Dossier d’œuvre architecture IA72058826 | Réalisé par
Barreau Pierrick (Contributeur)
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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  • inventaire topographique, Bourgs et petites cités du Perche sarthois
Bourg de Montfort-le-Gesnois : ancien bourg de Pont-de-Gennes
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays du Perche sarthois - Savigné-l'Evêque
  • Commune Montfort-le-Gesnois
  • Adresse
  • Précisions anciennement commune de Pont-de-Gennes
  • Dénominations
    bourg
  • Précision dénomination
    ancien bourg
  • Appellations
    Pont-de-Gennes

De la villa gallo-romaine à l'agglomération

Selon les Actus Pontificum Cenomannis, rédigés au IXe siècle, Pont-de-Gennes figure parmi les domaines dont fut doté l'évangélisateur du Maine saint Julien au IVe siècle. La véracité de cette source prête naturellement à caution, toutefois l'implantation d'une villa gallo-romaine, ou grand domaine agricole, sur ce territoire dès l'Antiquité est très probable. Peut-être sommes-nous sur le tracé de la voie romaine du Mans à Chartres, à l'emplacement où elle franchissait l'Huisne. Toutefois, son tracé reste incertain, plusieurs auteurs la font traverser l'Huisne à Champagné pour rejoindre Saint-Mars-la-Brière puis Connerré. Dans ce cas, les origines de la route passant par Pont-de-Gennes seraient médiévales. Autre incertitude, la villa antique de Pont-de-Gennes ne se trouvait peut-être pas au niveau du bourg actuel, mais à proximité. Aucune fouille n'a permis d'établir avec certitude cet emplacement, mais au début du XXe siècle, l'agent-voyer cantonal dit avoir mis au jour des vestiges gallo-romains à Genneau (ou Juneau) : "de nombreux vestiges de constructions avec fragments d'enduits peints, sols bétonnés, fragments de tegulae et de céramique".

La villa n'est attestée par les écrits qu'à partir du VIIe siècle ("De villa Geneda"), période à laquelle elle est toujours propriété du chapitre cathédral du Mans. En 832, Geneda, qui deviendra Gennes, puis Pont-de-Gennes, est qualifiée de vicus publicus (bourg public) : c'est donc déjà une petite agglomération à vocation administrative et économique. C'est sans doute également l'une des premières paroisses établies dans le Maine. Son premier vocable, Saint-Victeur (avant de devenir Saint-Gilles), fait référence au premier évêque du Mans historiquement attesté qui vécut au Ve siècle. Gérard Louise pense que c'est l'évêque Sigefroy de Bellême qui l'aliène au profit de son fils Hugues de Gennes peu avant l'an mille. Bruno Lemesle avance quant à lui que le domaine passe en mains laïques avant 802.

Les temps féodaux

Un Castrum Genide, cité au milieu du XIe siècle, est la résidence fortifiée de la famille de Gennes, dont le premier représentant connu est Hugues. Selon l'historiographie, il s'agirait du fils de l'évêque du Mans Sigefroy. Sigefroy étant mort vers l'an 1000, et Hugues de Gennes après 1082, on peut toutefois se demander si une génération n'a pas été oubliée et si il n'y a pas eu deux Hugues seigneurs de Gennes. Quoi qu'il en soit, où se trouvait exactement ce premier castrum ? On l'ignore, mais la carte de Cassini du XVIIIe siècle indique, au niveau du bourg, le lieu-dit le Château aujourd'hui disparu. Bien plus au nord, le lieu-dit Châteaux existe toujours, mais il se trouve beaucoup plus éloigné du bourg. Aucune trace archéologique ne permet pour l'heure d'en dire plus. Au XIe siècle, l'église actuelle est édifiée, sans doute à la suite d'une construction en bois. L'épouse d'Hugues de Gennes, Agnès de Chaources, est à l'origine de la fondation du prieuré Saint-Gilles à la fin du XIe siècle, et dont une portion présente toujours des baies romanes. Celui-ci, siège d'une seigneurie vassale, abritera une petite communauté de bénédictines jusqu'à la Révolution.

Alors que l'église et le prieuré deviennent le noyau du bourg médiéval de Pont-de-Gennes, la résidence seigneuriale est rapidement déplacée, à l'initiative d'Hugues de Gennes ou de son gendre Rotrou, fils cadet du comte du Perche. Le site de la vallée étant trop vulnérable aux incursions on vient chercher la protection offerte par le promontoire voisin, ce "Mons fortis" qui deviendra progressivement Montfort-le-Rotrou, le noyau d'un autre bourg puis d'une nouvelle paroisse, s'affranchissant de la tutelle de Pont-de-Gennes. Cette dernière se trouve désormais sous l'autorité des seigneurs de Montfort. L'histoire des deux localités est inextricablement liée et indissociable de la seigneurie de Montfort et des nombreuses familles qui la possèdent successivement. On peut supposer que le développement de Pont-de-Gennes en fut un moment ralenti, peut-être même que le bourg se rétracta. Néanmoins, le pont devait jouer un rôle déterminant pour l'agglomération, car il est alors le seul sur l'Huisne entre Le Mans et La Ferté-Bernard.

Quelle idée pouvons-nous nous faire du bourg de Pont-de-Gennes au Moyen Age et à l'Époque Moderne ? Le réseau actuel des rues est semble-t-il déjà en place autour de l'église. En revanche, on ignore à quelle époque est créé le champ de foire. La rue de l'Église est au centre de l'animation avec ses auberges, comme le Plat d'Étain, et ses commerçants. Selon un aveu du prieuré de 1739, on y trouve un poteau avec les armoiries du seigneur de Montfort et les étaux des bouchers. On trouve un certain nombre de maisons de marchands, comme sans doute celle visible à l'arrière de la rue des Piliers. Dans cette même rue se trouve la maison seigneuriale des Piliers, avec ses arcades sur la rue.

Deux bourgs en concurrence

Bien que Pont-de-Gennes ait toujours maintenu son existence en tant que bourg et paroisse, Montfort a pris l'ascendant et obtient le statut de ville, par ses importants marchés et foires, ses prérogatives administratives (bailli et procureur fiscal) et ses portes qui en font une agglomération close, tandis que Pont-de-Gennes demeure simple bourg. Au XVIIIe siècle, la carte de Cassini figure Pont-de-Gennes comme une simple rue au sortir de Montfort. Après la Révolution, le tout nouveau conseil municipal de Montfort écrit que Pont-de-Gennes n'est guère plus que son "faubourg Saint-Gilles", fait-il référence à une réalité de fait ou exagère-t-il pour dénigrer son rival ? Certes, le terme faubourg, que l'on ne retrouve d'ailleurs pas dans les archives au sujet de Pont-de-Gennes, est dans ce cas historiquement inexact, mais il reste difficile de déterminer dans quelle mesure l'ascendant de Montfort en tant que siège de la châtellenie s'est imposé réellement sur Pont-de-Gennes.

Il semblerait que les seigneurs de Montfort aient malgré tout veillé à maintenir un certain équilibre entre les deux agglomérations, alors séparées par seulement quelques centaines de mètres. En témoignent la création à Pont-de-Gennes, vers le XIIIe siècle, de l'aumônerie puis hôpital qui restera celui des deux paroisses jusqu'au XIXe siècle ; la fondation dans le bourg vers le XVe siècle d'une seigneurie vassale, dite des Piliers, dont la mouvance s'étend grossièrement sur l'ouest du bourg, tandis que l'est se trouve dans le giron du prieuré ; l'établissement d'un vaste champ de foire sans doute à la période moderne, peut-être pour désengorger les foires de Montfort. En réalité, Montfort-le-Rotrou, qui ne s'étend pas au-delà de son bourg, a cruellement besoin de ses voisins, et notamment de Pont-de-Gennes, qui en assure l'accès par le pont et dispose d'un vaste territoire. L'utilisation par Montfort, à l'Époque Moderne, du cimetière de Pont-de-Gennes, car ne disposant pas de terrains propres, en est une preuve éclatante.

Si le succès des foires et marchés de Montfort assure à Pont-de-Gennes, dans son sillage, une certaine vitalité économique et la présence de quelques marchands et auberges, il semble que la paroisse vive essentiellement, jusqu'au XIXe siècle, de l'agriculture et du petit artisanat. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la démographie des deux paroisses est comparable. A partir de 1747 et durant un demi-siècle, l'Huisne est rendue flottable à partie de Pont-de-Gennes, pour l'acheminement du bois de marine depuis la forêt de Bonnétable. Les portes marinières construites par le duc de Chevreuse seront détruites au début du XIXe siècle à la demande des exploitants des moulins. Mais le lieu-dit la Marine, à proximité du bourg, où les bois étaient mis à l'eau, témoigne encore aujourd'hui de cette activité. L'établissement de la route royale par Saint-Mars-la-Brière dans les années 1770-1780, en lieu et place du grand chemin médiéval par Montfort et Pont-de-Gennes, est un coup dur pour les deux paroisses, mais pénalise surtout Montfort et son activité économique. Lorsqu'éclate la Révolution, la nouvelle commune de Pont-de-Gennes a suffisamment de poids pour faire valoir sa candidature au chef-lieu de canton, face à Montfort, mais sans succès.

Une agglomération en pleine expansion au XIX siècle

C'est toutefois le XIXe siècle qui voit véritablement l'économie de Pont-de-Gennes se développer. Dans les années 1840, la situation de la commune est ainsi décrite : "Cette localité produit des céréales, et abondamment : sarrasin, maïs, chanvre et pommes de terre. Des prés de bonne qualité le long de l'Huisne augmentent ses moyens d'élever des bestiaux. On y blanchit le fil et on en fait commerce : 30 à 40 métiers fabriquent des toiles dites bruns, communs et canevas. Des deux foires, qui consistent en bestiaux et denrées du pays, celle de novembre est assez bonne". On trouve toujours dans la commune une majorité de travailleurs agricoles. On relève aussi la présence de nombreux maçons et charpentiers, peut-être attirés par les chantiers lancés par la famille de Nicolaÿ, à commencer par la reconstruction du château de Montfort. Le tissage du chanvre est la principale industrie avec une trentaine de tisserands et autant de fileuses. Le moulin sur l'Huisne est l'une des principales minoteries du département, avant son incendie en 1914. Les deux foires annuelles prennent un réel essor, si bien que leur durée est allongée avant qu'une troisième ne soit créée. En parallèle, celles de Montfort déclinent fortement.

Toutefois, Pont-de-Gennes (comme Montfort) reste relativement peu industrialisée, contrairement à sa voisine Connerré, avantagée par sa position sur la route royale puis nationale et à la croisée de deux lignes de chemin de fer. Le tissu urbain ne connait aucun chamboulement au XIXe siècle : aucune nouvelle rue n'est percée, les plans d'alignement ne génèrent pas d'importantes démolitions. Le vieux pont en revanche fait l'objet de multiples menaces d'élargissement ou de destruction. En effet, l'arrivée du chemin de fer et la création d'une gare en 1854 près de l'Aumônerie, incitent la municipalité reconstruire le pont. Finalement, la construction d'une autre gare desservant mieux les deux bourgs, à la Pécardière, cause l'abandon du projet.

Contrairement à Montfort, la commune de Pont-de-Gennes n'envisage pas de grands travaux pour ses édifices publics. La mairie, les écoles et le presbytère occupent ainsi différents bâtiments, souvent d'anciennes maisons ou fermes. La seule construction publique notable commanditée par la commune au XIXe siècle est une très discrète école de garçons placée sur le champ de foire. Dans le bourg, le développement du bâti se fait principalement vers le nord autour du champ de foire et dans le prolongement des rues existantes, en premier lieu la rue Honoré Broutelle. Ainsi, l'extension urbaine de Montfort et Pont-de-Gennes et l'établissement de nouveaux bâtiments publics communs (école privée, hospice) au cours du XIXe siècle permettent la jonction progressive des deux agglomérations, bien avant leur fusion administrative en 1986.

  • Période(s)
    • Principale : Antiquité, Moyen Age, Temps modernes, Epoque contemporaine

Implanté dans la vallée de l'Huisne, l'ancien bourg de Pont-de-Gennes, situé au débouché du vieux pont, offre une configuration générale en carrefour à trois branches. Quatre rues principales dessinent deux axes perpendiculaires. L'axe nord-sud concentre l'essentiel du bâti ancien autour du pont, de l'église et du prieuré : il se compose de deux rues parallèles, la rue de l'Église et celle des Piliers, en référence à l'ancienne maison seigneuriale des Piliers aujourd'hui disparue. C'est un axe de passage obligé entre la rive gauche et la rive droite de l'Huisne. L'axe est-ouest relie Montfort-le-Rotrou à la Ferté-Bernard via la rive droite de l'Huisne. La rue Honoré Broutelle et la rue des Dames en constituent le tracé ancien. La rue de La Ferté, rectiligne, a été tracée plus récemment, peut-être suite à la création du champ de foire carré qui occupe un vaste emplacement au nord du bourg.

Le maillage serré des parcelles et du bâti dans la rue de l'Église, la rue des Piliers et la rue Honoré Broutelle jusqu'au carrefour du Chardon révèle l'ancienneté de l'urbanisation de ce secteur. Les maisons y sont mitoyennes, souvent avec étage, alignées sur les rues et parfois réparties autour de cours communes avec puits. En revanche, le tissu urbain est beaucoup plus lâche autour du champ de foire et du cimetière, dont le pourtour fut bâti principalement à la fin de l'Époque Moderne et au XIXe siècle. On y rencontre également des anciennes fermes, souvent très transformées. Au-delà, autour du centre commercial, prennent place les lotissements contemporains. Un bâti désormais continu longe également les routes de La Ferté et de Lombron sur plusieurs kilomètres, annexant à l'agglomération du bourgs plusieurs anciens hameaux. En revanche, aucune extension ne s'est réalisée de l'autre côté du pont, préservant le paysage remarquable offert de ce côté par l'Huisne, le pont, le moulin, le barrage et les vieilles maisons du bourg en arrière-plan.

  • Statut de la propriété
    propriété privée
    propriété publique

Documents d'archives

  • Archives départementales d'Eure-et-Loir ; H 4234. 1176-1226 : confirmations des possessions de l'abbaye de Saint-Avit près de Chateaudun.

  • Archives départementales d'Eure-et-Loir ; H 4611. 1202-XVIIe siècle : donation à l'abbaye de Saint-Avit près Châteaudun par Agnès, femme de Hugues de Gennes, des églises de Saint-Victeur de Gennes, de Saint-Jean de Vibraye et autres biens (et copies de cette donation).

  • Archives départementales d'Eure-et-Loir ; H 4616. 1507-1631 : acquisitions par le prieuré de Pont-de-Gennes de maisons et terres au même lieu.

  • Archives départementales d'Eure-et-Loir ; H 4618. 1451-1648 : baux des domaines du prieuré de Pont-de-Gennes.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 13 F 870. Collection Callendini, Pont-de-Gennes.

  • Archives départementales de la Sarthe ; H 1577. 1739-1749 : prieuré Saint-Gilles de Pont-de-Gennes, aveux et déclarations.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 18 J 575. Collection Paul Cordonnier, ancienne commune de Pont-de-Gennes.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 6 M 474. 1800, 1803 : statistique du département de la Sarthe commandée par le préfet Auvray.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 8 M 115. 1844-1909 : foires et marchés de Pont-de-Gennes.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 1 Mi 1343 (R 155). 1790-1889 : délibérations du conseil municipal de Pont-de-Gennes.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 3 O 121. 1839-1927 : chemin de grande communication n° 8 de Ballon à Bouloire, alignements et travaux, commune de Pont-de-Gennes.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 3 O 454. 1863-1895 : chemin d'intérêt commun n°81 de Tuffé à Pont-de-Gennes, commune de Pont-de-Gennes.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 3 O 1273. 1801-1938 : voirie urbaine, commune de Pont-de-Gennes.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 7 S 133. 1807-1939 : bassin de l'Huisne.

  • Archives diocésaines du Mans ; boîte 1106. Papiers concernant la paroisse de Pont-de-Gennes.

Bibliographie

  • BOUTON, André. Le Maine : histoire économique et sociale, t. 1. Le Mans : Monnoyer, 1975.

  • CAUVIN, Thomas. Géographie ancienne du diocèse du Mans. Paris : Derache libraire, Le Mans : Gallienne imprimeur-libraire, 1845.

  • DEBUISSER, J.-P. Histoire de Pont-de-Gennes, Montfort-le-Rotrou, Saussay (avant 1789). Pont-de-Gennes : 1981.

  • Le patrimoine des communes de la Sarthe. Paris : Flohic éditions, 2000. 2 vol.

    p. 1202-1206
  • LEMESLE, Bruno. La société aristocratique dans le Haut-Maine (XIe-XIIe siècles). Rennes : Presses universitaires, 1999.

    p. 135-145
  • LE PAIGE, André-René (chanoine). Dictionnaire topographique, historique, généalogique et bibliographique de la province et du diocèse du Maine. Le Mans : Toutain ; Paris : Saugrain, 1777, 2 tomes. Réimpr. Mayenne : imprimerie de l'Ouest, A. Nézan, 1894.

  • LIGER, François-Joseph. La Cénomanie romaine. Paris : 1903.

    p. 141, 147, 300
  • LOUISE, Gérard. La seigneurie de Bellême, Xe-XIIe siècles, t. 1. Flers, 1990.

    p. 134-136, 241
  • PESCHE, Julien-Rémy. Dictionnaire topographique, historique et statistique de la Sarthe, t. 1, 1829. Réédition Paris : Lorisse, 1999.

    p. 480-484
  • PROVOST, Michel. La Loire-Atlantique. Carte archéologique de la Gaule. Paris : Académie des Inscriptions et Belles Lettres, 1988.

  • VALLÉE, Eugène. Dictionnaire topographique du département de la Sarthe, comprenant les noms de lieux anciens et modernes, revu et publié par R. LATOUCHE. Paris, Imprimerie nationale, 1952.

Périodiques

  • ROBVEILLE, Alphonse, FROGER, Louis. "La communauté d'habitants de Pont-de-Gennes". La Province du Maine, 1908.

    p. 309-325, 341-356, 385-398
  • ROBVEILLE, Alphonse. FROGER, Louis. "La communauté d'habitants de Pont-de-Gennes" (suite et fin). La Province du Maine, t. 17, 1909.

    p. 23-39

Documents figurés

  • Cartes postales anciennes, commune de Montfort-le-Gesnois. (Archives départementales de la Sarthe ; 2 Fi).

  • 1840 : plan d'alignement de la rue Honoré Broutelle et de la rue de l'Église de Pont-de-Gennes. (Archives départementales de la Sarthe ; 3 O 121).

  • 1872 : plan d'alignement de la rue de La Ferté à Pont-de-Gennes. (Archives départementales de la Sarthe ; 3 O 454).

  • XIXe siècle : plans d'alignement, voirie urbaine de Pont-de-Gennes. (Archives départementales de la Sarthe ; 3 O 1273).

  • 1836 : plans cadastraux napoléoniens de Montfort-le-Rotrou et Pont-de-Gennes. (Archives départementales de la Sarthe ; PC\208 et 244).

  • 1949 : plans d'une salle des fêtes pour Pont-de-Gennes, par Levasseur et Goussin (projet non réalisé). (Archives municipales de Montfort-le-Gesnois ; 5 M 1).

  • 1936 : plans de construction d'un bateau-lavoir à Pont-de-Gennes. (Archives municipales de Montfort-le-Gesnois ; 5 M 12).

  • Collection Goisedieu de cartes postales et de photographies anciennes, commune de Montfort-le-Gesnois. (Collection particulière).

Annexes

  • L'acte de fondation du prieuré de Pont-de-Gennes.
  • La rivalité de Montfort-le-Rotrou et Pont-de-Gennes pour le statut de chef-lieu de canton et de pôle commercial, en 1790.
Date(s) d'enquête : 2019; Date(s) de rédaction : 2019
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
(c) Pays du Perche sarthois
Barreau Pierrick
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Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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