En 1811, l'eau du Loir est détournée pour former un méandre fermé avec une île de plus de 100 mètres de diamètre sur la rive droite (parcelles 505 et 506). En 1846, une partie des douves ne sont plus en eau et le parcellaire est concentrique sur la partie desséchée qui évoque un fossé avec un talus intérieur.
Sur un plan terrier du XVIIIe siècle, on s'aperçoit que cette île est immédiatement précédée par une sorte de langue de chat, toujours placée sur la rive droite (parcelles 501 en 1811, et 19 en 1846) qui est désignée comme "ile de Bocé à monsieur de Sarcé" et portant le numéro 10. Dès cette date cette langue de chat et cette île se réunissent.