En 1827, la micro-toponymie de l'écart de l'Éterreau rend compte de l'aménagement suivant : la grange, le fournil, la cour de l'Éterreau, la vigne de l'Éterreau, la vigne du four, le verger, le jardin, le jardin de derrière, le jardin de devant, la pâture des caves… Cependant, il avait déjà évolué puisque par exemple sur la parcelle dite la grange, il y avait une maison, et les parcelles du verger étaient plantées en vigne ou devenues des terres labourables.

En ce qui concerne le bâti, l'écart comprenait de part et d'autre de la route quatre maisons (A 784, A 785, A 635, A 637) appartenant à trois cultivateurs (Louis Aubry, François Lallier, Jacques Lallier), une grange (François Lallier) et une autre dépendance sur la parcelle du fournil (Louis Martin). Tout cela est aujourd'hui illisible. La grange et la dépendance (fournil ?) ont été détruits. Deux maisons ont été détruites d'un côté de la rue (et deux construites). Deux maisons d'Ancien Régime subsistent (A 635 et A 637). L'une (non photographiée) a été rénovée. L'autre a été réaménagée et allongée ; elle est maintenant désaffectée. Une grange a été construite ex nihilo au XIXe siècle.