Dossier d’œuvre architecture IA49010716 | Réalisé par
  • inventaire topographique, Fontevraud-l'Abbaye - Montsoreau
Chapelle Notre-Dame-de-Pitié, Fontevraud-l'Abbaye
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
  • (c) Conseil départemental de Maine-et-Loire - Conservation départementale du patrimoine

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Fontevraud-l'Abbaye - Montsoreau - Saumur-Sud
  • Commune Fontevraud-l'Abbaye
  • Lieu-dit le Parquet
  • Adresse rue de l' Hermitage
  • Cadastre 1813 E 955  ; 2009 F 308
  • Dénominations
    chapelle
  • Vocables
    Notre-Dame-de-Pitié
  • Appellations
    chapelle Notre-Dame-de-Pitié

La chapelle Notre-Dame-de-Pitié, datée de 1579, est remarquable tant par son architecture de la seconde Renaissance que par son décor intérieur, intégralement recomposé en 1871-1872 autour du groupe sculpté de la Vierge de Pitié qu'elle abrite (œuvre déposée depuis des vols commis en 2003). La fondation de cette chapelle est historiquement liée aux officiers de l'abbaye de Fontevraud et à l'abbesse Éléonore de Bourbon. Il est également à signaler que la réfection de la chapelle après la guerre franco-prussienne se fit en lien avec la Maison centrale de détention de Fontevraud, puisque des prisonniers contribuèrent aux décors peints.

Isolée et non entretenue intérieurement depuis de nombreuses décennies, la chapelle est aujourd'hui dans un état préoccupant : les éléments notables de son mobilier sculpté ont disparu ou ont été mis en dépôt pour éviter tout vol, la toile peinte est altérée et présente un chanci généralisé, le décor de peinture murale est très dégradé par endroits (écaillage, lacunes) de même que la voûte à faux lambris sur lattis de plâtre.

Une restauration de ce décor intérieur et une mise en sécurité in situ du mobilier seraient à conduire, ce qui contribuerait sans doute aussi à éclaircir la question du décor préexistant au programme de 1871-1872.

Associée à une liturgie processionnelle, la petite chapelle Notre-Dame-de-Pitié est construite en 1579 à l'écart du village par les officiers de l'abbaye qui rendaient ainsi grâce à la Vierge de les avoir protégés d'une épidémie qui menaçait d'autant plus le village qu'elle survenait juste après une période de famine. Il est vraisemblable que l'abbesse Éléonore de Bourbon ait participé au financement de la chapelle, car un acte émanant de l'abbaye ordonne à cette date l'achèvement des travaux de maçonnerie et la couverture de la chapelle.

Elle est placée sous le vocable de Notre-Dame-de-Pitié, dévotion dont la fête avait été instituée dans l'ordre de Fontevraud dès 1519 sous l'abbatiat de Renée de Bourbon.

Sous l'Ancien Régime, la chapelle est administrée par la fabrique de l'église paroissiale.

À la suite de la Révolution française, elle est acquise par les propriétaires de la maison voisine (actuellement 56, rue de l'Hermitage), qui possèdent alors plusieurs parcelles environnantes.

En 1822, le prêtre de Fontevraud demande au Bureau préfectoral d'administration communale l'octroi à sa commune d'une aide financière afin de racheter la chapelle pour le compte de la fabrique paroissiale. Les autorités préfectorales refusent en 1825, justifiant ce rejet par le fait que le fonds alloué aux églises et presbytères est exclusivement affecté aux constructions ou réparations de tels édifices, et non aux acquisitions.

Vers 1859, la propriété de la chapelle passe finalement à la Commune et dès 1860 les archives de la fabrique mentionnent que des messes y sont à nouveau célébrées.

Pour avoir été épargnés par l'invasion prussienne lors de la guerre de 1870-1871, les villageois la font restaurer en 1871-1872 : elle est prolongée d'une sacristie et le décor intérieur est repris. Ces travaux furent financés par des dons et sur les propres fonds de la fabrique paroissiale. Plusieurs inscriptions latines disséminées dans la chapelle évoquent les travaux de restauration et de décoration alors réalisés. L'une d'elles mentionne que cette restauration s'est faite sous le ministère de Charles Chevalier (curé de Saint-Michel de Fontevraud de 1864 à 1874) et que les peintures ont été réalisées par des prisonniers grâce au concours du directeur de la Maison centrale de détention, Pierre-Émile Olivier (directeur de 1871 à 1873).

Cette chapelle et son mobilier furent classés parmi les monuments historiques par arrêté du 8 septembre 1965, dans le contexte de la protection des bâtiments et sites en lien avec l'abbaye de Fontevraud, après la décision de fermeture de la prison.

La chapelle fait l'objet de nouvelles restaurations en 1974 (travaux de couverture et réfection du berceau lambrissé (plâtre et peinture), puis à nouveau en 1999-2000 (mise hors d'eau et reprise des murs).

À la suite de vols survenus en 2003, les éléments notables subsistants du décor intérieur ont été déposés et mis en sécurité hors de la chapelle.

Cette petite chapelle (4,5x6m) se compose d'une unique travée et adopte un plan rectangulaire à chevet plat. Construite en moyen appareil de tuffeau, elle est couverte d'un toit d'ardoises, à longs pans et pignons découverts. Le flanquement oriental, prolongement à usage de sacristie (4x2m), date de l'agrandissement de 1871-1872 et reprend ces caractéristiques en un volume plus réduit.

La chapelle est coiffée d'un campanile en charpente, de plan carré couvert d'une flèche octogonale à égout retroussé, le tout à couverture et essentage d'ardoises ; absent à l'origine, il fut ajouté en 1872.

Le traitement ornemental relève de l'architecture de la Seconde Renaissance, avec un vocabulaire antiquisant déployé dans une élégante sobriété. La façade ouest présente une porte couverte d'un arc plein-cintre sur impostes moulurées, encadré de deux pilastres à chapiteaux ioniques. La porte est surmontée d'un entablement à deux fasces et frise nue bombée, qu'une agrafe unie à l'arc. L'ensemble est coiffé d'un fronton triangulaire brisé qui encadre un ornement héraldique composé d'une crosse abbatiale chargée des armes de la famille de Bourbon, bûchées puis restituées lors de la restauration de 1999-2000. À gauche de la porte, on discerne les vestiges de ce qui devait être une petite niche ou baie, obturée, dont l'arc était surligné de deux moulures en canal plat. En partie haute, le pignon est percé d'un oculus à encadrement mouluré. Les gouttereaux nord et sud sont ajourés chacun d'une petite fenêtre en plein cintre dont les impostes sont moulurées ainsi que l'encadrement de l'arc, lui-même à clef sculptée en volute formant agrafe. Avant la construction de la sacristie, une baie haute (aujourd'hui murée) perçait le pignon est. La sacristie prend le jour par une baie orientale en plein-cintre à clef en léger ressaut. Dans la sacristie, le mur ouest (ancienne façade extérieure du pignon de la chapelle), porte une plaque où l'on peut lire que la sacristie fut réalisée en juin 1871.

Les crossettes des pignons découverts de la chapelle sont amorties d'un pot à feu.

Le décor intérieur de la chapelle fut totalement repris lors de la restauration de 1871-1872, comme l'atteste l'inscription latine peinte sur un panneau de bois plaqué au-dessus de la porte, qui donne le contexte de cette restauration, engagée par les paroissiens fontevristes pour rendre grâce d'avoir échappé à l'invasion prussienne de 1870-1871, et qui précise que la réparation des murs et des fenêtres et le décor peint ont été financés par des dons et sur les fonds de la fabrique paroissiale. Comme il semble intégrer des éléments plus anciens, il est possible que ce décor évoque, au moins ponctuellement, un décor préexistant.

Dans son état actuel, ce décor présente un programme qui unifie des œuvres relevant de techniques très diverses : vitrail, peinture murale, peinture sur toile marouflée, sculpture. Le thème, qui correspond à la dévotion à laquelle est vouée cette chapelle, est celui de la Vierge pleurant le Christ mort.

L'élément qui orchestre le décor est la le groupe sculpté de la Vierge de Pitié en pierre calcaire polychrome, qui date de la fin du XVIe ou du début du XVIIe siècle et pourrait donc avoir été présente dans la chapelle dès l'origine, d'autant qu'elle correspond au vocable de l'édifice. La référence à cette œuvre comme pierre d'angle de l'ensemble décoratif se perçoit jusque dans le choix des coloris utilisés pour le reste du décor où sont repris, quand bien même ce ne seraient pas la polychromie d'origine du groupe sculpté, le turquoise et le rouge pourpré des vêtements de la Vierge et la couleur rosée qui évoque la carnation du Christ. Placée sur l'autel, cette œuvre est inscrite dans une grande composition paysagère peinte sur toile fixée sur le mur du fond de la chapelle et qui figure, en arrière-plan donc de la Vierge éplorée, La croix et le Golgotha dominant Jérusalem. La toile est échancrée pour que le groupe sculpté s'y insère. Peint en trompe-l'œil, sous l'apparence d'un feuillet cloué en bas à droite de la toile et rédigé d'une graphie pseudo-moderne en latin et en hébreu, figure un plan légendé qui pointe les lieux majeurs de la ville sainte. L'ensemble de la scène est encadré de rinceaux. Cette toile est datée de 1872. La présence d'une ancienne baie haute obstruée (probablement lors de la construction de la sacristie) dans le mur qui porte ce décor indique qu'à l'origine le traitement ornemental de cette paroi était différent.

Les vitraux des trois baies de la chapelle, mis en place lors des travaux de 1871-1872, sont des verrières mixtes constituées pour l'essentiel d'une trame ornementale de plaques carrées de verre blanc, disposées sur pointe et peintes d'un semis de fleurs de lys rougeâtres, stylisées en croix pattées, ponctué (1 sur 4) de monogrammes mariaux (M et A entrelacés, surmontés d'un tilde). Ce réseau est toutefois encadré de filets décoratifs de verre bleu et orange et chaque panneau comprend (dans le cintre de la baie ou au centre pour l'oculus) un large rondel de verre blanc peint à fond jaune et pourtour de godrons orangés, encadré d'un filet décoratif de verre rouge peint à motifs de filets, continu et perlé. Sur le fond flamboyant de ces rondels figurant des plats d'orfèvrerie sont peints des motifs qui évoquent la Passion, avec au sud, trois clous et la couronne d'épines, au nord, un marteau et une tenaille et à l'ouest, pour l'oculus, le Sacré Cœur.

Sur les parois nord, sud et ouest de la chapelle, entre le décor de faux lambris d'appui et celui de la voûte prend place un décor de peinture murale appliquée directement sur les parpaings de tuffeau. Le champ, uniformément de couleur ocre rose est encadré de lisérés turquoise et de bandes rouge sombre. Sur ce large fond rosé se déploie un décor constitué de quatre ensembles, deux au nord et deux au sud, séparés par les baies et cantonnés chacun de rubans peints en turquoise. Il s'agit d'un décor typologique, constitué de sentences bibliques peintes en rouge (avec initiales ornées à champ turquoise) issues de l'Ancien Testament, qui annoncent le sacrifice du Christ et qui encadrent, deux par deux, des niches où prennent place des statues en ronde-bosse de bois peint (polychromie) des personnages auxquels ces textes sont rattachés.

Tel qu'il était conçu (jusqu'au vol de deux des statues et au dépôt des autres), ce décor se constituait ainsi :

- mur nord, à l'est : David (œuvre volée), encadré de deux citations, l'une à gauche de la statue (« Ils ont percé mes / mains & mes pieds. / Ils ont compté tous mes os. / Psaume 21 ») et l'autre à droite (« Ils m'ont donné du / fiel pour nourriture / & dans ma soif ils m'ont / abreuvé de vinaigre. / Psaume 68 ») ;

- mur nord, à l'ouest : Aaron, encadré de deux citations, à gauche de la statue (« Voici le sang de l'alli- / ance que le Seigneur a / faite avec vous. / Exode 24 ») et l'autre à droite (« La paix est réta- / blie par son sang / entre le ciel & la terre. / aux Colossiens, I ») ;

- mur sud, à l'ouest : Jérémie (œuvre volée), encadré de deux citations, l'une à gauche de la statue (« Ô vous tous qui pas- / sez par ce chemin, / considérez & voyez s'il / est une douleur sembla- / ble à la mienne. / Lamentations de Jérémie 1 ») et l'autre à droite (« Il a été broyé à cause / de nos crimes et nous / sommes guéris par ses plaies. / Isaïe 53 ») ;

- mur sud, à l'est : Joseph, encadré de deux citations, l'une à gauche de la statue (« Allons à la monta- / gne d'amertume, à / la colline du sacrifice. / Cantique 4 ») et l'autre à droite (« Ah ! Laissez-moi à / mes larmes amè- / res ; n'essayer pas de me / consoler. / Isaïe 22 »).

Tous ces personnages, roi ou prophète, et ces passages relèvent de typologies d'usage courant, mais si pour David ce lien entre figure et les texte associé est cohérent, ce n'est qu'en partie le cas pour Aaron et Jérémie et interroge pour Joseph auquel rien ne rattache les textes qui l'encadrent d'Isaïe ou du Cantique des Cantiques (passage dont la traduction accentue volontairement l'acception typologique). Un tel programme iconographique et le rapprochement de ces seules quatre figures vétéro-testamentaires semblent donc une composition originale (voire forcée) qui ne renvoie à aucun autre ensemble décoratif connu.

Les quatre statues, qui présentent entre elles les caractères d'une même production, sont d'une facture de bien moindre qualité que la Vierge de Pitié et leur datation est difficile à établir : elles pourraient ne dater que du XVIIIe voire du début du XIXe siècle. Elles conservent les traces d'anciennes polychromies et certaines furent restaurées avec une restitution des lacunes en plâtre, vraisemblablement à l'occasion de leur redéploiement dans la chapelle en 1871-1872. Ces quatre statues sont posées sur des socles identiques à décor de volutes (qui paraissent des pastiches d'un style XVIIe ou XVIIIe siècle), en tuffeau peint en turquoise et noir avec traces de dorures. La hauteur et l'étroitesse du gabarit des niches interrogent, du fait de ce que ces quatre statues, plus large et moins hautes, s'y insèrent assez mal. La question se pose donc de savoir si les niches datent d'un état antérieur au réaménagement de 1871-1872 et si les statues étaient associées à cet éventuel décor préexistant ou s'il s'agit d'un programme entièrement recomposé autour de quatre sculptures rapportées.

Dans le mur ouest, de part et d'autre de la porte, deux petites niches, contournées par le décor de faux lambris, sont couvertes d'une conque et remontent vraisemblablement aux premiers temps de la chapelle. Un bénitier en conque de marbre est appliqué (déplacé) sous la statue de Joseph ; il pourrait dater lui aussi de la même période et il est possible qu'il fût originellement placé sous l'une ou l'autre de ces petites niches.

Le bas des murs est orné de planches clouées sur les parpaings de tuffeau, eux-mêmes peints en imitation bois, l'ensemble évoquant un lambris d'appui. Cette technique mixte est aussi utilisée pour l'ornementation de la couverture de la chapelle, imitant une charpente à voûte lambrissée en berceau brisé à caissons, au moyen de baguettes de bois et de peinture sur lattis enduit de plâtre. Un caisson de la voûte à faux décor de lambris (premier caisson au sud de la deuxième rangée de caissons en partant de l'entrée), porte la date de 1872 qui doit correspondre à l'achèvement de ce couvrement.

Une ferme principale de la charpente est apparente, vraisemblablement refaite lors des restaurations de 1872 dans un pastiche de style XVIe ou XVIIe siècle (décor de chanfreins et bagues, poinçon à base prismatique). L'entrait porte une inscription latine peinte qui renseigne sur le contexte de la restauration de la chapelle ; sont ainsi mentionnés le curé Charles Chevalier et le directeur de la Maison centrale de détention, Pierre-Émile Olivier qui permit le recours à des prisonniers pour les peintures.

Le tiers oriental du sol est pavé de carreaux de terre cuite (17x17cm) délimités au-devant de l'autel par une rangée de dalles de tuffeau (33x33cm) à l'aplomb de la ferme principale de la charpente. Ce pavement est peut-être un vestige de l'état ancien, alors qu'à l'ouest le carrelage date vraisemblablement des travaux de la fin du XIXe siècle.

Après description, il est donc difficile de savoir si le programme décoratif de la chapelle hérite d'une disposition plus ancienne, originelle ou du XVIIe voire du XVIIIe siècle. Si la statue de la Vierge de Pitié ou le bénitier semblent contemporains de la construction de la chapelle, la plupart des autres éléments sont postérieurs ou n'ont été réalisés que lors de la restauration de 1871-1872. Par ailleurs, ces deux œuvres du XVIe ou du début du XVIIe siècle comme les statues de bois peint peuvent tout aussi bien provenir d'un autre édifice et n'avoir été placée là qu'à l'occasion du réaménagement.

Quoiqu'il en soit, la composition d'ensemble, y compris le pastiche et le remploi d'éléments anciens dans l'agencement qui nous est parvenu, est donc à mettre au crédit de l'intervention de la fabrique paroissiale et du curé Charles Chevalier en 1871-1872 et constitue un programme décoratif d'une très grande cohérence thématique autour du vocable de Notre-Dame-de-Pitié.

  • Murs
    • moyen appareil
  • Toits
    ardoise
  • Couvertures
    • toit à longs pans
  • Techniques
    • sculpture
  • Représentations
    • armoiries
  • Précision représentations

    Armes de la Maison de Bourbon.

  • Statut de la propriété
    propriété de la commune
  • Protections
    classé MH, 1965/09/08
  • Référence MH

Documents d'archives

  • AD Maine-et-Loire. 101 H 160. Abbaye de Fontevraud. LARDIER, Jean (dom). Thrésor de l'ordre de Font-Evraud disposé en 3 volumes. Volume 1. Contenant l'inventaire des registres et extraits de conseil des abbesses pour les affaires qui regardent l'abbesse & le temporel de ladite abbaye par ordre alphabétique du temps de M. Jeanne Baptiste de Bourbon, XXXII. Abbesse, chef & générale dudit ordre, manuscrit, Fontevraud (1649). Voir folio 106 v°.

    AD Maine-et-Loire. 122 G 2. Clergé séculier. Église paroissiale Saint-Michel de Fontevraud : registre des titres et rentes dus à la fabrique (1750, continué jusqu'en 1770). Voir folio 439, mention d'une fondation de messe à Notre-Dame-de-Pitié, par testament du prêtre de la paroisse Michel Cosnier, en 1644.

    AD Maine-et-Loire. O.560. Commune de Fontevraud. Dossier « presbytère ». Lettre du Préfet de Maine-et-Loire au Sous-préfet de Saumur sur la demande d'aide à l'acquisition de la chapelle ND de Pitié par la commune de Fontevraud (18 janvier 1825).

    AD Maine-et-Loire. 3 P 146 / 2. Cadastre. Matrice : voir folios 209 (Chabrignac) et 229 suite en 294 (Commune).

    AD Maine-et-Loire. 4 V 7. Cultes. Arrondissement de Saumur : tableaux, correspondances, aides et état des églises et des presbytères (1810-1838).

Bibliographie

  • La Semaine religieuse du diocèse d'Angers, Angers : 11 août 1872, 10e année.

    n°1, p. 7
  • PICARD, Louis (colonel). Notre-Dame-de-Pitié. Bulletin de la Société des Lettres, Sciences et Arts du Saumurois, octobre 1914.

    n°17, p. 73-74
  • POULAIN, Jean. Dictionnaire de l'ordre fontevriste : noms de personnes, noms de lieux, termes usuels religieux, d'architecture et d'archéologie avec la bibliographie correspondante. Tapuscrit, Comité d'histoire fontevriste, janvier 2000.

    p. 122

Annexes

  • Annexe n°1
Date(s) d'enquête : 2010; Date(s) de rédaction : 2010
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
(c) Conseil départemental de Maine-et-Loire - Conservation départementale du patrimoine
Articulation des dossiers