La métairie du Scodié, dépendant de la frairie de Miroux, est signalée dès 1720 dans les registres de la capitation. À cette date, elle est affermée à Pierre Leberche qui en doit 6 livres. En 1749, Guy-Auguste de Rohan-Chabot rend aveu au Roi pour la maison et métairie noble du Scodié comme elle se contient avec ses rue et issues, son jardin au bout, terres labourables, ses patures, landes [ ] contenant le tout deux cent trente sept journaux. Un collombier ou reffuge à pigeons.
Le logis pourrait dater du XVIIe siècle. Il a été flanqué d'une étable en retour d'angle au nord, peut-être dans le courant du XVIIIe siècle. La remise, bien que remaniée et couverte d'une toiture en tuiles mécaniques, est antérieure à 1819.
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