Dossier d’œuvre architecture IA53004259 | Réalisé par
Foisneau Nicolas (Contributeur)
Foisneau Nicolas

Chercheur à l'Inventaire général, au service puis direction du Patrimoine du Conseil départemental de la Mayenne, de 2001 à 2020.

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Barreau Pierrick (Contributeur)
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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  • enquête thématique départementale, rivière Mayenne
Manoir, puis demeure dite château de la Porte
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Mayenne
  • Hydrographies la Mayenne
  • Commune Daon
  • Lieu-dit la Porte
  • Cadastre 1811 A1 92  ; 1943-1947 A1 2  ; 2017 A 10, 551
  • Dénominations
    manoir, demeure, château
  • Parties constituantes non étudiées
    chapelle, écurie, remise, sellerie, buanderie, pressoir, hangar agricole, porcherie, logement, étable à vaches, grange, jardin, jardin potager, verger

D'après l'abbé Angot, la Porte est une ancienne seigneurie, vassale de la châtellenie de Daon. Le lieu est appelé "hébergement" en 1406. Le château et la chapelle sont mentionnés sur la carte de Jaillot (1706). Le seigneur en est Guillaume Morin en 1367, puis René de Bagats, par son mariage avec Marguerite Morin, puis Henri de Villeblanche, marié à Renée de Bagats, en 1457. La seigneurie reste dans la famille de Villeblanche jusqu'au XVIe siècle, puis passe à celle de la Coussaye, avec Jean de la Coussaye, seigneur de la Porte en 1585, et Trajan de la Coussaye en 1593 et 1622. Nicolas Cochelin en hérite ensuite par son mariage avec Catherine de la Coussaye. D'autres familles se succèdent rapidement après : René, Jean puis Louis d'Héliand dans la seconde moitié du XVIIe siècle et au début du XVIIIe siècle ; Pierre Trochon, procureur de l'élection de Château-Gontier, mentionné en 1724 et 1746 ; Jean Bachelier, seigneur de Bercy, en 1754 ; René Boucault de Mélian, juge de police à Château-Gontier, qui l'acquiert pour 60 000 livres en 1754 et dont la fille épouse en 1777, dans la chapelle du château, Armand-René Volaige de Vaugirault. La famille de ce dernier, basée à Angers, en est encore propriétaire lors de l'établissement du cadastre en 1811, puis la Porte passe, d'après Angot, aux Villoutreys, qui vendent le château en 1841 au marquis Jean de Rasilly (1797-1861), ancien officier de marine et propriétaire à Paris. Sa veuve, née Anne Thiroux de Gervillier en hérite, puis un de leur fils, le comte Stéphane de Rasilly (1841-1913) en 1874, et enfin le deuxième fils de ce dernier, Raoul (né à la Porte en 1880, mort à Juvardeil, dans le Maine-et-Loire, en 1944) en 1909. Ce dernier le vend en 1932, à Louis Denoix, grand-père de la propriétaire actuelle, Catherine Pinchart-Denoix.

D'après le plan cadastral de 1811 et les cinq dessins, datables du milieu du XIXe siècle, d'un projet de rénovation et d'agrandissement, le corps de bâtiment principal et le pavillon sud-est du château sont antérieurs au XIXe siècle. L'examen des charpentes et leur étude dendrochronologique ont permis de préciser leur datation. La charpente du corps principal présente deux phases : l'une, correspondant aux deux travées est de la charpente, date vraisemblablement de 1577 (les bois ont été abattus successivement de 1572 à 1577) ; l'autre, correspondant aux travées ouest et à l'insertion d'un plancher intermédiaire, se situe entre 1690 et 1694. Le pavillon sud-est peut être daté, d'après la forme de la cheminée de la cuisine, si elle est bien en place, de la seconde moitié du XVIe siècle et il pourrait donc être contemporain de la phase 1 du corps principal. Mais sa charpente actuelle a été mise en place en 1707 (abattage des bois à l'automne-hiver 1706-1707). On peut donc faire l'hypothèse que l'ensemble des parties anciennes du château ont été construites en 1577, et que le château a connu ensuite deux phases de remaniement de ses charpentes entre 1690 et 1694 sur le corps principal et en 1707 sur le pavillon sud-est. On ne peut cependant pas exclure que ce dernier soit le résultat d'un agrandissement du bâtiment en 1707 si sa cheminée est un réemploi.

Le château a été profondément transformé au XIXe siècle, à l'initiative de Jean de Rasilly. L'abbé Angot attribue ces travaux à l'architecte parisien Lévy et les date de 1859. Les charpentes prouvent que ces travaux ont été menés en deux campagnes distinctes : construction d'un nouveau pavillon symétrique au premier au nord-ouest ; puis surélévation des toitures des pavillons et, sans doute en même temps, ajout de l'avant-corps et des tourelles et modification de la toiture du corps principal, dotée de croupes. La première campagne correspond vraisemblablement au projet documenté par les dessins. Elle peut être datée de 1850 par une inscription au crayon portée sur l'arbalétrier ouest de la ferme nord du pavillon nord-ouest : "Douau (?) Paul charpentier / 1850". Cette datation est confirmée par les matrices cadastrales qui mentionnent une augmentation de construction en 1854 (soit un achèvement des travaux en 1851). D'après le Plan des jardins et parc dépendant du château de la Porte dressé en 1856, la première campagne a aussi inclus la reconstruction des bâtiments des communs et de la ferme qui a permis d'ouvrir la cour, jusqu'alors barrée au nord-est par un corps de bâtiment allongé au centre duquel se trouvait vraisemblablement, dans l'axe de l'allée, le pavillon d'entrée, et de réaménager les accès et le jardin. La seconde campagne date bien de 1859, d'après la dendrochronologie menée sur les parties supérieures des pavillons sud-est et nord-ouest.

La chapelle a par contre été conservée, malgré une mention de construction neuve dans les matrice cadastrales en 1866 (qui correspondrait à des travaux achevés en 1863). Mentionnée en 1457 et dédiée à sainte Catherine, puis à la Vierge, elle peut être datée d'après la forme de sa porte, du 14e ou du début du 15e siècle. La pente de sa toiture confirme cette datation de la fin du Moyen Age. Elle a été remaniée au milieu du 19e siècle, notamment par l'agrandissement ou le percement des deux fenêtres latérales, l'ajout, sur la façade occidentale, d'un oculus et d'un nouveau cadre de porte et l'installation d'un nouvel autel accompagné d'un retable : le sceau (difficilement lisible) qui accompagne la pierre de consécration de l'autel semble permettre de l'attribuer à l'épiscopat de Mgr Bouvier, évêque du Mans de 1834 à 1854. Avant la Révolution, le temporel de la chapelle était assuré par la ferme du Grand-Poirier, vendue comme bien national en 1791.

L'architecte de la seconde campagne de travaux sur le château au XIXe siècle, datée de 1859, se confond selon toute vraisemblance avec l'auteur de la reconstruction du château de Mesnard-la-Barotière, en Vendée, attribuée à "Lévy architecte" par un dessin de 1867 conservé aux archives départementales de la Vendée (1 Fi 1002). Il pourrait s'agir d'Émile Lévy, né vers 1807, formé à l'école royale de dessin de Paris, installé pendant une partie de sa carrière à Cholet, architecte du château de la Crilloire à Izernay (49) vers 1847, de la mairie-école de Somloire vers 1850 (AD 49, O 1101), auteur de la restauration de l'église de Maulévrier (AD 49, O 694) et d'un projet de construction d'école à Evrunes (AD 85, 1 OO 286 10).

  • Période(s)
    • Principale : limite 14e siècle 15e siècle , (incertitude)
    • Principale : 4e quart 16e siècle , datation par dendrochronologie
    • Principale : 4e quart 17e siècle , datation par dendrochronologie
    • Principale : 1er quart 18e siècle , datation par dendrochronologie
    • Principale : 3e quart 19e siècle , porte la date, datation par dendrochronologie, daté par travaux historiques
  • Dates
    • 1577, datation par dendrochronologie
    • 1707, datation par dendrochronologie
    • 1850, porte la date
    • 1859, datation par dendrochronologie, daté par travaux historiques
  • Auteur(s)

Le château est disposé sur le rebord du plateau dominant la rivière Mayenne, perpendiculairement à elle. L'accès se fait au nord-est par une allée parallèle à la rivière, le long de laquelle sont disposés le logement du concierge, la ferme (composée d'un logis de ferme-dépendances, d'une petite étable et d'un alignement de bâtiments abritant une remise, une porcherie et une étable-grange), le bâtiment des communs et la chapelle. De ce côté, le château était précédé, si l'on en croit le plan du milieu du XIXe siècle et les arbres qui s'y élèvent actuellement, d'un bosquet aux allées sinueuses. Côté jardin, au sud-ouest, la vue sur la rivière était largement dégagée grâce à l'aménagement d'une grande pelouse se prolongeant sur le coteau.

Le château est doté d'un plan régulier en H : il est constitué d'un corps allongé encadré de pavillons rectangulaires formant saillie de chaque côté. Les pavillons sont prolongés aux angles antérieurs extérieurs par deux tourelles. Côté jardin l'axe de symétrie est marqué par un pavillon central en très faible saillie générant un effet pyramidal.

L'édifice est construit en moellons de schiste enduits. Les chambranles des ouvertures, les corniches et les chaînes d'angle sont en pierre de taille de tuffeau. Des cordons de brique viennent souligner les corniches ainsi que les tourelles d'angle et le pavillon central de la façade postérieure. Les souches de cheminées sont en brique et pierre.

Le décor sculpté et les moulurations sont eux-mêmes concentrés sur quelques parties de l'édifice : la porte d'entrée, les tourelles, le pavillon central, les lucarnes et les souches de cheminée. La porte d'entrée est encadrée d'un chambranle à crossettes, lui-même encadré de pilastres et d'un entablement doriques. Les lucarnes sont ornées d'un fronton courbe à clef feuillagée et de volutes, les souches de cheminée du corps principal de guirlandes de fruits.

Point focal de la composition, le pavillon central a reçu le décor le plus riche. Il est dominé par l'écu des commanditaires, la famille de Rasilly, supporté par deux anges et surmonté par la couronne de marquis : de gueules à 3 fleurs de lys d'argent. Ses baies sont sommées d'ornements variés : au rez-de-chaussée, frontons courbes soutenus par des consoles enrichies de feuilles, de fruits et de têtes de lion ; au premier étage, frontons chantournés accostés de coquilles et ornés en leur centre de griffons adossés surmontés d'un couronnement en bâtière amorti d'une palmette ; au 2e étage, coquilles encadrées par des volutes. Le style de ce décor, qui rappelle celui d'édifices néo-classiques tardifs (du début du XIXe siècle), contraste avec l'architecture néo-XVIIe siècle du château et lui apporte une touche d'éclectisme.

Le rez-de-chaussée comprend un long vestibule occupant toute la longueur du corps principal, côté entrée. Ce vestibule est ouvert sur l'escalier, situé dans le pavillon sud-est, et distribue les deux salles de réception occupant le corps principal côté jardin - la salle à manger et le premier salon - ainsi que la bibliothèque située dans le pavillon nord-ouest côté entrée. Côté jardin, ce dernier comprend un second salon, tandis que le pavillon sud-est abrite, outre l'escalier, une entrée secondaire, qui prend place derrière lui, et, côté jardin, la cuisine et l'office (actuelle cuisine), qui communique avec la salle à manger. Celle-ci et le premier salon sont éclairés chacun par deux baies : une fenêtre et une porte-fenêtre qui donne accès à la terrasse. La cheminée monumentale de la salle à manger, datable de la fin du XVe siècle, a été remontée à la Porte lors des travaux de remaniement et d'agrandissement du XIXe siècle. Son origine n'est pas documentée. Elle est ornée d'armoiries aux émaux inconnus et dont la famille n'a pu être identifiée. L'écu peut être lu ainsi : mi-parti ; au 1 : à un chevron accompagné de deux croissants en chef et d'une roue en pointe ; au 2 : à trois coquilles. Il s'inscrit dans une étoile, elle-même cernée d'un collier décoré d'une roue et de coquilles qui s'apparente au collier de l'ordre de saint Michel. Les motifs de la coquille et de la roue se retrouvent sur le registre intermédiaire de la hotte, tandis que son registre supérieur est décoré d'un cœur. L'étage était réservé aux chambres de la famille, distribuées dans le corps principal par un couloir latéral et accompagnées de cabinets, et l'étage de comble aux chambres d'amis et de domestiques, distribuées par un couloir central.

La charpente du corps principal est de type à chevrons formant fermes, avec panne faîtière et pannes sous-faîtières. Ses faux-entraits sont assemblés à la sous-faîtière située dessous par des embrèvements creusés sur leur sous-face. Ses deux parties - les deux travées est, d'une part, et les deux travées ouest, d'autre part -, correspondant à deux phases de travaux, se distinguent notamment par la position de la sous-faîtière, un peu plus haute sur la seconde partie, et par le dispositif de liaison entre faîtière et sous-faîtière : simple croix de Saint-André dans la première partie ; croix de Saint-André associée à d'autres lien obliques dans la seconde partie. Les modifications apportées à la charpente lors des travaux de 1859 (création de croupes sur les côtés, ajout de l'avant-corps central, réaménagement de la partie inférieure du comble) sont très lisibles. Le pavillon sud-est est doté d'une charpente à fermes et à pannes, à faîtière et sous-faîtière reliées, sur la travée centrale et la travée nord, par un potelet central et deux liens obliques (et sans lien sur la travée sud, plus étroite). Les pannes intermédiaires étaient retenues par des cales cubiques chevillées aux chevrons et aux arbalétriers. La surélévation de cette charpente en 1859 s'est opérée par l'ajout d'une nouvelle panne faîtière soutenue au-dessus des poinçons par des potelets et reliée à la faîtière primitive par des croix de Saint-André. La charpente du pavillon nord-ouest, quoique plus tardive que celle du pavillon sud-est, n'en est pas éloignée typologiquement : elle est également du type à fermes et à pannes, avec faîtière et sous-faîtière, mais celles-ci sont reliées, outre le potelet central, par deux croix de Saint-André par travée. De plus, les faux-entraits sont au même niveau que la sous-faîtière. La surélévation est identique à celle de la charpente du pavillon sud-est.

La chapelle est construite en moellons de schiste enduits. Elle est dotée d'une porte à arc surbaissé dont l'encadrement est formé de pierres de taille de schiste vert présentant un chanfrein. Cet encadrement est lui-même inscrit dans un cadre constitué de pilastres à chapiteau dorique supportant un fronton droit. Le volume intérieur est couvert d'une voûte lambrissée. Le sol est dallé de pierres de calcaire ponctuées de cabochons de schiste. Deux plaques fixées sur la façade portent les inscriptions : "HIC / DOMUS DEI ET PORTA COELIS" (ici est la maison de Dieu et la porte du ciel) et "VIRGINI IMMACULATAE / ET DEI PARAE DICATUM" (dédié à la Vierge immaculée et mère de Dieu).

  • Toits
    ardoise
  • Plans
    plan régulier en H
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage de comble
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans croupe
    • toit en pavillon
    • toit conique
    • noue
  • Escaliers
    • escalier dans-œuvre : escalier tournant à retours avec jour en charpente
  • Jardins
    arbre isolé, groupe d'arbres, massif d'arbres, massif de fleurs, pelouse
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
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Documents d'archives

  • Archives départementales de la Mayenne ; 3 P 145-146. Matrices des propriétés foncières bâties et non bâties de la commune de Daon, 1830-1914.

Bibliographie

  • ANGOT, Alphonse-Victor (abbé), GAUGAIN, Ferdinand (abbé). Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne. Laval : A. Goupil, 4 vol., 1900-1910.

    t. 3, p. 305, 333, 334 ; t. 4, p. 747
  • LE DIGOL Yannick, WERTHE Elise. Rapport d'étude dendrochronologique : le château de la Porte à Daon. Dendrotech, Betton, mars 2020 [non publié]. (Conseil général de la Mayenne, service du patrimoine).

Documents figurés

  • Collection de cartes postales anciennes des communes de la Mayenne. (Archives départementales de la Mayenne ; 5 Fi).

  • Plan cadastral napoléonien de Daon, 1811. (Archives départementales de la Mayenne ; 3 P 2684).

  • [Projet de rénovation et d'agrandissement du château de la Porte, à Daon, et de ses dépendances : plan d'ensemble, coupe des dépendances]. S.n., s.d. [milieu 19e siècle]. 1 dess. : encre et aquarelle sur papier. (Archives privées).

  • Château de la Porte et ses dépendances situés commune de Coudray Dépt de la Mayenne [projet de rénovation et d'agrandissement : plan]. S.n., s.d. [milieu 19e siècle]. 1 dess. : encre et aquarelle sur papier. (Archives privées).

  • [Projet de rénovation du château de la Porte, à Daon] : élévation sur cour [du corps principal et du pavillon sud-est] et coupe. S.n., s.d. [milieu 19e siècle]. 1 dess. : encre sur papier. (Archives privées).

  • [Projet de rénovation du château de la Porte, à Daon] : plan du rez-de-chaussée, plan du 1er étage, plan du 2e étage [du corps principal et du pavillon sud-est]. S.n., s.d. [milieu 19e siècle]. 1 dess. : encre sur papier. (Archives privées).

  • [Projet d'agrandissement du château de la Porte, à Daon] : coupe, plans de la cave, du rez-de-chaussée, du 1er étage et du 2e étage [du pavillon nord-ouest]. S.n., s.d. [milieu 19e siècle]. 1 dess. : encre sur papier. (Archives privées).

  • Plan des jardins et parc dépendant du château de la Porte situé commune de Daon appartenant à Mr le Marquis de Rasilly / dressé par Duluard (expert-géomètre). 1er juin 1856. 1 dess. : crayon, encre noire et aquarelle sur papier. (Archives privées).

  • La Mayenne. Château de la Porte (Daon). Pouancé : Drouard, 1er quart 20e siècle. 1 impr. photoméc. ; carte postale, (2060). (Archives départementales de la Mayenne ; 5 Fi 85 / 34).

  • La Mayenne. Daon. Château de la Porte et le moulin sur la Mayenne. Laval : Alliaume, 1er quart 20e siècle. 1 impr. photoméc. ; carte postale. (Archives départementales de la Mayenne ; 5 Fi 85 / 50).

  • Daon (Mayenne). Château de la Porte. Château-Gontier, Corairie, 1er quart 20e siècle. 1 impr. photoméc. carte postale, (149). (Archives départementales de la Mayenne ; 5 Fi 85 / 74).

  • Château de la Porte. Daon (Mayenne). Château-Gontier : Corairie, 1er quart 20e siècle. 1 impr. photoméc. (carte postale). (Archives départementales de la Mayenne ; 5 Fi 85 / 99).

  • Daon (Mayenne). Château de la Porte. Château-Gontier : Corairie, 1er quart 20e siècle. 1 impr. photoméc. (carte postale). (Collection particulière).

Date(s) d'enquête : 2017; Date(s) de rédaction : 2018, 2020, 2023
(c) Conseil départemental de la Mayenne
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Foisneau Nicolas
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Chercheur à l'Inventaire général, au service puis direction du Patrimoine du Conseil départemental de la Mayenne, de 2001 à 2020.

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