Photographe.
- enquête thématique régionale, patrimoine de la villégiature
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Patrimoine balnéaire - La Baule-Escoublac
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Commune
La Baule-Escoublac
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Lieu-dit
lotissement Pavie
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Adresse
15-16 esplanade Lucien-Barrière
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Cadastre
2004
CE
199-200
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Dénominationsmaison
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Précision dénominationvillas balnéaires, maisons jumelles
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AppellationsSaint-Cosme et Saint-Damien
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Parties constituantes non étudiéescour
Cette villa divisée en deux à la conception a été dessinée vers 1924 par l'architecte Georges Dommée qui réalisé la villa "Jeanne Andrée" accolée à l'ouest. Il les dessine dans le même style que l'hôtel Adriana (détruit) près de l'avenue de Gaulle. La partie ouest appelée saint Cosme est réhabilitée en mai 1999 par l'architecte baulois Alain Charles. La partie appelée Saint Damien n'a pas été entretenue depuis la Seconde Guerre mondiale et a beaucoup souffert. L'entreprise bauloise "royal construction" la répare en octobre 1999. Les vérandas nord ont été transformées : une toiture à deux pentes et épi de faîtage en zinc précédée d'un balcon avec garde-corps en bois sculpté et escalier idem pour saint Cosme et un mur mitoyen en parpaing jusqu'en haut du rez-de-chaussée avec pièce à planche à voile au rez-de-jardin pour saint Damien. Le constructeur a profité du P.O.S. ne stipulant pas de C.O.S. (zone d'immeuble) et casse la petite cour commune à l'arrière pour densifier sa villa au détriment de l'harmonie symétrique de la façade et du bon voisinage.
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Période(s)
- Principale : 1er quart 20e siècle
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Auteur(s)
- Auteur : architecte attribution par travaux historiques
- Auteur : architecte attribution par travaux historiques
Plan massé avec rez-de-chaussée et deux étages sur rez-de-jardin. Cette villa "symétrique classique" (cf. typologie) est implantée sur rue au sud et la cour au nord-est desservie par une venelle donnant sur l'avenue Heurteau. la toiture est en ardoise et les murs sont en moellons sur deux niveaux avec un simili appareillage de pierre taillée en chaînage d'angle et au centre des deux parties. Le soubassement en simili appareillage de pierre taille au rez-de-jardin est percé d'une porte à l'ouest et d'une fenêtre à l'est. Sur la façade sud deux toits en pavillon sont coiffés de deux épis de faîtage chacun et abritent chacun une porte fenêtre ouvrant sur un balcon en bois avec garde-corps en bois sculpté. Sous ce balcon une large porte-fenêtre avec linteau droit en béton ouvre sur un balcon filant sur la façade avec un garde-corps à balustre en béton. Sous ce balcon d'étage, soutenu par trois colonnes en béton, un auvent en ardoise protège le balcon avec même garde-corps du rez-de-chaussée surélevé et sur lequel ouvre une même porte-fenêtre. Ce balcon est soutenu sous chaque colonne par une console moulurée. Puis pour saint Cosme les balustres ont été remplacé par des gardes corps en aluminium anodise vers 1990 puis en 1999 par des jardinières et des garde-corps en bois. Sur la façade nord, deux avant-corps à l'est et à l'ouest encadrent une petite cour d'où partent deux escaliers vers deux vérandas au rez-de-chaussée surélevé.
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Murs
- enduit
- moellon
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Toitsardoise
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Plansplan massé
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Couvertures
- toit à longs pans brisés
- toit en pavillon
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Typologiesclassique
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État de conservationrestauré
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Statut de la propriétépropriété privée
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Éléments remarquablesélévation
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Architecte baulois.