Une seule et même construction, englobant cette habitation et sa voisine, au nord, apparaît à cet endroit sur le plan cadastral de 1836. L'ensemble appartient alors à Marie Coutanceau, veuve de Jean Simonneau (1794-1835). La partition en deux propriétés intervient peu après. En 1864, chacune des deux parties fait l'objet d'une démolition puis d'une reconstruction, l'une (au nord) pour le compte d'André Simonneau, l'autre (au sud) pour Jean Simonneau époux de Marie-Rose Moinard. Celui-ci fait aussi démolir la dépendance qui se trouvait auparavant devant la maison, dans la cour actuelle, le long de la rue.