Photographe.
- enquête thématique régionale, patrimoine de la villégiature
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Patrimoine balnéaire - La Baule-Escoublac
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Commune
La Baule-Escoublac
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Lieu-dit
lotissement La Baule-les-Pins
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Adresse
3, 5 avenue Balzac
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Cadastre
2004
BT
107
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Dénominationsmaison
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Précision dénominationvilla balnéaire
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AppellationsLes Roches Rouges
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Parties constituantes non étudiéesjardin
Cette villa est dessinée vers 1926 par l'architecte baulois Paul-Henri Datessen pour le banquier Richet. La parcelle était visiblement plus grande à l'origine avant de faire l'objet d'un redécoupage pour deux autres constructions. Une photographie du jardin fut publiée dans la revue "L'Illustration" en 1932. Les plans sont consultables aux archives municipales de La Baule car la villa a été rachetée par la municipalité. L'intérieur a été entièrement remanié dans une optique de local recevant du public.
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Période(s)
- Principale : 2e quart 20e siècle
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Auteur(s)
- Auteur : architecte attribution par travaux historiques
Plan massé avec rez-de-chaussée et deux étages sur sous-sol. Cette villa "dissymétrique normande" (cf. typologie) est implantée au milieu d'un jardin. La toiture est en tuile plate. Les murs sont recouverts d'enduit et le soubassement est en moellons. A l'est de la façade sud, un pignon couvert forme avant-corps. Une large fenêtre à cintre surbaissée ouvre au rez-de-chaussée puis est surmontée d'un balcon couvert par un auvent en tuile plate lui-même surmonté d'une fenêtre au centre d'un pan de bois. En retour, une aile au centre est terminée par un autre pignon couvert en avant-corps moins prononcé et plus petit. Le mur des combles en pan-de-bois est en encorbellement. Au rez-de-chaussée, trois portes-fenêtres cintrées ouvrent sur une terrasse protégée par un auvent en tuile plate soutenu par des consoles en bois. Au-dessus de cet auvent un balcon mène à trois portes-fenêtres en retrait surmontées par trois lucarnes. L'autre avant-corps est percé de trois fenêtres, une par niveau, et dont celle du rez-de-chaussée est plein-cintre. Au sud de la façade ouest un bow-window avec une porte-fenêtre plein-cintre au centre est protégé par un auvent en tuile plate soutenu par des consoles en bois. Au-dessus une porte-fenêtre dans un avant-corps à pan-de-bois ouvre sur un balcon. Ce pan-de-bois se prolonge dans les combles avec une loggia protégée par un pignon couvert par une demi-croupe en guitare. Le reste de cette façade est percé de fenêtres plein-cintre au rez-de-chaussée et de fenêtres à l'étage. Sur la façade nord un porche soutenu par deux colonnes abrite la porte d'entrée.
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Murs
- granite
- enduit
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Toitstuile plate
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Plansplan massé
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Étagessous-sol, 1 étage carré, étage de comble
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Couvertures
- toit à longs pans
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Typologiesanglo-normand
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État de conservationrestauré
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Statut de la propriétépropriété privée
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Éléments remarquablesélévation, loggia
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
- (c) Collection particulière
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Documents d'archives
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Archives municipales de La Baule-Escoublac. Autorisation de construire, n° 336, 28 août 1933.
Bibliographie
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Jardin. Architecture d'aujourd'hui, avril 1937, n° 4.
p. 84. -
L'Illustration, 28 mai 1932, n° 4656.
Architecte baulois.