Dossier d’œuvre architecture IA72059072 | Réalisé par
Barreau Pierrick (Contributeur)
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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  • inventaire topographique, Bourgs et petites cités du Perche sarthois
Manoir de la Cour, 9 rue de la Cour
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays du Perche sarthois - Saint-Calais
  • Commune Coudrecieux
  • Adresse 9 rue de la Cour
  • Cadastre 1834 B2 228  ; 2020 B 246
  • Dénominations
    manoir
  • Appellations
    La Cour
  • Parties constituantes non étudiées
    communs, four, écurie, grange, mur de clôture, cour

Des origines obscures

Le manoir de la Cour, et non le château de la Pierre, était primitivement le siège de la seigneurie de paroisse de Coudrecieux, comme le rappelle sans ambages un arrêté du 16 mai 1630. Il semble toutefois qu'on ne trouve pas trace dans les archives des origines de cette seigneurie qui dépendait de Romigny (Bessé-sur-Braye). L'existence d'une famille de Coudrecieux qui aurait pu posséder le domaine à ses origines demeure hypothétique. L'histoire de ce fief, modeste mais sans doute ancien, ne nous est connue qu'à partir du XVIe siècle : en 1532, René de la Vove couchait dans un aveu le manoir et son domaine qu'il avait acquis de Jeanne de Mesne, héritière du fief, et de son mari Jean de Maillé. Il les réunissait alors à la seigneurie de la Pierre (attestée dès le XIVe siècle) que sa famille possédait déjà depuis 1453 et où son fils construirait par la suite un premier château. Devenu au XVIIe siècle un simple arrière-fief de la Pierre, le manoir de la Cour se trouve déclassé, mais il demeure un symbole important, ce qui explique qu'il ait été conservé et entretenu par la suite.

L'aveu de 1532 décrit le manoir comme une maison flanquée de pavillons, comprenant cinq chambres à feu et cabinets, au-devant la cour et les communs, puits, porche et pont-levis, à côté basse-cour close de murs et le potager. Cette description très vague est sujette à interprétation, mais l'hypothèse qu'elle se réfère à un bâtiment antérieur semble avoir été écartée par une étude dendrochronologique récente (2015). Celle-ci révèle la présence de charpentes de plusieurs époques et donc la succession de différentes campagnes : une première du milieu du XVe, correspondant à une reconstruction postérieure à la guerre de Cent Ans, puis une seconde des années 1488-1496, enfin une troisième des années 1568-1577, correspondant à la mise en œuvre de la charpente dans son état actuel. La description de 1532 se réfère donc à l'état du manoir entre deux de ces campagnes, par la suite transformé et amputé de certains éléments. Par ailleurs, le volume général du logis, à l'exception du pavillon postérieur abritant l'escalier, est tout à fait caractéristique des élévations de la 2e moitié du XVe siècle, avec ses pignons aigus et découverts.

Les transformations majeures du XVIe siècle

En revanche, les transformations de la 2e moitié du XVIe siècle donnent au manoir son aspect actuel. Les principales modifications semblent être l'adjonction du gros pavillon (initialement couvert d'un toit à quatre pans) abritant l'escalier et des cabinets, ainsi que le redécoupage intérieur du logis avec la création d'un vestibule d'entrée, aménagements correspondant au goût de l'époque. La forme de la porte et des croisées, ainsi que les quelques éléments de fortification à mettre en lien avec le climat d'insécurité des guerres de Religion, corroborent cette datation, qui peut également s'étendre à une partie de l'aile droite des communs. Le décor des cheminées et la présence des armoiries de la famille de la Vove, seigneurs de Coudrecieux jusqu'en 1634, autorisent à penser que ces transformations purent se poursuivre dans les premières décennies du XVIIe siècle. Le rôle exact du manoir de la Cour à cette époque, où la famille de la Vove ne semble pas résider, reste à éclairer, lieu d'exercice de la justice, de représentation, résidence intermittente, logement d'un fermier en charge du domaine… ?

Empêtrée dans ses créances, et malgré de nombreuses procédures pour conserver ses biens, la famille de la Vove doit se séparer de la seigneurie de la Pierre, et donc de la Cour, en 1634. Les acquéreurs, Claude de Loisel et Elisabeth de Brion, rendent aveu pour "la maison seigneuriale de Coudrecieux" la même année, dont une copie par l'abbé Charles Girault a été conservée. Elle décrit sommairement "un grand corps de logis accompagné de pavillons, une grande salle et plusieurs chambres, cave dessous grenier dessus, et quatre guarittes sur les coins du logis couvert d'ardoise, un pont-levis pour entrer. Autour, une grande cour close de murs en laquelle fournil, pressoir, granges, étables, colombier, grand jardin à côté". D'après ce document, trois des quatre "guérites" d'angle auraient disparu, de même que le pont-levis et le colombier, auquel correspond probablement une empreinte circulaire repérée dans un champ voisin. Le pluriel appliqué au mot "pavillon" ne trouve pas d'explication. Néanmoins, la description reste proche de celle de 1532 et confirme que le manoir n'a pas été reconstruit entre ces deux dates mais seulement remanié. Dès 1535, la seigneurie revient à Claude de Brion, neveu des précédents, qui sera inhumé en 1704 dans le chœur de l'église de Coudrecieux. Sa fille et héritière Marie-Geneviève les apporte ensuite à son mari Nicolas-Gilles de Cottentin, mort en 1711 sans descendance. De longues procédures pour la liquidation de ses biens s'ensuivent, entre plusieurs branches collatérales, se soldant par une prise de possession des domaines par François Legras du Luart en 1731.

Entretien et restauration du manoir depuis le XVIIIe siècle

A la requête de M. Legras, une montrée générale de la terre et dépendances de la Pierre dès 1720 inclut le manoir de la Cour, décrit comme suit : "composé d'une chambre basse, d'une cave, de cinq chambres haultes, grenier sur icelles, d'un degré pour monter dans lesdites chambres et greniers". La demeure ayant probablement été peu entretenue depuis un siècle, de nombreuses réparations sont préconisées, aux sols de carreaux de terre cuite, à l'escalier (on y mentionne la démolition de l'escalier en pierre de taille, "de vingt pieds de hauteur et quatre et demy de largeur"), aux portes et fenêtres souvent dépourvues de vantaux, de vitres ou de volets, à la charpente, aux enduits, au couronnement des murs, aux souches de cheminée, à la couverture, ainsi qu'aux communs et aux murs de la cour. Si l'on considère la date 1754 sur une poutre qui semble en avoir remplacé une autre dite "pourrye et soutenue par deux chandeliers" en 1720, on peut supposer que ces réparations furent bien réalisées, au moins partiellement, dans le courant du XVIIIe siècle. On note également que plusieurs fenêtres des parties hautes ont disparu après 1720 : il pourrait s'agir selon toute vraisemblance des anciennes lucarnes dont la charpente a conservé la trace. Elles ont pu être déposées par vétusté au cours du XVIIIe siècle, ou encore au début du XIXe siècle suite à la mise en place de l'impôt sur les portes et fenêtres. Les lieux étaient occupés par un régisseur à la veille de la Révolution, tel en 1787 un "bourgeois" du nom de Pierre Bernier.

Malgré la Révolution, la famille du Luart conserve le château de la Pierre et le manoir de la Cour, devenu simple ferme. Des travaux d'entretien sont attestés en 1836 par une date et des signatures d'artisans portées sur une cloison intérieure : la grande chambre à l'étage est alors subdivisée. On perce également une porte d'accès direct à la cave sur le mur-pignon. Les deux ailes de communs font également l'objet d'importantes transformations comme en atteste le cadastre napoléonien de 1834. Celle de gauche est en grande partie reconstruite, celle de droite est prolongée vers le logis (reprise de maçonnerie) et remaniée, une porcherie est construite hors de la cour. Le domaine passe ensuite par mariage à la famille de Pontoi-Pontcarré, puis au cours du XXe siècle à la famille de Montalembert, laquelle conserve le château de la Pierre mais se sépare du manoir de la Cour en 1952. Utilisé comme ferme jusqu'en 1982, le manoir se voit amputé du portail couvert pour faciliter le passage des machines agricoles. Une cheminée assez proche de celle de la grande salle du rez-de-chaussée, également aux armoiries de la Vove, est vendue en 1990 et se trouve désormais à Toulouse, à la fondation Bemberg. L'édifice fait depuis l'objet d'une restauration attentive de la part de ses actuels propriétaires et d'une inscription (corps de logis dans sa totalité) au titre des Monuments Historiques en 2005. Les parties dégradées sont peu à peu remises en état (maçonneries, couvertures, pan-de-bois), une fenêtre du XIXe siècle dénaturant la façade antérieure du logis est supprimée. Une porte est remaniée en fenêtre, conformément à son état initial, et la corniche du pavillon dont il ne subsistait qu'un fragment est restituée dans son intégralité. La vis en pierre est également en cours de restitution.

  • Période(s)
    • Principale : 2e moitié 15e siècle, 2e moitié 16e siècle, 1er quart 17e siècle
    • Secondaire : 3e quart 18e siècle, 2e quart 19e siècle, 1er quart 21e siècle
  • Dates
    • 1754, porte la date
    • 1836, porte la date

Situés en périphérie du bourg, les bâtiments du manoir s'organisent autour d'une cour quadrangulaire s'ouvrant au sud sur la route de Coudrecieux à Montaillé. Le logis, orienté au sud, se trouve en fond de cour, tandis que deux ailes de communs sont placées en retour.

Les extérieurs du logis

Le logis, surmonté d'une haute toiture pentue entre deux pignons découverts, présente un plan en T avec un corps de logis rectangulaire auquel a été adossé un pavillon. La façade sur cour est d'aspect plutôt austère avec trois travées d'inégale largeur. Au centre, la porte, ornée de pilastres à chapiteaux ioniques et d'un entablement à frise bombée, est surmontée de deux petites fenêtres séparées par un meneau formant imposte, que l'on retrouve à l'étage. A droite et à gauche, de grandes fenêtres à meneaux et traverses nus, de tailles différentes, éclairent les différentes pièces. Au sommet des murs, il ne reste qu'une portion de la corniche à denticules et modillons. Un petit avant-corps à vocation défensive (ou guérite) fait saillie à l'extrémité droite de la façade : il est percé de canonnières et d'une archère-canonnière orientées vers la porte d'entrée et vers la grange. A l'angle opposé, on remarque la présence de pierres d'attente, voisinant avec deux ouvertures bouchées sur le mur-pignon, correspondant peut-être à un agrandissement non réalisé ou disparu, ou aux traces d'une des guérites supprimées.

La façade postérieure présente deux travées, l'une composée de demi-croisées, l'autre de grandes fenêtres à meneau et traverse. Entre les deux, le large pavillon rectangulaire adossé au bâtiment, couvert d'une croupe et sommé d'un épi de faîtage, est percé de nombreuses petites ouvertures de tailles différentes et disposées sans ordre, dont deux séparées par un simple meneau (éclairant le petit escalier d'accès à la chambre haute). On remarque d'autres petites ouvertures de tir pointant dans toutes les directions, ainsi qu'une corniche à la base de la toiture, récemment restituée à partir de fragments.

Soubassement et rez-de-chaussée du logis

La déclivité du terrain impacte la distribution des niveaux inférieurs. Le rez-de-chaussée surélevé est établi sur un étage de soubassement semi-enterré dont le niveau est inégal, la partie gauche étant plus basse que la partie droite. Cette différence se répercute sur le niveau des planchers des pièces du rez-de-chaussée, nettement décalés. La cave à gauche, accessible par le vestibule d'entrée ou par une porte sur le mur-pignon, est uniquement éclairée par deux soupiraux, tandis que la cuisine à droite, autrefois accessible par une porte en façade transformée en baie géminée, est pourvue d'une fenêtre au nord. On y trouve une cheminée à corniche à modillons, accostée d'un potager, ainsi qu'un placard mural. Une cave voûtée en plein cintre prend place sous le pavillon.

Au rez-de-chaussée, la porte d'entrée du logis donne sur un vestibule allongé à huit marches séparant deux vastes pièces à cheminée, celle de gauche plus vaste et rectangulaire, celle de droite presque carrée. Chacune est pourvue d'une imposante cheminée plaquée sur le mur pignon. Celle de la grande pièce est la plus remarquable du manoir avec ses riches décors sculptés. La hotte est supportée par deux piédroits à consoles à volutes ornées de fleurs de lys couchées et un entablement nu surmonté d'une corniche. S'y appuient quatre pilastres en gaine cannelée supportant une corniche à denticules et à trois modillons. L'espace central est occupé par un cuir découpé orné d'une cordelière et de guirlandes de fruits, ainsi que d'un médaillon aux armoiries de la famille de la Vove (de sable à six besants d'argent, 3, 2 et 1). Au plafond, la trémie plus large que la hotte, garde l'empreinte d'une cheminée antérieure. Le volume de la pièce et le décor de la cheminée confirment la vocation de salle de représentation de cet espace. En revanche, la cheminée de la pièce carrée est plus sobre : si ses piédroits rappellent ceux de la précédente, la hotte est nue et supportée par un entablement mouluré à frise bombée, rappelant la porte d'entrée. Dans le prolongement du vestibule, le pavillon abrite une cage d'escalier carrée enserrée entre deux étroits cabinets s'ouvrant sur les pièces principales. L'escalier en bois du XVIIIe siècle est en cours de remplacement par une vis en pierre, reconstituée à partir des trois premières marches et de la base du noyau qui seuls subsistaient.

Niveaux supérieurs du logis

L'étage reprend la même distribution que le rez-de-chaussée, si ce n'est que le vestibule y est remplacé par une pièce étroite donnant sur la plus grande pièce. Percées dans le mur de cette petite pièce, deux fentes d'observation surveillent le palier de l'escalier. Les cheminées de l'étage ont disparu. Les cabinets du pavillon sont pourvus de latrines murales en plein cintre. A ce niveau du logis, un nouvel escalier en bois à deux volées droites, déporté dans le cabinet gauche, dessert une chambre haute entresolée occupant la partie supérieure du pavillon, d'où l'on accède au comble.

Le comble présente une remarquable charpente à chevrons porteurs, dont les jambettes et les aisseliers courbes forment un berceau. On compte en tout vingt-huit fermes, dont quatre fermes principales avec poinçon, délimitant des travées d'inégale largeur : celle au centre compte six fermes secondaires, celles à gauche et à droite en possèdent sept. Faîtières et sous-faîtières reliées par des décharges ainsi que des pannes forment le contreventement. Les deux trémies visibles sur le versant sud et une troisième sur le pan nord suggèrent la présence de trois lucarnes disparues au-dessus des fenêtres. S'appuyant sur le versant nord, la charpente du pavillon forme une croupe avec enrayure centrale.

Les communs

L'aile gauche des communs regroupe dans un même alignement plusieurs bâtiments édifiés avec des matériaux différents : une construction en pan-de-bois surmontée d'une lucarne gerbière en bois, un hangar à poteaux en bois dont une travée a été maçonnée en brique, ainsi que le fournil en moellon enduit. En apparence plus homogène, l'aile droite présente une série de portes en plein cintre. Un petit bâtiment gardant l'entrée de la cour, ayant servi de laiterie et de toit à bêtes, y est accolé. La façade postérieure est pourvue d'ouvertures à encadrements en brique. A proximité mais hors de la cour du manoir se trouve une ancienne porcherie. Dans un champ voisin, une empreinte circulaire au sol est probablement le seul vestige du pigeonnier.

  • Murs
    • pierre moellon enduit
  • Toits
    tuile plate
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré
  • Couvrements
    • charpente en bois apparente
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans pignon découvert
    • croupe
  • Escaliers
    • escalier dans-œuvre : escalier en vis en maçonnerie
    • escalier dans-œuvre : escalier tournant en charpente
  • État de conservation
    restauré
  • Techniques
    • sculpture
  • Représentations
    • ornement architectural, pilastre, ordre ionique
    • ornement en forme d'objet, cuir découpé, cordelière, guirlande, médaillon
    • ornement végétal, fleur
    • armoiries
  • Précision représentations

    Porte principale du logis encadrée de pilastres ioniques.

    Cheminée de la grande pièce du rez-de-chaussée ornée de consoles à volutes et à fleurs, de quatre pilastres en gaine cannelée, d'un cuir découpé orné d’une cordelière et de guirlandes de fruits, ainsi que d’un médaillon aux armoiries de la famille de la Vove (de sable à six besants d’argent, 3, 2 et 1).

  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
  • Protections
    inscrit MH partiellement, 2005/08/26
  • Précisions sur la protection

    2005/08/26 : inscrit MH (logis)

Documents d'archives

  • Archives départementales de la Sarthe ; 2 J 54. Notes de l’abbé Charles Girault, copie de brouillon d’aveu de 1634 concernant le manoir de la Cour de Coudrecieux.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 18 J 343. Collection Paul Cordonnier, baux de la famille du Luart.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 18 J 478. Collection Paul Cordonnier, commune de Coudrecieux.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 3 P 95. Matrices cadastrales, registres des augmentations et diminutions de construction de Coudrecieux.

  • Archives diocésaines du Mans ; boîte 761. Papiers concernant la paroisse de Coudrecieux.

  • DRAC Pays de la Loire. Documentation CRMH : manoir de la Cour à Coudrecieux.

  • Archives privées. Laboratoire d'Analyses et d'Expertises en archéologie et œuvres d'art (LEA). Datations en dendrochronologie, manoir de Coudrecieux, Sarthe, 2015.

Bibliographie

  • CHAUDUN, Nicolas, DURAND, Jean-Louis, GALARD, Gilles de. Répertoire des manoirs de la Sarthe (XVe-XVIe s.). Paris : éd. Nicolas Chaudun, 2013.

  • GRANDIÈRE, Roger. Les manoirs ruraux et leurs seigneurs à la fin du XVe siècle (1450-1530), l'exemple du Haut-Maine. Mémoire de maîtrise soutenu en 1987 à l'Université du Maine, sous la dir. de Robert Philippe, tapuscrit. Le Mans : Conseil Général de la Sarthe, 1991.

  • Le patrimoine des communes de la Sarthe. Paris : Flohic éditions, 2000. 2 vol.

    p. 273
  • PAYS DU PERCHE SARTHOIS. Monument du Mois, Coudrecieux et Saint-Michel-de-Chavaignes, 2003.

    p. 12-14
  • PESCHE, Julien-Rémy. Dictionnaire topographique, historique et statistique de la Sarthe, t. 1, 1829. Réédition Paris : Lorisse, 1999.

    t. 2, p. 101-102

Périodiques

  • CORDONNIER, Paul. "La Cour de Coudrecieux". Revue historique et archéologique du Maine, t. 119, 1963.

    p. 38-39
  • FLEURY, Gabriel. "Coudrecieux". La Province du Maine, t.1, 1893.

    p. 374-375
  • GIRAULT, Charles. "La Pierre, à Coudrecieux". Bulletin de la Société d’Agriculture, Sciences et Arts de la Sarthe, 3e s., t. 6, 1935.

    p. 379-419
  • SALCH, Charles-Laurent. Donjons et manoirs du XIIe au XVe siècle en Maine oriental (Sarthe). Châteaux-forts d'Europe, n° 37-38, 2006.

Documents figurés

  • Collections de cartes postales et de photographies anciennes, commune de Coudrecieux. (Collection particulière).

Date(s) d'enquête : 2020; Date(s) de rédaction : 2020
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
(c) Pays du Perche sarthois
Barreau Pierrick
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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