Dossier d’œuvre architecture IA44004967 | Réalisé par ;
Aoustin Agathe
Aoustin Agathe

Chercheuse, Inventaire du Patrimoine, Service du Patrimoine, Région des Pays de la Loire.

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  • enquête thématique régionale, patrimoine de la villégiature
Maison de villégiature balnéaire dite Roche-Marie, 6 avenue du Docteur-Richelot
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Patrimoine balnéaire - Bourgneuf-en-Retz
  • Commune La Bernerie-en-Retz
  • Lieu-dit La Rinais
  • Adresse 6 avenue du Docteur-Richelot
  • Cadastre 2012 AD 496
  • Dénominations
    maison
  • Précision dénomination
    maison de villégiature balnéaire
  • Appellations
    Roche-Marie
  • Parties constituantes non étudiées
    dépendance, jardin

Autour de 1850, attiré par son ami Vincent Gâche, industriel nantais propriétaire d'une maison à la Bernerie-en-Retz, Antoine Richelot, médecin à Nantes, achète des terrains à la commune et à des particuliers, à l'ouest du village, au sud de La Rinais. D'après madame Milliez, son arrière-petite-fille, il fait construire la maison de Roche-Marie en 1858 dans le style des chalets suisses, pays où il avait coutume de passer ses vacances. Une aile en retour est ajoutée au sud-ouest, au cours de la première moitié du XXe siècle. Les communs sont édifiés en 1875 sur des terrains acquis de Jean Simon Voruz, industriel nantais et voisin d'Antoine Richelot. Une deuxième maison, Ar Fubuen, est construite en 1910 par Gustave Richelot, son fils, gynécologue à Paris, dans le bas du jardin près de la plage.

  • Période(s)
    • Principale : 2e quart 19e siècle
    • Principale : 2e moitié 19e siècle
    • Principale : 1er quart 20e siècle
  • Dates
    • 1858, daté par tradition orale
    • 1875, daté par tradition orale
    • 1910, daté par tradition orale

Construite au milieu d'une vaste parcelle, en front de mer, cette villa présente des élévations antérieure et postérieure tripartites, la partie centrale étant en avancée au sud, côté mer, et en retrait au nord, côté rue formant un large balcon. L'édifice s'élève sur un rez-de-chaussée surélevé et un étage de comble ; il est couvert d'un toit à longs pans présentant des pignons couverts, décorés de lambrequins, sur les élévations sud et nord. Les façades sont animées par une frise à redents en brique entre les deux niveaux et sous le rampant du toit et d'un important emploi de bois découpés (lambrequins, garde-corps des balcons et du porche d'entrée).

  • Murs
    • brique
    • enduit
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    rez-de-chaussée surélevé, étage de comble
  • Couvertures
    • toit à longs pans
  • Typologies
    pittoresque ; chalet Suisse
  • Techniques
    • menuiserie
  • Précision représentations

    Lambrequins, garde-corps des balcons et du porche d'entrée.

  • Statut de la propriété
    propriété privée
Date(s) d'enquête : 1997; Date(s) de rédaction : 1998
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Aoustin Agathe
Aoustin Agathe

Chercheuse, Inventaire du Patrimoine, Service du Patrimoine, Région des Pays de la Loire.

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