Conservateur en chef du patrimoine au Département de la Vendée à partir de 2017.
- inventaire topographique, Vallée de la Sèvre Niortaise, Marais poitevin
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
- (c) Conseil départemental de la Vendée
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Vallée de la Sèvre Niortaise, Marais poitevin
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Commune
Sainte-Radégonde-des-Noyers
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Lieu-dit
Bourg
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Adresse
4 route des Grands Greniers
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Cadastre
1834
D
382 et 383
;
2017
AD
157 et 185
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Dénominationsferme
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Parties constituantes non étudiéescour, grange, étable, toit à porcs, fournil
Parmi les deux logements qui composent aujourd'hui le logis, celui situé au sud a dû être construit dans la seconde moitié du 18e siècle, comme le laisse penser la forme de ses ouvertures. Le logement nord et la partie droite du logement sud apparaissent sur le plan cadastral de 1834, mais pas encore la partie gauche (en rez-de-chaussée) du logement sud, ni les dépendances au sud de la cour. En fait de logement nord, il s'agissait à cette date d'un magasin d'entrepôt, appartenant à François Mingaud, maçon. La partie sud, habitable, était quant à elle détenue par Pierre Colardeau, demeurant à Chaillé-les-Marais. En 1834, l'endroit s'appelait les Clopes.
Le cadastre indique que la partie nord est démolie en 1856 pour faire place à une nouvelle dépendance qui est transformée en habitation en 1877. La partie sud a subi beaucoup moins de transformations, conservant son architecture du 18e siècle, mis à part son allongement en rez-de-chaussée vers le sud (2e moitié du 19e siècle ?). La date 1832 serait inscrite sur un élément de charpente ; la couverture a été reprise en 1939, comme le rapporte une inscription portée sur une tuile. Les dépendances ont dû être construites dans la seconde moitié du 19e siècle.
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Période(s)
- Principale : 2e moitié 18e siècle , (incertitude)
La ferme comprend principalement un logis, en retrait par rapport à la voie, et des dépendances sur le côté sud de la cour : grange-étable, toits, vestiges d'un four. La partie nord du logis a été remaniée, au contraire de la partie sud qui a conservé son architecture de la seconde moitié du 18e siècle probablement. On compte au total, sur les deux parties, trois travées d'ouvertures. Les première et deuxième travée à gauche, dans la partie sud, comprennent des ouvertures avec linteau en arc segmentaire. Une des portes est surmontée d'un oculus. On observe une pierre d'évier sur la partie en rez-de-chaussée du logement sud.
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Murs
- calcaire moellon enduit
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Toitstuile creuse
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Étagesen rez-de-chaussée, étage en surcroît
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Couvrements
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Couvertures
- toit à longs pans
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Typologiesferme à bâtiments séparés
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Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
- (c) Conseil départemental de la Vendée
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Documents d'archives
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Archives départementales de la Vendée. 3 P 3013, 3015, 3016, 3695. 1835-1958 : état de section et matrices des propriétés du cadastre de Sainte-Radégonde-des-Noyers.
Documents figurés
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1834 : plan cadastral de Sainte-Radégonde-des-Noyers. (Archives départementales de la Vendée, 3 P 267).
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