Chercheur au service Patrimoine de la Région Pays de la Loire
- inventaire topographique
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Communauté de communes d'Erve-et-Charnie - Meslay-du-Maine
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Commune
Saulges
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Lieu-dit
les Hardières
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Cadastre
1838
H2
27, 30, 31, 33, 34
;
1982
H
150, 155
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Dénominationsécart
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Parties constituantes non étudiéesétable, toit à porcs, poulailler
En 1471, dans les amendes et remembrances de la seigneurie des Trées, Jean de la Barre est dit, comme bail des enfants de feu Guillaume de la Barre, tenir la Hardière en parage du seigneur de Valtro. En 1838, les Hardières constituaient un écart rassemblant quatre logis : deux logis accolés et un petit logis indépendant dans la partie nord et un logis-étable dans la partie sud le long du chemin rural. Quatre ménages, rassemblant 12 personnes, y résidaient en 1846 : trois de cultivateur et un de journalier, classé parmi les indigents. Le petit logis a été converti en bâtiment rural en 1874. L'étable a été reconstruite au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle. Les deux logis accolés, qui peuvent remonter au XVIe siècle, ont été réunis en un seul. Ils ont été remaniés au cours de la deuxième motié du XXe siècle. Le logis-étable a été complètement transformé dans les années 1960 ou 1970.
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Période(s)
- Principale : Temps modernes
- Principale : 2e moitié 19e siècle
- Principale : 2e moitié 20e siècle
Les Hardières comprennent actuellement deux logis. Le logis nord est couvert de tuiles plates. Ses appentis abritaient un poulailler et des toits à porcs. Il est accompagné de deux dépendances, construites en moellon de calcaire marbrier et reliées par un bâtiment en tôle : l'ancien logis indépendant, en simple rez-de-chaussée, est actuellement lui-même couvert de tôle ; l'étable, en rez-de-chaussée et à comble à surcroît, est couverte d'ardoises et dotée d'ouvertures entourées de briques. L'appentis en planche qui s'adosse à son mur ouest servait sans doute de porcherie. L'ancien logis-étable sud est crépi et pourvu d'une toiture en ardoise. Les Hardières appartiennent au type II des écarts.
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Murs
- calcaire moellon sans chaîne en pierre de taille
- moellon sans chaîne en pierre de taille crépi
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Toitstuile plate, ardoise, tôle ondulée
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Étagesen rez-de-chaussée, comble à surcroît
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Couvertures
- toit à longs pans
- appentis
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TypologiesLa typologie des écarts est établie en fonction du nombre de logements comptabilisés sur le cadastre de 1838. Type I : écart de 2 ou 3 logements. Type II : écart de 4 logements ou plus.
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Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Conseil départemental de la Mayenne
- (c) Ministère du budget, des comptes publics et de la réforme de l'Etat
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Documents d'archives
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Archives départementales de la Mayenne : 6 M 435. Recensement de la population de Saulges, 1846.
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Archives départementales de la Mayenne ; 3 P 436. Matrices des propriétés foncières bâties et non bâties de Saulges. 1841-1911.
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CHAPPEE J. Archives du Cogner. Série E. Articles 145-262. Paris, Champion, 1907. Série E. Articles 145-262.
Chartrier des Chesnais : fiefs des Trées, de Chantepie, etc... , art.186, p. 162
Bibliographie
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ANGOT, Alphonse-Victor (abbé), GAUGAIN, Ferdinand (abbé). Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne. Laval : A. Goupil, 4 vol., 1900-1910.
t. 2, p. 401 ; t. 4, p. 453
Chercheur à l'Inventaire général, au service puis direction du Patrimoine du Conseil départemental de la Mayenne, de 2001 à 2020.
Chercheur au service Patrimoine de la Région Pays de la Loire
Chercheur à l'Inventaire général, au service puis direction du Patrimoine du Conseil départemental de la Mayenne, de 2001 à 2020.