Cet écart conserve du bâti des XVIIe et XVIIIe siècles (maisons 1 et 2). La maison 3 a été reconstruite après 1850.
Écart, les Jolifières
Dossier IA72001162 réalisé en 2010Fiche
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Maison 1 : façade sur cour.
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Sommaire
Dénominations | écart |
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Extrait du plan cadastral de 1834.
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Extrait du plan cadastral de 1987.
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Maison 1 : façade sur cour.
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Vue de volume de la maison 1, avec mur-pignon est.
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Maison 1 : mur-pignon de l'ancienne écurie (est).
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Maison 1 : détail d'un poteau de bois à l'angle des murs est et nord.
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Maison 1 : détail du pignon (est) en essentage de bois.
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Maison 1 : détail de la charpente au-dessus de l'écurie.
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Maison 1 : souche de la cheminée (pignon ouest).
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Maison 1 : cheminée.
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Maison 1 : potager dans et sous le placard mural.
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Maison 1 : détail du potager (placard ouvert).
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Maison 1, solive du plafond : arbre écorcé.
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Maisons 2 et 3 : vue d'ensemble.
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Maison 2 : façade antérieure sur cour.
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Maison 2 : vue de volume de la façade postérieure.
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Maison 2 : façade postérieure sous appentis.
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Maison 2 : façade postérieure partiellement en pan de bois.
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Maison 2, cheminée, détail : corbeau gauche.
Aire d'étude et canton | Forêt de Bercé - Le Grand-Lucé |
Adresse | Commune : Saint-Vincent-du-Lorouër Lieu-dit : les Jolifières Cadastre : 1834 A1 117, 118, 124, 125, 129 ; 1987 A1 142 |
Période(s) | Principale :
17e siècle
Principale : 18e siècle Principale : 2e moitié 19e siècle |
D'après le cadastre de 1834, l'écart des Jolifières se composait de quatre constructions divisées en huit logements. Une construction enfermant trois logements a été détruite. Il reste aujourd'hui trois constructions anciennes et une construction nouvelle. La maison 1 (1834, p. 118) enferme une chambre à feu qui a conservé sa cheminée et un potager dans le placard mural, et une pièce pouvant servir de dépendance. Le pignon opposé à la cheminée est fermé par un essentage de bois et est supporté par deux poteaux corniers. L'ardoise est un matériau de couverture moderne. La maison 2 (1834, p. 124, 125, 129) était divisée en trois logements et trois propriétés imbriquées, transformées par la suite en étables à vaches. L'intérieur est très perturbé mais conserve néanmoins des vestiges de murs en pan de bois protégés par des appentis. Une cheminée présente les mêmes caractéristiques que celles de la maison 1. La maison 3 a été construite après 1850. Ses dépendances (1834, p. 117) abritaient elles aussi un logement.
Murs | calcaire
enduit moellon pierre de taille |
Toit | ardoise |
Couvertures | toit à longs pans |
État de conservation | bon état, envahi par la végétation |
Statut de la propriété | propriété privée
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Chargée de mission Inventaire du Patrimoine PETR Pays Vallée du Loir
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