abrite un vaste hall et l’escalier d’honneur à deux rampes desservant l’étage. L’escalier est remarquablement mis en scène par son positionnement au fond de la pièce et la mezzanine à balustrade à laquelle il donne accès ; les murs sont habillés de boiseries d’inspiration rocaille et le sol est revêtu d’un carrelage néo-médiéval à motifs liés à la chasse (végétaux, chiens, cervidés) que l’on retrouve dans plusieurs pièces du rez-de-chaussée. Le pavillon ouest correspond au grand salon, l’aile sud-ouest au petit salon, le pavillon sud à la salle à manger (où se retrouve le thème de la nature et de la chasse sur les trumeaux peints), l’aile sud-est à la cuisine. Les pièces distribuées en enfilade sont reliées entre elles par une pièce de circulation adossée au pavillon ouest, dans laquelle prend souche l’escalier à vis qui dessert le rez-de-chaussée, l’étage et le comble. L’étage était dévolu aux chambres des maîtres, le comble à celles des domestiques ; on peut encore y voir une cuve qui permettait de recueillir l’eau pour la redistribuer dans les pièces du château.

 

Son environnement

Un bâtiment au nord, percé de deux larges portes en anse de panier et partiellement remanié en logement, abrite l’ancienne écurie-remise avec sellerie. Les autres dépendances, qui sont celles de la ferme, sont disposés à l’est près du château : des ouvertures bouchées côté ouest témoignent de la réorientation de la ferme vers l’extérieur du parc. Surmontant une porte, une petite niche accueillait une statuette. Un mur ponctué de trois piliers matérialise la séparation du château et de ses communs à l’ouest, de la ferme et de ses dépendances agricoles à l’est. Ces derniers sont desservis par un chemin distinct.

Le parc à l'anglaise, ceinturé par un bois au sud et par une haie à l'ouest, est ponctué de bosquets d’essences variées (cèdres, bosquets, tilleuls, érables, platanes, etc.) et descend en pente douce vers la Mayenne. Aménagé en terrasse contre l’écurie, le petit potager ceint d’un muret est accessible par un petit escalier. L’angle est marqué par un pavillon carré initialement couvert d’un toit à l’impériale aujourd’hui effondré. Le lambris représentait quatre scènes de chasse peintes au XVIIIe siècle. L'une d'elles figurait un groupe d'hommes en tenue de chasse, à cheval ou à pied, ayant acculé un loup. A l'arrière-plan, à travers les arbres, apparaissait un château avec un corps central rectangulaire flanqué de deux pavillons.

Le parc abrite également un autre pavillon dont la fonction exacte demeure indéterminée. De forme octogonale, il est construit en brique et en tufeau. Une fosse creusée à l’intérieur, aujourd’hui comblée, laisse supposer qu’il pouvait s’agir d’une glacière ou d’un garde-manger. Les petites fenêtres en demi-cercle confirment qu’il s’agissait d’un bâtiment utilitaire et non de loisir, et ce bien qu’il contribue à habiller un recoin du parc, à l’image d’une gloriette.

  • Murs
    • pierre moellon enduit
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    rez-de-chaussée, 1 étage carré, étage de comble
  • Couvrements
    • charpente en bois apparente
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans croupe
    • toit en pavillon
    • toit polygonal
  • Escaliers
    • escalier intérieur : escalier tournant à retours
    • escalier intérieur : escalier en vis
  • État de conservation
    bon état
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
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Documents d'archives

  • Archives départementales de la Mayenne ; B 3319. Déclaration d’abats de bois par Pierre-Joseph Perier de la Girardière, négociant à Laval, propriétaire des fiefs et seigneuries de la Girardière et du Plessis Saumon, en Saint-Jean-sur-Mayenne, et de la métairie noble de la Touche, en Changé, 2 juin 1786.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 3 E /306. Succession de Pierre Périer du Coudray, partage de la Girardière en Saint-Jean-sur-Mayenne, 29 mai 1747.

  • Archives départementales de la Mayenne ; H-dépôt 1 B 376. Rente sur la Girardière en Saint-Jean-sur-Mayenne, 1557.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 5 J 34. Fonds d'Erbrée ; successions Périer, 1675-1781.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 14 J 457. Chartrier du Fouilloux ; amendes et remembrances des plaids des fiefs et seigneuries de Saint-Jean-sur-Mayenne et la Girardière, 1601-1636.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 100 J 14. Fonds Périer ; partage de la succession de Vincent Périer, seigneur du Coudray et de la Girardière, 1675.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 432 J 1. Fonds Guinebretière ; bordereau général des mémoires et forfaits des travaux exécutés, 1924-1938.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 3 P 396, 397, 702, 1628. Matrices cadastrales, registres des augmentations et diminutions de construction de la commune de Saint-Jean-sur-Mayenne, XIXe-XXe siècles.

  • Archives départementales de la Mayenne ; MS 80/5-5. Monographie communale de Saint-Jean-sur-Mayenne, par l'instituteur Duval, 1899.

Bibliographie

  • ANGOT, Alphonse (abbé). Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne. Laval : Goupil, 1902.

  • ANGOT, Alphonse. La Mayenne : sites, monuments et souvenirs du département.

Périodiques

  • ANGOT, Alphonse (abbé). "Une journée du sergent d'Anthenaise (1er octobre 1490)". L'Union historique et littéraire du Maine, t. 1, 1893.

    p. 33-37

Documents figurés

  • Collection de cartes postales anciennes des communes de la Mayenne. (Archives départementales de la Mayenne ; 5 Fi).

  • Plans d'agrandissement du château de la Girardière à Saint-Jean-sur-Mayenne, par l'architecte Léon Guinebretière, s. d. (Archives départementales de la Mayenne ; 432 J 27).

  • Plan cadastral napoléonien de Saint-Jean-sur-Mayenne, 1811 (?). (Archives départementales de la Mayenne ; 3 P 2817).

Documents multimédia

  • TONDREAU, Viviane. Léon-Henri Guinebretière (1892-1965), architecte départemental de la Mayenne. La Mayenne, archéologie, histoire. [en ligne]. N° 2014 [20.01.2018]. Accès Internet : <https://archives.lamayenne.fr/publication/leon-henri-guinebretiere-1892-1965-architecte-departemental-de-la-mayenne>

Date(s) d'enquête : 2021; Date(s) de rédaction : 2021
(c) Conseil départemental de la Mayenne
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Barreau Pierrick
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Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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Articulation des dossiers
Parties constituantes