Une maison ou "hutte" apparaît à cet endroit sur le plan cadastral de 1834. Elle est alors appelée "hutte de Cassidouanes à Audineau" et appartient effectivement à Mathieu Audineau (1775-1835), époux de Marie-Hélène Jourdain. Elle fait partie des habitations qui, alors que le canal de Pomère n'est pas encore creusé, se répartissent le long de la Sèvre Niortaise, en particulier ici. La maison passe ensuite à François Tardy époux Audineau, puis à son gendre, Jean Randonnet qui la reconstruit en 1882, selon le cadastre. La partie haute du logis actuel remonte probablement à cette date, avec une extension en rez-de-chaussée au début du XXe siècle.