Rangée d'habitation signalée sur le cadastre de 1820. Les deux premiers logis, datant vraisemblablement de l’Époque moderne, ne formaient visiblement à l'origine qu'un seul et même ensemble (manoir ?), ceint d'un mur de clôture. La carte archéologique de la Gaule y signale sur la façade sud trois bas-reliefs en marbre blanc représentant deux têtes de faunes et une tête de femme (ou d'Apollon) entourée de branches de chêne" sans doute rapporté avant 1889. La porte d'entrée est couverte d'un linteau sculpté d'un écu et surmontée d'une niche en tuffeau (remploi ?). L'appentis en façade est antérieur à 1819. Les deux derniers logis sont antérieurs à 1819.