Dossier d’œuvre architecture IA53004504 | Réalisé par
Barreau Pierrick (Contributeur)
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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  • enquête thématique départementale, rivière Mayenne
Demeure dite château
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Mayenne - Azé
  • Commune Fromentières
  • Lieu-dit le Grand-Coulonge
  • Cadastre 1833 C1 136, 143 à 147  ; 2022 C 10, 11, 681
  • Dénominations
    demeure
  • Parties constituantes non étudiées
    chapelle, pigeonnier, fossé, parc, mur de clôture, portail, dépendance, puits, remise, écurie, étable, cour, toit à porcs

L'histoire du Grand-Coulonge a fait l'objet d'une étude monographique par Gérard d'Ambrières, publiée dans la revue la Province du Maine en 1989. Celle-ci s'appuie principalement sur les archives familiales héritées des Le Tessier, propriétaires du domaine à compter de la fin du XVIe siècle, auxquelles il faut ajouter les amendes et remembrances des plaids de la seigneurie de Fromentières dont était vassale celle de Coulonge.

Un site féodal à l'histoire complexe

Un premier aveu est rendu le 29 juin 1410 par Colette de Gouby, femme de Fouquet de la Rongère pour son "lieu et hébergement, domaine et appartenances de Coulonge" comprenant "hébergement, estrage, fuie, garenne, aires, terres arables et non arables, gasts, prez, pastures, boys, hayes, landes, foussez, plasses, brosses et lices, sauldraies, ouzeraies et autres choses". Comme le précise Gérard d'Ambrières, cet acte indique déjà les limites de la seigneurie qui ne varieront guère par la suite : du ruisseau de l'Esclevon au sud au coteau du ruisseau du Pont-Manceau au nord, de la Mayenne à l'ouest et à l'est "une limite moins nette qui coupe en biseau la route de Fromentières". Il semble que la Chanteguerie – aujourd'hui le Petit Coulonge – en fasse déjà partie.

En 1420, Jean Machefer et Jeanne de la Rongère son épouse rendent à leur tour aveu pour Coulonge "tant en fié que en domaine". Cette dernière est veuve en 1425 et c'est à la suite de son remariage avec Pierre de Meaulne que le manoir change à nouveau de mains au milieu du XVe siècle. En 1469, leur fils Guillaume de Meaulne, écuyer seigneur de Coulonge, rend à son tour hommage "à cause et par raison du domaine de Coulonge avec ses appartenances et dépendances". A la mort de Guillaume, ses enfants héritent en indivision de la terre de Coulonge et émargent aux plaids de Fromentières dans la 2e moitié du XVe siècle et le début du XVIe siècle, mais ces documents, souvent difficilement lisibles, n'apportent pas de description complémentaire.

De cette complexe indivision, sur laquelle s'étend longuement Gérard d'Ambrières, et qui voit les héritiers de Meaulne rendre hommage pour des portions de Coulonge, on retiendra peut-être surtout le passage de Mathurin Cheminard, fils d'Olivier Cheminard et de Marie de Meaulne. Celui-ci est seigneur de Coulonge dans deux aveux de 1514, alors qu'il est encore mineur et représenté par son oncle et tuteur doyen de l'église du Mans, et de 1540. A cette époque s'opère semble-t-il la scission du Petit-Coulonge, bien que le statut féodal du lieu paraisse incertain tout au long de son histoire : tantôt terre noble ou maison seigneuriale, tantôt simple lieu ou métairie, le Petit Coulonge voit la construction d'une grande maison de maître sur terrasses à l'aplomb de l'Esclevon au XVIIe ou au XVIIIe siècle, aujourd'hui détruite.

 

La conservation des témoignages de la féodalité

Transformé au XIXe siècle comme la plupart des domaines seigneuriaux bordant la Mayenne, le Grand-Coulonge se singularise par la préservation ostentatoire de ses attributs féodaux. La plateforme quadrangulaire où se trouve le logis est ainsi encore partiellement ceinturée de ses anciens fossés qui pourraient être ceux cités dans l’aveu de 1410. Toutefois, en 1899, l’instituteur communal signale qu’à "la ferme de Grand-Coulonge on voit encore les restes d’une enceinte circulaire avec talus en terre entourée d’un fossé dite le fief et ayant le même usage que les mottes féodales". A moins d’une erreur de l’auteur, cette autre enceinte évoquant une motte castrale n’est pas localisable sur site et n’est pas visible sur le plan cadastral de 1830.

Le pigeonnier circulaire ou fuie est également un privilège féodal, l’un des rares exemples conservés à proximité de la Mayenne. On en signale un au Grand-Coulonge dès 1410, mais il est difficile d'avancer une datation exacte pour l'édifice actuel ; en revanche, il ne fait guère de doute qu’il ait été repris et modifié vers le XVIe ou le XVIIe siècle, comme l’atteste la forme de la couverture. Chanfreinés, certains éléments de charpente (poinçon, entraits) sont peut-être antérieurs. L’axe central tournant et l’échelle qui permettait d’accéder aux boulins a disparu. La couverture a été restaurée en 2013.

Quant à la chapelle, semble-t-il dédiée à saint Mathurin, elle est postérieure à l’aveu de 1410 qui ne la cite pas. Invoquant l’abbé Angot, Gérard d’Ambrières précise qu’elle est construite au XVe siècle car l’érudit y aurait vu les armoiries de Meaulne peintes sur des culots ; mais si on se réfère à son dictionnaire, l’abbé Angot affirme au contraire qu’elle est construite et fondée d’une messe tous les mercredis en 1631. La prudence s’impose : ce texte de fondation n’a pas été retrouvé et rien n’atteste non plus de l’existence de ces armoiries peintes. L’édifice accusant encore le style gothique (baies trilobées, accolades de la porte et du lavabo liturgique), il ne peut être daté de 1631. Il faut sans doute considérer l’hypothèse que, au regard du vocable saint-Mathurin, la chapelle pourrait avoir été édifiée comme oratoire pour Mathurin Cheminard, seigneur de Coulonge au milieu du XVIe siècle. Le clocheton en pierre de taille est peut-être ajouté lors de la fondation en 1631. L'édifice était encore utilisé en 1739, bien qu’il n’apparaisse ni sur la carte de Jaillot de 1706, ni sur la carte de Cassini. Il est soigneusement restauré à la fin des années 2010.

L'acquisition par la famille Le Tessier

Dans la 2e moitié du XVIe siècle, le Grand-Coulonge appartient à une famille de magistrats venus d'Angers, les Chalopin, seigneurs d'Aubigné. D'après les travaux de Gérard d'Ambrières, Jean Chalopin y résidait en 1558 ; celui-ci ne s'étant semble-t-il pas marié, une nouvelle indivision est ensuite établie entre ses frères et sœurs. Il faut attendre la fin du XVIe siècle pour y mettre fin et réunifier le Grand-Coulonge. Progressivement, François Le Tessier, père et fils, sieurs de la Guindonnière, rachètent les parties du Grand-Coulonge, dont la veuve du père, Andrée Eveillard, produit les contrats en 1597. Au décès de cette dernière en 1601, le partage de sa succession inclut en premier lot "les trois cinquièmes parties du lieu terre fief et seigneurie de Grand Coulonge". Le 26 mars 1602, François le Tessier fils achète finalement le reste du "lieu terre fief et seigneurie du Grand Coullonges dont la principalle mayson est située en la parroisse de Fourmentières près Chasteaugontier" à René Chalopin.

Le domaine se trouve ainsi réuni dans les mains d'une famille originaire d'Angers, magistrats à Château-Gontier, sans doute issue du commerce de textiles comme le suggère son nom, les Le Tessier, qui se disent dès lors "sieurs de Coulonge". On peut voir dans la fondation de la chapelle, et peut-être dans la remise en état du pigeonnier, le souci d'anoblir son rang pour une famille issue de la bourgeoisie de robe. Il n'est pas interdit de penser que le logis médiéval fut également remanié pour être mis au goût du jour, à l'image des maisons de maître de campagne angevines ou lavalloises. Une nouvelle fois, les travaux de Gérard d'Ambrières, s'appuyant sur les archives Le Tessier, permettent d'approfondir la généalogie de cette famille. Depuis la fin du XVIe siècle, elle est propriétaire du Grand-Coulonge, mais aussi du Grand-Douaillon à Gennes et de Mirwault à Azé. Frères de François, Charles et Gabriel Le Tessier sont respectivement conseiller et greffier au présidial de Château-Gontier. Charles Le Tessier rend aveu en 1642 et réside en sa maison seigneuriale de Coulonge en 1656 ; sa succession en 1663 fait état du Grand-Coulonge, mais aussi de Douaillon, de la closerie de la Maisonneuve et de la seigneurie des Roches à Gennes. Après quelques complications, le Grand-Coulonge revient à sa fille Georgine, épouse de Michel de la Barre, sieur de la Baumerie.

En 1680, c'est leur fils Michel de la Barre, prêtre et chanoine de Saint-Just de Château-Gontier, qui rend aveu du Grand-Coulonge. En 1673, celui-ci supplie l'évêque de pouvoir dire la messe dans sa chapelle de Coulonge. La propriété passe ensuite à sa nièce Renée le Cercler de la Gautraye, puis la cousine de cette dernière Marie Allaire, laquelle rend aveu à son tour en 1741. S'ensuit un nouveau partage, où est ainsi décrit le Grand-Coulonge : "la maison de maître ou logis dudit lieu, chapelle, cour, fuye, pavillon avec four, étable et pépinière au bout dudit corps de logis vers le nord, ainsy que paroit l'ancienne tranchée, jardin, verger, fossés, le tout en un tenant, et le puits en ledit jardin […]". Si le Grand-Coulonge est systématiquement présenté comme une maison de maître au XVIIIe siècle, rien ne permet d'en connaître précisément l'aspect, mais il est probable que le manoir médiéval avait disparu au profit d'une demeure plus confortable, comme le suggèrent les descriptions postérieures.

 

 Une résidence de campagne en périphérie de Château-Gontier

Curé d'Ampoigné et chapelain de Coulonge depuis 1758, Joseph Le Tessier rachète progressivement les parties du Grand-Coulonge, où il décède en 1776. La propriété passe alors à son frère, François Le Tessier-Douaillon, avocat à Château-Gontier et maire de la ville de 1780 à 1789. Paradoxalement, le fils de ce dernier, Julien-Joseph Le Tessier-Coulonge, n'en fut jamais propriétaire, ayant émigré à la Révolution. C'est son frère François-Pierre Le Tessier-Douaillon qui en hérita. Le 11 thermidor an II (28 juillet 1794), la succession de leur père citait "la maison de réserve de Coulonge, bâtimens, logemens, cour, rues issues et jardin en dépendant", ainsi que la métairie du Haut-Coulonge, la métairie du Bas-Coulonge et la closerie de Coulonge en dépendant, probablement issus des multiples démembrements des siècles précédents. Le 6 termidor an IV (24 juillet 1796), François-Pierre Le Tessier soumettait à l'administration des biens nationaux pour estimation "la maison de réserve de Coulonge distribuée d'un sallon sans cheminée, une salle à cheminée et cuisine, quatre chambres à cheminée, grenier dessus, une cave et deux caveaux, une laverie, une cour contenant deux cordes et demie, écuiries et étables, une chapelle, une fuye, une autre cour où est un engard contenant icelle deux cordes".

La description de la demeure faite en 1796, si elle n'était imprécise, pourrait coïncider avec la demeure actuelle, qui figure sur le plan cadastral napoléonien de 1836. Néanmoins, les décors de façade en tufeau, dans la continuité du goût néoclassique du XVIIIe siècle, renvoient davantage à une datation des premières décennies du XIXe siècle. La demeure affiche une parenté étroite avec le manoir de Montvian à Bazouges (Château-Gontier), remanié à la même époque et dont la composition est très semblable, à l'exception du fronton et de quelques détails sculptés. Résidant tout à la fois à Château-Gontier, où il exerce comme avocat, et à Coulonge, François-Pierre Le Tessier-Douaillon (mort en 1818) pourrait être l'auteur des transformations de la demeure, à moins qu'il ne s'agisse de fils François. La courte aile accolée au nord est quant à elle ajoutée dans la 2e moitié du XIXe siècle.

Le plan cadastral napoléonien donne un état du domaine en 1836. En plus de la maison mise au goût du jour, des fossés, de la chapelle et du pigeonnier conservés, on trouve également les remises et toits à bêtes toujours visibles au nord du logis, ainsi que des bâtiments de ferme à l'arrière dont il ne reste presque plus rien. Le long de la nouvelle route tracée au XVIIIe siècle entre Laval et Château-Gontier, se trouve un "jardin anglais" destiné à l'agrément, tandis que le jardin utilitaire et le verger sont placés à l'arrière de la propriété. La ferme du Grand-Coulonge est en grande partie reconstruite dans le 2e quart du XIXe siècle : l'édification d'un nouveau logis de ferme est signalée par les matrices cadastrales pour l'année 1847. On note alors le soin apporté à la modernisation de la ferme, à travers la construction de bâtiments réguliers, fonctionnels et esthétiques comme en témoignent les décors en briques et l'avant-corps à pans coupés du logement. Des bâtiments plus anciens situés au centre de la cour ont depuis été démolis. La propriété demeure aux descendants des Le Tessier, dont le nom se perd à partir du mariage d'Augustine Le Tessier-Douaillon avec Daniel Daudier en 1848. La famille de Quatrebarbes est propriétaire du Grand-Coulonge à compter de la fin du XIXe siècle.

  • Période(s)
    • Principale : Moyen Age, milieu 16e siècle, 17e siècle, limite 18e siècle 19e siècle, 2e quart 19e siècle, 2e moitié 19e siècle , (incertitude)
    • Secondaire : 1er quart 21e siècle

La demeure du Grand-Coulonge est édifiée à proximité de la Mayenne, sur le coteau en pente douce, à peu de distance de la sortie nord de l'agglomération de Château-Gontier.

Le logis, orienté à l'ouest, dirige sa façade principale vers la vallée. Celle-ci présente une élévation ordonnancée à trois travées ; la travée centrale est mise en valeur par son traitement en pierre de taille de tuffeau. La façade présente un décor sculpté soigné. Quatre pilastres colossaux ornés de chapiteaux ioniques rythment l'élévation et soutiennent l'entablement coiffé d'une corniche à denticules. La porte, cintrée, présente une imposte en éventail ; l'encadrement comprend deux pilastres, une agrafe saillante et un larmier mouluré. Les fenêtres de l'étage sont ornées d'appuis et d'encadrements moulurés avec agrafes saillantes. La façade postérieure, dépouillée, présente trois travées, des chainages d'angles harpés, des encadrements de baies saillants, une corniche moulurée et trois lucarnes à frontons triangulaires. La courte aile accolée au nord, correspondant à une cuisine, présente un toit brisé ajouré de lucarnes à ailerons et frontons triangulaires. La distribution des salons et salle à manger du rez-de-chaussée, orientés vers la vallée, s'articule autour du vestibule abritant l'escalier en bois, placé à l'arrière.

La chapelle, derrière le logis, est orientée ; c'est un simple édifice rectangulaire, coiffé d'un toit à deux pans et couronné d'un clocheton sans ornement. La porte est surmontée d'un linteau segmentaire en tuffeau sculpté en accolade. La baie axiale et celle aménagée dans le mur sud sont trilobées. On note la présence, à l'intérieur, d'un lavabo liturgique décoré d'une accolade moulurée. Le couvrement en lambris a été refait mais la charpente est d'origine : les entraits et poinçons sont bagués et les entretoises reposant sur les murs gouttereaux sont moulurées.

Situé tout près de la chapelle, le pigeonnier ou fuie présente un plan circulaire et une couverture en dôme percée de trois lucarnes. Sous le toit se trouve le cordon en pierre et la bande d'enduit empêchant l'accès aux animaux nuisibles. La porte présente un encadrement très irrégulier, assemblage de blocs de grès et de schistes. L'intérieur conserve ses boulins rectangulaires maçonnés en brique, incrustés dans le mur en moellons, le tout recouvert d'enduit. La charpente, restaurée, repose sur deux entraits en croix et un poinçon autour duquel se déploie une enrayure. L'encoche destinée à l'axe tournant portant l'échelle est encore visible.

La ferme se développe à l'arrière de la propriété. En fond de cour à l'est, le logis des fermiers est traité de façon remarquable, avec son avant-corps à trois pans et son positionnement légèrement surélevé, d'où il semble rivaliser avec la demeure des maîtres. Les angles, les encadrements des ouvertures et le bandeau sont en briques, le soubassement est en schiste apparent, le reste de l'élévation est enduit, induisant une certaine polychromie de la façade. Les baies du rez-de-chaussée sont cintrées, tandis que celles du surcroît sont en arc segmentaire. La croupe du toit de l'avant-corps est coiffée d'une clochette. Un puits couvert est visible à proximité de la maison. Les dépendances agricoles (écurie, étable et soues à cochons), disposées sans symétrie autour de la cour, reprennent ponctuellement les mêmes formes d'ouvertures aux encadrements de briques. Le préau adossé à l'écurie pouvait servir d'abri à un pressoir ou une charrette.

Le jardin d'agrément se déploie devant la demeure principale. L'ancienne plateforme endouvée encore visible est aménagé en parterre de pelouse, avec une double haie de laurier mettant en valeur l'entrée du logis. Au-delà du fossé désormais à sec, le parc est traité à l'anglaise ; il est traversé par une allée sinueuse partant du portail de la propriété et rejoignant les remises placées à côté de la demeure. On remarque de l'autre côté de la demeure les restes de murs de clôture, une élégante porte de jardin ainsi qu'un petit pavillon sevrant sans doute à entreposer les outils.

A quelques centaines de mètres, près du Petit-Coulonge, se dresse encore l'ancien moulin à vent seigneurial, tour en maçonnerie circulaire aujourd'hui transformée en maison.

  • Murs
    • schiste moellon enduit
    • calcaire pierre de taille
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée, 1 étage carré
  • Couvrements
    • charpente en bois apparente
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans croupe
  • Escaliers
    • escalier intérieur : escalier tournant en charpente
  • État de conservation
    bon état, restauré
  • Techniques
    • sculpture
  • Représentations
    • ornement architectural, ordre ionique, ordre colossal
  • Précision représentations

    Façade principale du logis scandée de pilastres colossaux à chapiteaux ioniques.

  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
Image non consultable
Image non consultable

Documents d'archives

  • Archives départementales de la Mayenne ; B 2800. Procédure judiciaire concernant un vol à la maison de maître de Coulonge en Fromentières, 1770.

  • Archives départementales de la Mayenne ; E 25, E 26. Amendes et remembrances des plaids de la seigneurie de Fromentières, XVe-XVIe siècles.

  • Archives départementales de la Mayenne ; MS 80/25-3. Monographie communale de Fromentières, 1899.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 3 P 169-170, 577, 1492. Matrices cadastrales, registres des augmentations et diminutions de construction de la commune de Fromentières, XIXe-XXe siècles.

  • Archives départementales de la Mayenne ; Q 183. Biens nationaux, estimations des propriétés de Le Tessier émigré, 1796.

  • Archives privées. Fonds de la famille Le Tessier ; papiers concernant le Grand-Coulonge à Fromentières, XVIIe-XVIIIe siècles.

Bibliographie

  • ANGOT, Alphonse (abbé). Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne. Laval : Goupil, 1902.

  • ANGOT, Alphonse. La Mayenne : sites, monuments et souvenirs du département.

Périodiques

  • AMBRIERES (d'), Gérard. "Coulonge et ses propriétaires (1400-1800)". Province du Maine, 5e s., t. 3, octobre-décembre 1989.

    p. 351-370

Documents figurés

  • Collection de cartes postales anciennes des communes de la Mayenne. (Archives départementales de la Mayenne ; 5 Fi).

  • Plan cadastral napoléonien de Fromentières, 1833. (Archives départementales de la Mayenne ; 3 P 2696).

  • Carte postale du Grand-Coulonge en Fromentières, milieu XXe siècle. (Archives privées).

Date(s) d'enquête : 2022; Date(s) de rédaction : 2022
(c) Conseil départemental de la Mayenne
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Barreau Pierrick
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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