Dossier d’œuvre architecture IA53004472 | Réalisé par
Barreau Pierrick (Contributeur)
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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  • enquête thématique départementale, rivière Mayenne
Manoir, puis ferme
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Mayenne - Azé
  • Commune La Roche-Neuville
  • Lieu-dit le Grand-Coudray
  • Cadastre 1833 A1 344, 346  ; 2022 254 A 829
  • Précisions anciennement commune de Saint-Sulpice
  • Dénominations
    manoir
  • Destinations
    ferme
  • Parties constituantes non étudiées
    cour, grange, dépendance, étable, écurie, hangar agricole

Un manoir de la fin du Moyen-Age

L'histoire du Grand-Coudray est particulièrement bien documentée : les pièces d'archives concernant son histoire sont conservées dans le chartrier de la seigneurie de la Rongère à laquelle il était inféodé. En 1398, Jean du Coudray rend aveu au fief de la Rongère pour "le domainne et apartenances du Couldray tant en fief qu'en domainne avec la verrie et seigneurie d'icelluy", ainsi qu'une portion indivise du moulin de la Rongère "avec le droit du tiers du mouturage". La verrerie mentionnée au XIVe siècle ne reparait pas dans les actes postérieurs et les seigneurs du Coudray renoncent à leurs droits sur le moulin de la Rongère en 1460. En 1481, un autre Jean du Coudray rend à son tour hommage simple pour son domaine du Coudray. En 1494, il annexe par acquisitions la ferme voisine de la Chesnuère, "maison, estables, pressouer, estrage, jardin et appartenances" avec la vallée du ruisseau de la Guyonnière. La seigneurie est assortie d'un droit de haute justice.

Les aveux postérieurs de 1540, 1552, 1572, 1591 et 1616, rendus par Jean, Hardouin puis Eustache du Coudray, reprennent une formule similaire où apparait la notion d'hébergement : "mon herbergement, lieu et domainne du Couldray sis en la parroisse de Saint Supplice du Houssay […] tenu à foy et hommage simple du seigneur de la Rongère, composé de maison, court, pressoir, estraige, doubve, vinyerie, chesnaye, vergiers et jardins". La présence de douves en eau, dont on peine aujourd'hui à reconstituer l'emprise exacte, renvoie au statut noble du lieu, mais on note cependant l'absence de pigeonnier dans les sources (qui aurait toutefois pu prendre place dans les combles du logis ou au sommet de la tour d'escalier) et surtout de chapelle qui n'apparaissent à aucun moment dans les aveux. La curieuse aile se terminant en abside n'avait à l'évidence pas cette fonction car elle ne présente aucune caractéristique d'un édifice religieux.

Malgré une documentation relativement abondante, la chronologie de la construction est difficile à établir du fait de nombreux remaniements au cours des siècles. Un relevé précis réalisé dans le cadre de l'étude d'inventaire suggère que le logis s'est développé à partir d'un module approximativement carré correspondant à la moitié nord du bâtiment actuel. Ce module (aujourd'hui occupé par la cuisine et le couloir au rez-de-chaussée) est peut-être le seul vestige médiéval de la construction mais est impossible à dater avec précision. Dans un second temps, on y accole côté sud un second module légèrement moins large mais plus profond, qui s'articule vraisemblablement avec la tour d'escalier. Les deux parties du logis se distinguent toujours par des niveaux et des épaisseurs de murs différents.

L'évolution après les guerres de Religion

Dans son dictionnaire, l'abbé Angot, citant un document dont il ne fournit pas la source, présente l'assaut du manoir du Coudray devenu le repaire d'une faction ligueuse : "Le 16 décembre 1590, Brandelis de Champagne vint investir le chasteau du Couldray, estant en la rivière de Mayenne, où commandoit un appelé Brochardière, lequel print, au commencement de la Ligue, la ville de Chasteau-Gontier […] ; l'on feist dresser les plattes formes et gabions aux lieux que l'on recogneut propres pour faire la batterie, de sorte que M. de la Hunaudaye arrivant avec le canon dès le même soir, l'artillerie fut pointée pour le lendemain matin. La batterie commença sur les sept à huict heures de l'après-midy et finist tost après ; car ayant tiré deux volées, nous recogneusmes quelque estonnement parmi les ennemis, qui fut cause que nous donnasmes tous, tant avec eschelles qu'avec autres moyens que nous trouvasmes d'entrer, et prismes par cet assault et escalade le chasteau du Couldray, où il fut tué 50 ou 60 hommes, et le reste comme le capitaine et 15 ou 16 des plus factieux qui avoient évité la première fureur de nos armes, furent pris et pendus à la vue de ladite maison".

L'événement est confirmé par divers témoignages recueillis lors d'un procès ultérieur, en 1660 (voir infra), desquels il ressort que le manoir du Grand-Coudray a été incendié et lourdement endommagé. On peut y lire que "lors des ligues, une troupe de coureurs s'estant emparés de ladicte maison du Coudray et chassé l'ayeul de la damoiselle du Coudray, pilloient tout le pays et pour les chasser le gouverneur de ceste ville [Château-Gontier] accompaigné des habitans de la noblesse du pays furent contraintz de les assiéger en ladicte maison et l'incendier, qu'ayant punis le chef de la troupe il le fist pendre à un arbre proche ladicte maison qui n'a esté restablye que depuis peu". "Ladicte maison avoit esté bruslée avec les meubles qui estoient dedans". [Un témoin] "a veu ladicte maison du Coudray en ruinsne et sans couverture et qu'il n'y restoit que les murs et la cheminée persée de coups de canon".

La restauration du manoir, caractérisée par l'ouverture de grandes fenêtres à encadrements moulurés, est située une quarantaine d'années avant le procès, soit probablement dans les années 1610. Il parait vraisemblable qu'elle s'accompagne de la construction de la moitié sud du logis avec la tour d'escalier. Le bandeau qui couronne les murs et l'amorce d'un second étage indiquent que cette partie était initialement plus élevée et probablement traitée en pavillon ; lors de son dérasement, la corniche qui se trouvait au sommet semble avoir été reposée maladroitement sur la partie nord. L'adjonction de l'aile en forme d'abside est manifestement postérieure à ces travaux puisqu'elle obture une croisée. La présence d'une petite ouverture de tir (ou de simple observation ?) dirigée vers l'ancienne porte sud lui confère une dimension défensive mais son aspect initial et son rôle exact restent mal définis. L'édifice est semble-t-il utilisé par la suite comme cellier.

 

Le procès de 1660 et ses enseignements

La lignée masculine du Coudray s'éteint avec Etiennette du Coudray, fille de Pierre du Coudray et de Charlotte de Chivré, qui épouse en 1637 François de Torchard, sieur de la Chevalerie en Villiers-Charlemagne. La demeure est occupée de manière très épisodique pendant près d'un demi-siècle, peut-être à cause du traumatisme de cet épisode sanglant. Ce n'est qu'après 1660 que le logis est progressivement réinvesti par ses propriétaires. Dans les années 1660, Etiennette du Coudray et François de Torchard se voient intenter par le capitaine des gabelles de Château-Gontier un procès pour trafic de sel, ce dont il se défendent et réclament réparation. D'après les documents conservés, l'accusation avance "que l'on a trouvé des caches de sel dans leur appartenances et produict un procès-verbal de capture d'un batteau trouvé en l'année 1660 caché près leur maison qui estoit ensaliné". Elle s'appuie également sur le fait que le couple aurait fait libérer un de ses domestiques accusé et emprisonné à Craon, et qu'il aurait "faict juger une séparation de biens entre eux afin que sy ledict Torchard estoir entrepris pour le faict de faulx saulnage, il peux mettre ses biens à couvert soubz le nom de sa femme".

Au-delà de son caractère anecdotique, cet épisode livre d'intéressantes informations sur le rapport de la demeure et de ses occupants à la Mayenne, principalement à travers le discours des défenseurs du "droict et pocession en laquelle ils sont d'avoir un batteau tant pour l'exercice du droict de pesche qu'ils ont sur ladicte rivière de Mayne que pour tous aultres usages", notamment l'exploitation des terres et de la métairie qu'ils possèdent sur l'autre rive. L'argumentaire déployé indique que "la rivière de Mayne est une petite rivière faicte par le moien d'escluses sur le fond des particulliers qui se sont conservés le droict de pesche en icelle au droict de leurs terres [… et] les ports qui sont sur ladite rivière appartiennent aux particulliers qui en prennent les esmolumens. Ce sont les mesmes particulliers qui y ont droict de pesche qui sont obligés à l'entretien des écluses portes et chaussées qui sont sur ladicte rivière", à l'image des péages prélevés pour l'entretien des ponts et passages relevant des mêmes usages publics.

Les pièces du procès livrent quelques indices intéressants concernant le manoir lui-même, notamment les éléments défensifs aujourd'hui disparus. En effet, le bateau a été trouvé "proche les murailles de closture de leur maison" dont il ne reste plus trace. Il est également fait mention d'un "corps de garde" tenu par les archers de gabelles près du port où se trouve le "pousteau" auquel est attaché ledit bateau, situé sur la rive opposée, paroisse de Villiers-Charlemagne. Néanmoins, "auparavant du temps des prédécesseurs desdicts sieurs et damoiselle de la Chevallerie ledict batteau estoit attaché du costé de ladicte maison du Coudray […] à un congrier au dessoubz de ladicte maison".

 

De la résidence seigneuriale à la ferme

En 1683, Etiennette de Torchard, fille des précédents et épouse non commune en biens de René de la Haye, rend aveu du Grand-Coudray. En 1703, le couple demeure toujours en la "terre seigneurialle du Coudray". En 1715, leur fils et héritier René de la Haye rend hommage à son tour. Le domaine est affermé au moins dès 1740 ; dans le dernier aveu de 1744, il apparait déclassé en simple métairie. Le 21 avril 1746, René de la Haye et son frère cadet Etienne de la Haye, résidant respectivement au château de Bois-Jourdan à Bouëre et à la Bachelottière à Saint-Aignan-en-Gesnes, vendent à Joseph-François de Montecler, marquis seigneur de la Rongère, "la métairie du Grand-Coudray composée de maison de maître, de celle du métayer et autres bâtiments, aires, issues, estrages, jardins, terres, prés, vignes, bois taillis, avec tous droits, et le fief et seigneurie avec les cens, rentes, devoirs et proffits de fief en dépendant", alors exploitée à ferme par Robert Ciron et Estiennette Fouequé sa femme.

A la Révolution, les domaines de la famille de Montecler, dont les hommes avaient émigré, sont saisis comme biens nationaux, à l'exception du château de la Rongère servant de résidence à Hyacinthe-Jeanne de Montecler et sa fille Henriette-Françoise. Le Grand-Coudray, toujours exploité par Robert Ciron, est temporairement loué au profit de l'administration avant d'être restitué. Il conserve son usage d'exploitation agricole jusqu'à nos jours et n'est vendu par les propriétaires de la Rongère qu'à la fin du XXe siècle. Une montrée des réparations locatives à la métairie du Grand-Coudray réalisée en 1804 avec le fermier Robert Ciron énumère les pièces du logis, salle, grand et petit celliers, trois chambres dont une sur le cellier et une dite "chambre rouge", grenier, corridor donnant sur l'escalier dont les marches "sont en pierres ardoisières et bois". La succession d'Henriette-Françoise de Montecler en 1844, précise que la métairie compte 30 hectares de terres.

Au cours du XIXe siècle, les grandes fenêtres du logis sont obturées probablement pour raisons fiscales et remplacées par des ouvertures plus petites. Le pavillon et la tour d'escalier sont dérasés et l'ensemble du logis est unifié sous une même toiture. Un appentis est construit contre le pignon nord à la fin du XIXe siècle ou au début du XXe siècle, les dépendances sont agrandies et remaniées pour de nouveaux usages. Une nouvelle écurie et un hangar sont construits à proximité. Une portion de douve qui baignait la façade est du logis, encore visible sur le cadastre de 1833, disparait. L'instituteur Lenfant, dans sa monographie communale (1899), dédie un passage pittoresque au manoir du Grand-Coudray : "Il y avait autour de cette gentilhommière des douves profondes aujourd'hui comblées. On voyait encore, il y a une quarantaine d'années disent les anciens, une vieille tour crénelée qui lui servait de défense. Par des réparations faites il y a quelques années ont disparu ces derniers vestiges qui donnaient encore à cette résidence la physionomie d'un vieux castel". La ferme du Grand-Coudray est vendue aux fermiers par les propriétaires de la Rongère en 1998 ; l'activité agricole se poursuit avec l'élevage bovin. Dans le 1er quart du XXIe siècle, la toiture est restaurée et des travaux intérieurs (réversibles) sont réalisés pour aménager des pièces plus petites.

  • Période(s)
    • Principale : 2e moitié 15e siècle, 1er quart 17e siècle, 18e siècle, 19e siècle, limite 19e siècle 20e siècle
    • Secondaire : 1er quart 21e siècle

Le manoir est établi dans la vallée de la Mayenne, parallèlement à la rivière située à environ cent mètres de distance ; on y accède par un chemin en impasse dévalant le coteau. L'ensemble comprend un logis et des bâtiments d'exploitations autour d'une cour étroite et allongée, autrefois baignée de douves.

Le logis manorial, orienté au sud-ouest côté cour et au nord-est côté Mayenne, est construit en moellons de schiste enduits, avec des encadrements d'ouvertures en tufeau, et couvert d'un toit à longs pans avec une croupe au sud. Les nombreuses reprises de maçonneries, insertions de pièces de bois pour décharger les linteaux, corniches remontées, croisées partiellement ou entièrement murées témoignent de profondes transformations. Le plan irrégulier n'est pas parfaitement rectangulaire mais révèle la juxtaposition de deux modules approximativement carrés, dont la jonction côté Mayenne est matérialisée par la tour d'escalier. La moitié sud du logis est aujourd'hui dérasée et il faut y restituer, pour mieux appréhender la silhouette de l'édifice, un étage supplémentaire probablement coiffé en pavillon, et dont le bandeau ornemental fait aujourd'hui office de corniche.

La façade antérieure présente une petite porte en arc segmentaire en son centre. Les fenêtres disposées sans ordre ont été remaniées, réduites ou déplacées : on remarque à l'étage les encadrements moulurés de deux grandes croisées, dont une en partie masquée par l'adjonction d'une l'aile en abside. La façade postérieure présente deux grandes croisées partiellement murées à l'étage et le vestige d'une troisième (ou remploi ?) au rez-de-chaussée. Elle est interrompue par la cage d'escalier demi-hors-œuvre, de forme semi-rectangulaire avec un angle arrondi, aujourd'hui tronquée. Le mur-pignon sud présente une porte cintrée et une grande croisée murées.

L'intérieur a été en partie recomposé mais conserve sa structure ancienne. Abstraction faite du couloir aménagé tardivement et du redécoupage récent d'une chambre à l'étage, chaque étage compte deux grandes pièces dont les niveaux de planchers diffèrent. On trouve ainsi au rez-de-chaussée une grande salle et un cellier, à l'étage deux grandes chambres ; le comble est également établi sur deux niveaux de plancher. Seule une chambre conserve son volume initial et permet d'observer un plafond à solives, tandis qu'il ne reste que l'arrachement de la cheminée placée sur le mur gouttereau ouest. La vis circulaire de l'escalier, avec un imposant noyau en pierre calcaire, des marches en bois (rez-de-chaussée) et en ardoises (vestiges à l'étage), est logée dans une cage approximativement rectangulaire où s'insèrent des petits cabinets. Il ne reste que des vestiges de la partie supérieure de la vis qui desservait le second étage du pavillon et/ou un cabinet sur la tour.

En retour du logis à l'angle sud, une curieuse aile dont la fonction demeure inconnue se termine en abside. On remarque sur linteau d'une fenêtre un fer à cheval gravé, et l'appui mouluré d'une autre baie sur le mur opposé. La partie inférieure, probablement utilisée comme cellier, est accessible par une porte à linteau en bois. Si l'hypothèse d'une chapelle est à exclure, il faut noter la présence d'une petite ouverture orientée vers la porte sud murée du logis, peut-être une ancienne bouche à feu à vocation modestement défensive.

Un appentis avec des baies encadrées de briques s'appuie contre le mur-pignon nord du logis.

Le grand corps de dépendances parallèle au logis présente également de nombreuses reprises de maçonnerie et d'ouvertures. Les baies sont encadrées de pierre, de brique ou encore de bois pour les plus anciennes. Une écurie avec des petites baies demi-circulaires en briques et des hangars agricoles complètent l'ensemble.

  • Murs
    • schiste moellon enduit
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    rez-de-chaussée, 1 étage carré
  • Couvrements
    • charpente en bois apparente
  • Couvertures
    • toit à longs pans croupe
  • Escaliers
    • escalier demi-hors-œuvre : escalier en vis en maçonnerie, en charpente
  • État de conservation
    remanié
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée

Documents d'archives

  • Archives départementales de la Mayenne ; 3 E 60/196. Partage de la succession d'Henriette-Françoise de Montecler, domaine de la Rongère, 14 mai 1844.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 362 J 9. Chartrier de la Rongère ; papiers d'Hyacinthe-Jeanne de Montecler, dame de la Rongère en Saint-Sulpice, 1700-1804.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 362 J 17. Chartrier de la Rongère ; aveux et autres documents relatifs à la seigneurie du Grand-Coudray, 1391-1828.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 362 J 39 à 42. Chartrier de la Rongère ; aveux rendus pour la seigneurie du Grand-Coudray en Saint-Sulpice, 1398-1744.

  • Archives départementales de la Mayenne, Laval ; MS 80/24-3. Monographie communale de Saint-Sulpice, par l'instituteur Lenfant, 1899.

  • Archives départementales de la Mayenne ; Q 905 à 907. Biens nationaux, sommiers des baux des biens aliénés (1792-1806).

Bibliographie

  • ANGOT, Alphonse (abbé). Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne. Laval : Goupil, 1902.

Documents figurés

  • Plan cadastral napoléonien de Saint-Sulpice, 1833. (Archives départementales de la Mayenne, Laval ; 3 P 2841).

Date(s) d'enquête : 2022; Date(s) de rédaction : 2022
(c) Conseil départemental de la Mayenne
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Barreau Pierrick
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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