Dossier d’aire d’étude IA49010861 | Réalisé par ;
Bureau Arnaud (Contributeur)
Bureau Arnaud

Chercheur à l'Inventaire général, au service du patrimoine du Conseil départemental de la Mayenne, et Conservateur des Antiquités et Objets d'art de la Mayenne.

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Durandière Ronan (Contributeur)
Durandière Ronan

Chercheur auprès du Conseil départemental de Maine-et-Loire.

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  • inventaire topographique
Présentation de la communauté de communes du Haut-Anjou
Auteur
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
  • (c) Conseil départemental de Maine-et-Loire - Conservation départementale du patrimoine

Dossier non géolocalisé

  • Aires d'études
    Pays Segréen
  • Adresse
    • Commune : Châteauneuf-sur-Sarthe
    • Commune : Brissarthe
    • Commune : Juvardeil
    • Commune : Contigné
    • Commune : Marigné
    • Commune : Cherré
    • Commune : Champigné
    • Commune : Querré
    • Commune : Sœurdres
    • Commune : Miré
    • Commune : Chemiré-sur-Sarthe

Introduction

Composé de 11 communes et délimité à l'ouest et à l'est par les rivières de la Mayenne et de la Sarthe, le territoire de la communauté de communes du Haut-Anjou est principalement dominé par un paysage de bocage vallonné.

Si sur cette zone 17 édifices sont aujourd'hui classés ou inscrits au titre des Monuments historiques (essentiellement des églises et des manoirs), l'opération d'inventaire a permis d'identifier plus de 400 édifices, auxquels il faut ajouter plus de 90 édicules d'accompagnement (croix de chemin, oratoires, monuments aux morts, puits…).

253 éléments peuvent être considérés comme remarquables ou représentatifs de l'architecture locale ; 174 comme des édifices secondaires qui concourent néanmoins à l'identité architecturale du territoire.

Le patrimoine est notamment marqué par un maillage important d'architectures seigneuriales : de nombreux manoirs médiévaux sont conservés tandis que la reconstruction des châteaux au XIXe siècle témoigne de la permanence des grandes familles influentes. Au total, on dénombre 66 châteaux et manoirs dont 14 à Champigné, 12 à Miré, 9 à Juvardeil, 6 à Contigné et Marigné.

En parallèle, l'architecture rurale est également très présente avec 44 maisons de maître et surtout plus de 100 fermes recensées dont 94 comprennent des campagnes de constructions du XIXe siècle, illustrant ainsi le renouveau agricole dans le Haut Anjou tout au long de cette période.

Dans les centres-bourgs, les églises (7 d'entre-elles) ont été très majoritairement conservées, échappant, en totalité ou partiellement, aux reconstructions du XIXe siècle (4).

126 maisons ont été également retenues pour leur intérêt architectural. La préservation de l'habitat ancien est plus marquée dans les villages des communes riveraines de la Sarthe (de Chemiré à Châteauneuf), où l'on compte de nombreux logis des XVe, XVIe et XVIIe siècles. Centres-bourgs principaux à l'époque contemporaine, Châteauneuf-sur-Sarthe et Champigné présentent pour leur part de nombreuses demeures des XVIIIe et XIXe siècles.

4 moulins (à vent et à eau) et 3 fours à chaux (Châteauneuf-sur-Sarthe) sont les principaux témoignages de l'activité artisanale et industrielle. Ces derniers évoquent également le chaulage des terres engagé au XIXe siècle pour obtenir de meilleurs rendements.

Du château à la ferme : un patrimoine rural diversifié

Les châteaux

Le territoire est riche d'un patrimoine architectural issu d'implantations seigneuriales anciennes, comme l'attestent les mottes féodales de Miré (la Grande-Seuve), Contigné (Charreau) et de Marigné avec notamment celle de la Perrine, dotée d'une large plate-forme sommitale entourée d'un fossé d'environ dix mètres de large et dont le plan général (un quadrilatère à angles arrondis) indique une date tardive (XIIe-XIIIe siècles).

S'agissant des châteaux, les témoignages médiévaux sont toutefois très lacunaires : de l'ancien château-fort de Châteauneuf-sur-Sarthe, construit par Geoffroi Plantagenêt vers 1130, ne subsistent que les vestiges d'une tour dont la mise en œuvre semble attester un état d'origine des XIIe-XIIIe siècles. Le Port-Joulain à Marigné était au XIVe siècle une place forte reconnue, sur les vestiges de laquelle furent élevés un siècle plus tard le premier château et sa chapelle toujours conservée.

À l'exception du château de Mozé à Champigné, dont la partie originelle semble dater du XVIIe siècle, plusieurs demeures appelées châteaux, bien que leur morphologie les rattache plutôt au manoir ou à la maison de maître, furent élevées ou remaniées au cours du XVIIIe siècle : ainsi la Perrine (Marigné), dont le corps principal datant de la fin du XVIIe a été repris au début du siècle suivant. Les autres exemples déclinent le modèle du corps de logis à trois niveaux, dont un étage de comble, avec façades à travées ordonnancées, largement ouvertes par des baies qui apportent la lumière dans les intérieurs : c'est le cas de Charnacé (Champigné) vers 1734, de la Cour de Cellières (Juvardeil) vers le milieu du XVIIIe, de Moulin (Miré) vers 1760 et enfin des Briottières, château construit dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, dont le corps central est encadré par deux ailes en retour.

Comme dans les autres secteurs du Pays Segréen, le Haut-Anjou voit une importante phase de construction / reconstruction / réaménagement de châteaux tout au long du XIXe siècle. Les propriétaires fonciers, acteurs politiques et économiques du monde local, réaménagent leurs domaines, modernisent leurs exploitations agricoles et adaptent leurs châteaux aux modes architecturales tout en leur associant de nouveaux parcs. Le paysage rural actuel est donc le résultat de cette transformation profonde entamée à partir des années 1830, avec comme clef de lecture le trio : château - parc - ferme.

Les châteaux de la Frogeraie (Champigné) et de la Groussinière (Contigné) élevés au cours du 1er quart du XIXe siècle proposent une architecture classique marquée par des corps de logis avec étage d'attique ; à Moiré (Soeurdres), la longue façade ordonnancée, organisée selon onze travées dont trois, au centre, sont surmontées par un fronton triangulaire, est rythmée par un ordre colossal composite dont les piliers sont traités en bossages plats. Vers le milieu du siècle, le style néo-gothique est adopté pour le château de Martou, entièrement reconstruit par René Hodé ainsi qu'au Margat, où l'architecte Coutailloux vient plaquer une nouvelle façade sur des bâtiments existants. La seconde moitié du XIXe siècle développe des interventions plus éclectiques influencées par l'architecture classique des XVIIe et XVIIIe siècles. C'est notamment le cas au château de la Vérouillère à Châteauneuf (dans un style brique et pierre), à l'Oseraie (Chemiré-sur-Sarthe), au Port-Joulain, restauré et remanié par l'architecte Beignet, mais aussi à la Buronière (Juvardeil) et à la Haye (Contigné).

Les communs des châteaux sont également rénovés et intégrés aux nouveaux parcs paysagers et à leurs fabriques. On signalera particulièrement l'aménagement du parc du château des Briottières à Champigné et celui du château de Port-Joulain à Marigné dont le dessin assure une liaison avec la campagne agricole environnante.

Les manoirs

Le territoire est également caractérisé par le nombre important de manoirs conservés (43). Sièges du pouvoir seigneurial au Moyen Âge, ces édifices affichent leur silhouette imposante dans le paysage. Des traces d'ancienneté remontant au XIIIe ou XIVe siècle ont été repérées avec des exemples de logis dont la salle principale constituait un vaste volume directement sous charpente (Longchamp à Miré) ainsi que des bâtiments en rez-de-chaussée surélevés avec cellier en soubassement (Crémaillé la Roche à Miré).

Dans la 2e moitié du XVe siècle et au début du XVIe siècle, le manoir à tour d'escalier hors-œuvre se développe comme à la Poitevinière (Juvardeil), doté d'une tour octogonale agrémentée d'une belle porte à accolade de la fin du XVe siècle. Cette tour d'escalier est l'élément fort du logis et témoigne du prestige du seigneur. De beaux témoignages de la Renaissance, plus particulièrement de la 2e moitié du XVIe siècle (Maillé à Querré, la Hamonnière et la Maldemeure à Champigné, la Touche Moreau à Soeurdres), proposent un décor caractéristique de cette période avec des motifs de pilastres, de cartouches, de losanges ou encore de bucranes. L'un des deux logis de Charnacé (Champigné) conserve une très belle travée en tuffeau associant une baie à traverse et meneaux et une lucarne à baies géminées.

Au XVIIe siècle, on trouve des logis à chambre haute avec dépendance dans le prolongement (la Grande Moricière à Champigné, le Grand Marguillé et la Ragottière à Marigné), similaires à l'architecture des "maisons de maître". Des constructions plus tardives, comme à la Perrine (fin XVIIe-début XVIIIe siècle) ou à la Chardonnière (XVIIIe siècle) à Marigné, font perdurer les modèles médiévaux (édifice à étage, tour d'escalier, encadrements de baies soignés).

Outre le logis, le manoir comprend une cour où sont regroupés les logements des serviteurs et les bâtiments agricoles nécessaires à l'exploitation du domaine (la Coutardière à Brissarthe ou à la Touche Moreau à Soeurdres). À cela s'ajoutent certains éléments distinctifs du rang social éminent du seigneur. Ainsi, la plupart des maisons nobles avaient obtenu un "droit de chapelle" qui comportait, pour le fondateur et ses descendants, le privilège de s'y faire inhumer (la chapelle de la Coutardière fondée en 1531 ou la chapelle à charpente lambrissée de Vaux à Miré). L'aspect défensif est également un trait marquant des manoirs : si les douves sont aujourd'hui parfois asséchées, certains sites conservent leur plate-forme entourée d'eau comme à Vaux. Édifié par Jean Bourré, Vaux est également doté d'un système de tours défensives particulièrement imposantes.

Ces manoirs ont subi au cours du temps de nombreux remaniements. Parfois, devenus simples fermes, ils ont bien souvent été complétés par des bâtiments de dépendance au XIXe siècle (la Mortonnière à Miré, la Vérouillère à Châteauneuf).

Les maisons de maître

À mi-chemin entre la ferme (parties agricoles) et le manoir (plan et logis), la maison de maître est construite par un propriétaire foncier afin d'y établir un métayer. De temps à autre, il vient surveiller la bonne marche du domaine et séjourne dans une pièce haute qui lui est réservée. De plan rectangulaire, tendant au carré, le logis est d'abord couvert par un toit à deux versants (le Rocher à Chemiré-sur-Sarthe) avant d'adopter à la fin XVIe siècle un toit à quatre pans "en pavillon" (Chameau à Cherré). Le logis du maître, prenant la forme d'une tour, est ainsi mis en valeur et nettement signalé (l'actuelle école de Miré datée du XVIIe siècle et remaniée au début du XVIIIe siècle). Afin d'y résider plus commodément et plus souvent, le logis s'étend en longueur à partir du 2e quart du XVIIe siècle (le Plessis-Fontenelle à Cherré ou la Vieille Fosse à Châteauneuf). Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la volonté d'ordonnancement conduira à l'édification de façades parfaitement symétriques comportant parfois cinq travées (la Rochette à Marigné). Si le logis se transforme, il en est de même pour le reste de l'exploitation : le logement du fermier n'est plus situé dans le même bâtiment et le maître occupe donc seul le logis. Au XIXe siècle, le modèle de la maison de maître perdure (Charreau à Contigné) avec un logis à étage carré mais tend parfois vers l'architecture plus prestigieuse des châteaux : seules leurs dimensions un peu plus modestes les différencient alors de ces derniers (Princé).

Les fermes

Les implantations seigneuriales ont favorisé depuis l'époque moderne l'établissement de nombreuses exploitations agricoles. Parmi la centaine de fermes repérées au cours de l'opération, il ne subsiste que de rares témoignages de constructions homogènes antérieures au XIXe siècle. Les campagnes anciennes, datables du XVIIIe siècle, sont marquées par l'emploi du type "bloc à terre allongé" appelé habituellement "longère". La ferme est constituée soit de bâtiments construits les uns à la suite des autres, en fonction des besoins ; soit d'un seul bloc plus ou moins compact comprenant le logis et des parties agricoles (notamment des étables) auxquels sont accolés des appentis qui abritent cuisine, cellier, boulangerie et porcheries. Dans de nombreux cas, ce type est complété par une ou deux petites dépendances satellites (remise, grange, porcherie) élevées sans organisation précise autour de la cour.

Le gros œuvre des murs est constitué pour l'essentiel de moellons de grès, de calcaire et de schiste liés à la terre le plus souvent, ou parfois à la chaux et au sable. On utilise par ailleurs le bois en second œuvre pour les linteaux des baies ou le cadre des lucarnes ; l'ardoise est systématiquement employée pour les toitures. Si les bâtiments agricoles ont été souvent remaniés, certaines exploitations conservent des éléments anciens comme les granges, granges-étables ou étables pour les chevaux (de trait) à Brissarthe (la Haye) et à Soeurdres (Coulongé) ou Marigné (les Brosses). Avec la construction de bâtiments modernes, les longères traditionnelles sont délaissées, remaniées ou conservées in situ et réutilisées en comme dépendances agricoles à la Gouldelière (Marigné) et à la Grande Brardière (Champigné). Le type restera pourtant encore en place ponctuellement au XIXe siècle, faisant ainsi perdurer une forme traditionnelle.

Comme dans tout le Segréen, le paysage rural est fortement marqué par les reconstructions ou les constructions nouvelles de bâtiments agricoles durant la seconde moitié du XIXe siècle. 94% des bâtiments retenus proposent ainsi des campagnes de construction de cette période.

La modernité agricole s'affirme avec l'apparition de nouveaux matériels (doubles-brabants, faucheuses, faneuses…), une meilleure rentabilité des terres grâce à l'amendement par la chaux et le développement de l'élevage avec l'introduction d'une nouvelle race bovine, la Durham. Les fermes et les métairies sont ainsi systématiquement remaniées ou agrandies, reconstruites parfois en totalité. Toutes répondent aux exigences modernes qui assurent que les rendements de l'agriculture et de l'élevage passent par une meilleure organisation et une meilleure hygiène des bâtiments. Les constructions se structurent désormais selon un plan régulier, avec des bâtiments dissociés selon les différentes fonctions de l'exploitation. Les étables prennent une importance particulière : elles font l'objet d'un traitement architectural recherché, marqué par l'écriture symétrique des élévations, en jouant notamment sur les pignons-lucarnes des avant-corps. L'utilisation de la brique, parfois en alternance avec le tuffeau, souligne de façon décorative les chaînes d'angle et les encadrements des baies.

Parmi les exemples les plus significatifs, on notera la ferme des Beausses à Marigné, les fermes de la Fontaine, du Theil et de Vaujour à Juvardeil, la Vigne à Chemiré-sur-Sarthe, et celle du Portail à Querré. Toutes font parties de domaines châtelains importants comme la ferme Louise-Marie à Champigné qui présente un traitement architectural de son logis tout à fait exceptionnel.

Patrimoine des villages : un cadre de vie à préserver

Les églises paroissiales

La communauté de communes conserve de beaux exemples d'églises médiévales qui ont été épargnées par les vastes reconstructions d'édifices engagées dans la 2e moitié du XIXe siècle. Ces églises anciennes sont caractérisées par des nefs uniques, tandis que le clocher se situe tantôt à la croisée du chœur tantôt sur le côté, décentré. Les modes de couvrement intérieurs varient : le lambris peint de Miré, bien que très restauré au XIXe siècle, montre l'importance de la couleur au Moyen Âge. Dans l'église de Châteauneuf-sur-Sarthe édifiée dans la 2e moitié du XIIe siècle, ce sont d'élégantes voûtes d'ogives qui recouvrent l'intérieur de l'édifice, qui conserve par ailleurs des vestiges de peintures murales du début du XIIIe siècle. L'église de Brissarthe avec le presbytère qui lui est accolé constitue un bel ensemble d'architecture religieuse. Si la tour de clocher est une construction du XVIIIe siècle, le mur sud de la nef date vraisemblablement de la première moitié du XIIe siècle et certaines parties remonteraient même au XIe siècle. Les églises de Marigné et de Chemiré ont été remaniées au cours du XIXe siècle. C'est également le cas de l'église de Cherré qui ne conserve de l'église ancienne que le clocher du XIIe siècle ; la nef a été entièrement reconstruite à partir de 1875 par François Meignant.

Certaines églises furent néanmoins construites au XIXe siècle bien souvent pour répondre à l'exiguïté ou la vétusté de l'ancien bâtiment. Ainsi, l'ancienne église de Contigné ne permettait pas d'accueillir dans de bonnes conditions l'ensemble des fidèles. Il est donc décidé en 1850 de construire une église plus grande. La reconstruction commence en 1871 selon des plans de l'architecte Dussouchay. En 1885, le clocher est élevé et c'est en 1888 que l'église est consacrée. L'église la plus récente est celle de Soeurdres, construite en 1913 : son emplacement dans le bourg est modifié pour créer une place et faciliter la circulation.

Les centres-bourgs : un patrimoine de proximité

Les bourgs se structurent autour d'éléments significatifs comme l'église, la mairie, le presbytère, le cimetière, le monument aux morts ou encore le lavoir. La rue principale et/ou la place sont des espaces essentiels : axe de passage et espace public, elles configurent le plan du village. Depuis plusieurs années, la construction de lotissements en périphérie des bourgs traduit une phase nouvelle dans leur développement et transforme leur aspect.

Le traitement des façades constitue l'une des richesses de ces villages : l'emploi de la symétrie dans les élévations, la variété des encadrements de baies (matériaux, formes, décor), le dessin des lucarnes, des balcons ou des garde-corps sont autant de détails à préserver et à entretenir. Les alignements opérés (dès le XVIIIe siècle à Marigné) tout au long du XIXe siècle ont contribué à créer une unité architecturale tant dans l'ordonnancement des façades que dans le gabarit des volumes.

Les bâtiments de dépendance accompagnant les habitations (communs ou étables-granges), comme les jardins potagers, à l'arrière des maisons (Cherré, Marigné) ou en bordure de rivière (Chemiré), participent au caractère rural des bourgs. Les puits, les lavoirs, les fontaines témoignent enfin d'un mode de vie aujourd'hui révolu. Si les croix de chemin et oratoires ponctuent toujours le territoire rural, on trouve également de nombreux édicules religieux dans les villages, évocation de la piété passée (rogations, missions, pèlerinages).

Date(s) d'enquête : 2005; Date(s) de rédaction : 2007
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
(c) Conseil départemental de Maine-et-Loire - Conservation départementale du patrimoine
Bureau Arnaud
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Chercheur à l'Inventaire général, au service du patrimoine du Conseil départemental de la Mayenne, et Conservateur des Antiquités et Objets d'art de la Mayenne.

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Durandière Ronan
Durandière Ronan

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