Dossier d’œuvre architecture IA72059062 | Réalisé par
Barreau Pierrick (Contributeur)
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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  • inventaire topographique, Bourgs et petites cités du Perche sarthois
Église Saint-Sigismond de Coudrecieux
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays du Perche sarthois - Saint-Calais
  • Commune Coudrecieux
  • Adresse place de l' Église
  • Cadastre 1834 B2 274  ; 2020 B 258

Des origines romanes à la Révolution

La nef, d'origine romane, est sans conteste l'élément le plus ancien de l'église. En témoignent le portail occidental, en plein cintre à deux voussures, ainsi que les traces de deux baies étroites sur le mur nord. Un dessin de 1893 témoigne de la présence de deux autres baies murées du même style sur le mur sud à cette époque. Ces éléments peuvent être datés du XIIe siècle. La souche du clocher, avec son appareillage en grison et roussard, est également ancienne, mais la petite porte à coussinets invite plutôt à une datation autour du XIVe siècle. L'absence de reprise de maçonnerie entre le chœur et la chapelle seigneuriale en appentis au nord, indique qu'ils ont été construits simultanément, sans doute à l'emplacement d'une abside romane. Le lambris du chœur, avant d'être refait au début du XXe siècle, portait la date 1545 et la signature de Mathurin Dolibon, de Semur. Cette datation semble également s'accorder au style des piliers soutenant les arcs de la chapelle nord, et pourrait donc tout à fait correspondre à la construction du chœur et de cette chapelle. On a vraisemblablement percé les deux grandes fenêtres du mur sud de la nef à la même époque.

Le 14 janvier 1545 mourait René de la Vove, seigneur de Coudrecieux et de la Pierre, lequel était inhumé sous une pierre tombale placée dans le chœur, "du côté de l'Évangile", dont la présence était encore signalée par le curé en 1786. Selon toute vraisemblance, c'est donc son successeur François de la Vove qui aurait fait construire (ou achever) la chapelle seigneuriale et peut-être participé, avec le curé, au financement de la construction du chœur. Il en aurait résulté une incertitude sur les prérogatives de chacun au sein de l'église qui ne fut clarifiée qu'à la fin du XVIIIe siècle. Ainsi, le curé consigne en 1787 dans le registre paroissial : "J'ai fait refaire à neuf, cette année, la charpente et le lambris du chœur de l'église. […] M. le marquis du Luart, seigneur de Coudrecieux, a également fait reconstruire la charpente et le lambris de sa chapelle, il n'y aura plus désormais de contestation entre les curés et les seigneurs pour cet objet, parce qu'on a établi un point de partage qui fixe la partie à laquelle chacun est tenu".

Peu de modifications sont à signaler avant le XIXe siècle. Le clocher est coiffé d'un bulbe polygonal au cours du XVIIe siècle. Une porte en plein cintre du XVIIe ou du XVIIIe siècle, aujourd'hui murée, est encore visible à l'extérieur de la chapelle. A la Révolution, l'église devenue vétuste est déclarée bien national et vidée de son mobilier : "autels bans bancelles chaises et enfin tous les meubles et effets qui se trouvent dans la dite église lesquels seront vendus". La cloche, bénite en 1733, est envoyée à la fonte ainsi que les ferrures. Mis en vente, l'édifice est acquis en 1796 par un certain Jean Le Méale menuisier à Coudrecieux, puis racheté deux ans plus tard par le maire de la commune, Julien Gager. En 1806, par acte notarié autorisé par un décret de 1808, celui-ci restitue l'église à la communauté des habitants de Coudrecieux à la condition qu'y soit exercé le culte catholique.

Les grandes restaurations du XIXe siècle

En cette 1ère moitié du XIXe siècle, l'église est devenue beaucoup trop petite, sombre et dégradée, pour une population en nette augmentation, avec le rattachement de la paroisse des Loges en 1808 et le développement de la verrerie de la Pierre. Aussi, un important projet de restauration et d'agrandissement est conçu par l'agent voyer d'arrondissement Louis Richard dès 1844. Il prévoit le prolongement de la nef vers l'ouest de plus de cinq mètres et la construction d'un nouveau portail, ce qui ne sera pas réalisé faute de moyens suffisants. En revanche, on procède à la démolition d'un ballet en pan-de-bois jugé disgracieux, disposé entre les deux contreforts. Rendus nécessaires par le déblaiement de l'ancien cimetière en 1836, un escalier monumental et un mur de soutènement sont aménagés. Pour éclairer la nef, on perce dans le mur nord "en place de deux petites fenêtres actuelles, deux grandes croisées pareilles aux deux grandes qui existent [au sud]" ainsi qu'une troisième au-dessus du portail. Pour donner de la régularité à l'entrée du chœur, la première travée de la chapelle nord est fermée par des cloisons en brique et se voit reconvertie en sacristie. Mais surtout, afin d'agrandir l'église, une chapelle est construite au sud du chœur formant pendant à celle au nord. On procède également à diverses réfections au niveau des toitures, couvertures et maçonneries. Ces travaux sont réalisés entre 1845 et 1850, par l'entrepreneur Jousselin, de Vibraye, avec caution de Bernard Boudet de Coudrecieux.

Par la suite, l'église est progressivement pourvue de nouveaux meubles et ornements. D'après les registres paroissiaux, le retable, datable du milieu du XIXe siècle, en a remplacé un autre dont on avait béni, en 1740, des statues de la Vierge, de saint Sigismond et de saint François. Si la composition d'ensemble est sans doute restée voisine, on a substitué à la statue de saint François une autre de saint Martin, patron de la paroisse des Loges désormais réunie à celle de Coudrecieux. Les vitraux sont ajoutés en plusieurs temps. Celui de la Sainte Famille, dans la nouvelle chapelle sud, porte la date 1868 et la signature du maître verrier Fialeix à Mayet. Le vitrail de la façade occidentale, donné par Anne-Philippe Le Gras du Luart et son épouse Elisabeth Barbin de Broyes, et figurant leurs saints patrons, est daté de 1885 et signé Küchelbecker et Jacquier, Le Mans. Les autres vitraux de la nef ne sont ni datés ni signés, mais la représentation des saints Clément de Rome et Félix de Valois fait sans aucun doute référence à Félix-Louis-René Clément, curé de Coudrecieux de 1884 à 1895.

En 1887, le charpentier-couvreur Marcel Pataud se voit confier la réfection de la toiture, avec remplacement de la tuile par de l'ardoise, et le renouvellement du lambris de la nef, selon les plans et devis de l'architecte Ferdinand Travaillard. En 1902, dans rapport sur l'état de la paroisse, le curé de Coudrecieux juge l'église d'une "valeur archéologique nulle". Il fait également mention de statues aujourd'hui disparues, une sainte Barbe et un saint non identifié, ainsi que d'une "très belle chaire neuve". Il précise que la tribune aurait été édifiée par son prédécesseur en 1899. Il fait également état des cloches, l'une donnée en 1859 par le comte Philippe du Luart, l'autre de 1781 provenant de l'église des Loges.

L'entretien de l'église au XXe siècle

En 1902 déjà, le curé signalait l'état de détérioration du clocher lézardé, du chœur et des chapelles, avec leurs lambris vermoulus et une voûte en plâtre dégradée. En 1913, l'architecte Joseph Durand formule un rapport sur les travaux de consolidation à effectuer au clocher, qui ne sont toutefois pas réalisés à cause de la guerre. Le clocher, le chœur et les chapelles font l'objet d'une importante réfection au début des années 1920, comme l'atteste la dédicace placée au-dessus de l'arc triomphal : "Cette église a été restaurée en 1922-23-24 par M. l'abbé Louis Fontaine curé de Coudrecieux secondé par Mme la comtesse de Pontoi Pontcarré Gougeon Leroy et les bienfaiteurs de la paroisse, monseigneur Grente étant évêque du Mans". Confiés à l'architecte Pascal Vérité, les travaux de réfection des maçonneries et des couvertures, de renouvellement du lambris du chœur, et de consolidation du clocher, sont menés à bien par les entrepreneurs Marcel Pataud, charpentier, Marcel Bequignon maçon, Delfeld, menuisier, et Delaboudinière, couvreur. On procède également au remplacement de la vitrerie des baies de la chapelle nord et de la sacristie, à la restauration du retable et à la mise en place du carrelage. Les peintures des murs et du lambris sont réalisées par le peintre-décorateur manceau Gaston Müller.

Le monument aux morts de la paroisse, financé par une souscription et un don de la comtesse de Pontoi-Pontcarré, est béni le 2 mai 1920. Le chemin de croix d'inspiration Art Déco est posé probablement dans les années 1930. Les fenêtres et les vitraux sont restaurés en 1980. En 1992, le mur sud de la nef fissuré fait l'objet d'une importante restauration par l'entreprise Fournigault du Mans. Elle explique la disparition des traces des fenêtres romanes de ce côté de l'église.

L'extérieur

L'église est orientée, le chœur faisant face à l'est. Elle imbrique une haute et large nef, un chœur plus bas, assez long et étroit, deux chapelles latérales et une tour-clocher. Implanté sur un terrain pentu, où se trouvait le cimetière médiéval, l'édifice a été pourvu d'un mur de soutènement au nord et d'un escalier d'accès monumental à l'ouest. Un autre petit escalier, au sud, donne un accès direct au clocher et à la chapelle attenante.

La façade occidentale, avec son haut pignon découvert, est contrebutée par deux épais contreforts de part et d'autre d'un portail roman en plein cintre, à deux rouleaux en grès roussard. Celui-ci est surmonté d'une grande fenêtre de style éclectique : en plein cintre, elle se compose de deux lancettes avec colonnettes à chapiteaux feuillagés surmontées d'un quadrilobe entre deux trilobes. Une croix en pierre surmonte le pignon. Le mur sud est percé de deux fenêtres en plein cintre, chacune à deux lancettes séparées par des colonnettes et surmontées d'un oculus. Les deux baies du mur nord ont été réalisées sur le même modèle, tandis qu'apparaissent encore deux petites fenêtres romanes étroites murées. Moins altéré que les autres faces, le mur nord, épaulé par un contrefort, se caractérise par ses assises régulières de petits moellons de roussard en partie basse et le mortier rose utilisé pour le jointement et l'enduit, dont la couleur s'explique par l'utilisation de sable contenant également du roussard.

Le chœur, de plan rectangulaire, est flanqué au nord de l'ancienne chapelle seigneuriale à deux travées, accolée en appentis. Si le chevet est aveugle, la chapelle est percée d'une grande fenêtre en arc brisé, de petites baies cintrées et d'une porte en plein cintre, aujourd'hui murée, signalée par son encadrement en pierre de taille alternant calcaire et grès roussard. L'enduit, qui présente les traces d'une litre funéraire, laisse apparaître en partie les chaînages des angles en grès roussard et grison. On retrouve ces matériaux sur les contreforts et la petite porte à coussinets à la base de la tour clocher. La partie supérieure de celle-ci, en charpente essentée et couverte d'ardoise, présente une base cubique surmontée d'un adoucissement portant un bulbe à huit pans, supportant un petit dôme surhaussé à pans. Au pied de la tour, accolée au chœur, la chapelle sud est couverte d'un toit à deux pans et éclairée par une grande baie en arc brisé.

L'intérieur

La nef, rectangulaire, est couverte d'une voûte lambrissée à sept pans, peinte de motifs géométriques et végétaux ainsi que d'armoiries se référant à la famille Le Gras du Luart (d'azur à trois rencontres de cerf d'or, deux et un), bienfaiteurs de la paroisse. Une tribune en bois à garde-corps en fer forgé occupe le revers de la façade occidentale. Sous celle-ci est visible un petit bénitier sculpté de style néo-Renaissance. Du côté du chœur, l'arc triomphal, dont les piédroits sont ornés de chapiteaux feuillagés, est couronné d'une peinture monumentale représentant des pampres de vigne et des gerbes de blé parsemées de coquelicots et de liserons. Cet arc est encadré par deux autels secondaires, surmontés des statues de la Vierge à l'Enfant (à gauche) et de saint Joseph (à droite), posées sur des consoles et sous des dais architecturés. Le décor peint accompagnant chacune des statues représente des draperies en partie basse, surmontées d'urnes d'où sortent des bouquets de roses et de lys. Aux extrémités du mur, des pilastres à chapiteaux feuillagés peints en trompe-l'œil répondent aux piédroits de l'arc triomphal. Le vitrail au-dessus de la tribune, daté de 1885 et signé Küchelbecker et Jacquier Le Mans, figure saint Philippe et sainte Élisabeth de Hongrie, saints patrons de Anne-Philippe Le Gras du Luart et son épouse Léopoldine-Antoinette-Élisabeth Barbin de Broyes. On y retrouve leurs armoiries coiffées des couronnes comtales et la devise de la famille Le Gras du Luart "Ne varietur". Les autres vitraux de la nef, garnis de motifs ornementaux, présentent en médaillon les symboles des quatre évangélistes, les portraits de saint Clément de Rome, saint Félix de Valois, saint Martin de Tours et saint Sigismond, ainsi que des monogrammes et armoiries de donateurs (familles Le Gras du Luart et Pontoi-Pontcarré) en médaillons.

Couvert d'une voûte lambrissée à six pans peinte de fleurs de lys, le chœur est long et étroit, mais la perception en est altérée par l'obturation de la première travée de la chapelle nord reléguée au rôle de sacristie. La cloison en brique entre cette travée et le chœur, à gauche, répondant au mur du clocher à droite, renforce cette impression de "couloir". Contre le mur oriental est disposé l'autel principal, en marbres de trois couleurs, et un grand retable qui a nécessité le sciage des entraits et poinçons de la charpente pour être entièrement visible. Il se compose d'un avant corps central délimité par deux paires de colonnes aux futs en marbre et aux chapiteaux composites dorés, encadrant un tableau représentant l'Annonciation, reprise d'une composition du peintre François Lemoyne (1688-1737) mais dans le style du milieu du XIXe siècle. De part et d'autre sont disposées deux statues en plâtre, représentant saint Sigismond et saint Martin, patrons des paroisses de Coudrecieux et des Loges. L'entablement est composé d'une frise de rinceaux et d'une corniche à denticules et à modillons. En couronnement, une niche cintrée à ailerons accueille une statue de la Vierge, adorée par deux anges agenouillés placés de part et d'autre. Le retable dans son intégralité est inscrit Monument Historique depuis 2002. La composition est complétée par deux branches de rosiers symétriques peintes. Les autres murs sont couverts d'un faux appareil et, sous le lambris, d'une frise de rinceaux.

La chapelle nord (à gauche), réduite à une seule travée, est accessible par un arc en plein cintre reposant sur des colonnes engagées à tailloirs carrés moulurés ; ceux de la seconde travée sont toujours visibles à l'intérieur de la sacristie. Au-dessus de l'arc sont peintes les armoiries du comte Cyprien-Frédéric de Pontoi-Pontcarré et de son épouse Élisabeth Le Gras du Luart. Un écusson avec l'inscription "ANNO DOMINI 1922" figure au-dessus de la fenêtre. La chapelle est couverte d'une demi-voûte lambrissée, à l'inverse de son pendant nord couvert d'une fausse voûte en plâtre. L'arc et les colonnes engagées sont identiques, seules les armoiries peintes au sommet diffèrent, ici celles de Monseigneur Grente, évêque du Mans de 1918 à 1959. Le vitrail, daté de 1868 et signé Fialeix à Mayet, représente la sainte Famille.

Le mobilier de l'église inclut une cuve des fonts baptismaux en marbre noir, une clôture de chœur en fer forgé, un intéressant chemin de croix en plâtre de style Art déco, un monument aux morts paroissial en plâtre inséré dans le mur nord de la nef, un Christ en croix surmontant l'arc triomphal, diverses statues en plâtre du XIXe siècle, une dalle funéraire du curé Jean-François Cailler (1875) dans le chœur, ainsi qu'une croix de procession du XVIIIe siècle inscrite Monument Historique en 2002. Les cloches sont de 1781 et 1859.

  • Murs
    • grès moellon enduit partiel
    • calcaire moellon enduit partiel
  • Toits
    ardoise
  • Plans
    plan allongé
  • Étages
    1 vaisseau
  • Couvrements
    • lambris de couvrement
    • fausse voûte en berceau
    • charpente en bois apparente
  • Couvertures
    • toit à longs pans pignon découvert
    • bulbe
    • dôme
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
  • État de conservation
    restauré
  • Techniques
    • sculpture
    • peinture
    • vitrail
  • Représentations
    • ornement végétal, feuillage, rose, lys, blé, vigne
    • ornement géométrique
    • ornement en forme d'objet, croix, urne, litre funéraire
    • ornement figuré, sainte Elisabeth, saint Philippe, saint, Evangéliste, saint Sigismond, saint Martin, scène chrétienne
    • armoiries
  • Précision représentations

    Chapiteaux sculptés feuillagés ornant certaines baies et les piédroits de l'arc triomphal.

    Croix en pierre surmontant le pignon occidental.

    Traces d’une litre funéraire à l'extérieur.

    Décor peint intérieur comprenant faux appareil, motifs géométriques et végétaux, armoiries, gerbes de blé, pampres de vigne, urnes, bouquets de roses et de lys.

    Vitraux représentant sainte Élisabeth, saint Philippe, saint Félix de Valois, saint Clément de Rome, saint Sigismond, saint Martin de Tours, les symboles des quatre évangélistes et la sainte Famille.

  • Statut de la propriété
    propriété de la commune

Documents d'archives

  • Archives départementales de la Sarthe ; 1 Mi 1343 (R 104). An III-1893 : délibérations du conseil municipal de Coudrecieux.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 237 AC 148. 1841-1887 : église de Coudrecieux.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 13 F 351. Collection Louis Calendini, commune de Coudrecieux.

  • Archives départementales de la Sarthe ; GG 1 à 5. 1616-1790 : registres paroissiaux de Semur.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 18 J 478. Collection Paul Cordonnier, commune de Coudrecieux.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 2 O 94/6. 1845-1925 : église Saint-Sigismond de Coudrcieux.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 4 O 141. 1808 : donation de l’église de Coudrecieux à la commune.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 1 Q 141. 1796 : vente de l’église de Coudrecieux comme bien national.

  • Archives départementales de la Sarthe ; 5 V 520. 1886-1887 : réparations à la toiture de l’église de Coudrecieux.

  • Archives diocésaines du Mans ; boîte 761. Papiers concernant la paroisse de Coudrecieux.

  • Archives municipales de Coudrecieux ; 1 D 1 à 5. 1893-1992 : délibérations du conseil municipal de Coudrecieux.

  • Archives municipales de Coudrecieux ; 2 M 1 à 4. 1910-1994 : église de Coudrecieux.

Bibliographie

  • CHARLES, Robert. Guide illustré du touriste au Mans et dans la Sarthe. Le Mans : Pellechat, 1880.

  • Le patrimoine des communes de la Sarthe. Paris : Flohic éditions, 2000. 2 vol.

    p. 273
  • PAYS DU PERCHE SARTHOIS. Monument du Mois, Coudrecieux et Saint-Michel-de-Chavaignes, 2003.

    p. 4-8
  • PESCHE, Julien-Rémy. Dictionnaire topographique, historique et statistique de la Sarthe, t. 1, 1829. Réédition Paris : Lorisse, 1999.

    t. 2, p. 101

Périodiques

  • FLEURY, Gabriel. "Coudrecieux". La Province du Maine, t.1, 1893.

    p. 373-375

Documents figurés

  • Collections de cartes postales et de photographies anciennes, commune de Coudrecieux. (Collection particulière).

Date(s) d'enquête : 2020; Date(s) de rédaction : 2020
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
(c) Pays du Perche sarthois
Barreau Pierrick
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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