Chercheur auprès de la Ville d'Angers jusqu'en avril 2024.
- inventaire topographique, Angers intra-muros
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Giraud PatriceGiraud Patrice
Photographe au Service de l'Inventaire général.
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Angers intra-muros - Angers Centre
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Commune
Angers
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Lieu-dit
quartier Centre-ville
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Adresse
3 rue de l' Aubrière
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Cadastre
1840
H1 317 à 319 ;
1980
BR
192-193
;
1999
BR
193-561-562
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Dénominationshôtel
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VocablesNotre-Dame
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Appellationsmaisons de Lézé, ou hôtel Binel, puis hôtel Lefebvre de l'Aubrière,
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Destinationspresbytère
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Parties constituantes non étudiéescour, jardin, communs
En 1427 (nouveau style), "deux maisons […] avecque le jardrin, court et aultres appartenances et deppendances" furent acquises par Jean Binel dit l'Aîné et son fils Olivier, de l'abbé et couvent de Saint-Serge. La famille Binel, seigneur de Lézé ou Lécé, d'où la première appellation de ces maisons, était déjà au début du XVe siècle une famille importante d'Angers, gravitant dans le monde juridique. Si nous ne connaissons pas l'activité de ce premier Jean, son père Yvonnet était au service du duc en tant qu'enquêteur d'Anjou. Avec la génération d'Olivier Binel, se précise l'ascension de cette famille : celui-ci, mort en 1459, était greffier des Eaux et Forêts d'Anjou, et son frère, un deuxième Jean, sieur de Malvoisine, fut successivement substitut du procureur d'Anjou, puis procureur. L'édifice est reconstruit vers 1437-1141d d'après une dendrochronologie de la charpente du corps principal en fond de cour, mais il conserve des éléments antérieurs dont on ne peut mesurer l'importance à défaut d'une archéologie du bâti. Assurément, le mur-pignon du logis principal orienté à l'est, vers les logis de la Cour des Caves, ancienne demeure intra-muros de l'abbaye Saint-Serge, remonte au XIIIe siècle et conserve les traces d'une originale disposition de trois baies, faite d'une rosace centrale accostée de deux lancettes, aujourd'hui masquée à moitié par une maison du XVIIIe siècle voisine, mais bien reconstituable. L'ampleur de cette composition (8 m de large) inscrite dans un bâti moins élevé que le pignon actuel selon un pignon fossile encore discernable, ne peut correspondre à un simple oratoire de logis : plutôt à un chevet plat d'une chapelle (l'orientation est justement à l'est), qui serait celle relevant alors du fond ecclésiastique de Saint-Serge. L'absence inhabituelle de sous-sol pour cette partie de l'hôtel se justifierait d'autant. Par ailleurs, la base de la tour d'escalier en vis hors-œuvre qui flanque la façade semble procéder d'une phase antérieure aux Binel, d'après le départ, primitivement plus bas de la vis, son entrée tournée vers la Cour des Caves, et non comme aujourd'hui vers la cour de l'hôtel (le niveau de sol actuel a été remonté au vu de la base moulurée de la vis de l'escalier aujourd'hui enfouie, probablement d'une trentaine de centimètres, d'où le perron extérieur). Un usage plus tardif d'habitation est donc certain dès les premières années du XVe siècle selon le dessin à moulures prismatiques de la base de cette vis d'escalier. On peut de ce fait y reconnaître l'une des deux maisons de l'achat de 1427. Un petit corps annexe prolonge par l'arrière, en équerre, le logis principal (mais mal relié par les niveaux, de même époque ?). La seconde "maison" mentionnée en 1427 pourrait être le corps d'entrée sur rue (actuels 34-36, rue Pocquet-de-Livonnières), entrée initiale de l'hôtel – la rue de l'Aubrière actuelle n'existe que depuis le XIXe siècle. Très retouché vers 1900, ce logis sur rue pourrait effectivement remonter au début du XVe siècle, d'après les éléments en place, base d'escalier en vis à moulurations prismatiques à l'instar de la vis du logis principal, pan de bois sur la façade postérieure à grandes croix de Saint-André, la mise en œuvre la plus ancienne de colombage.
Un second logis fut construit en 1480d, selon la dendrochronologie de la charpente. Le maître d'œuvre en est un troisième Jean Binel, fils cadet d'Olivier Binel. C'est le membre le plus connu de la famille, un des personnages les plus notables d'Angers, qui eut même et surtout une carrière nationale au service de la royauté. Né vers 1430 et mort en 1491, il occupa les plus hautes fonctions à l'université qu'il contribua largement à créer et à la municipalité dont il fut maire en 1486-1487 avant d'être échevin perpétuel. Nommé juge ordinaire d'Anjou, par le roi René dont il était un familier, il participait au conseil ducal dès la fin des années 1450. Mais c'est surtout comme serviteur des rois de France, Louis XI puis Charles VIII qu'il acquit une stature exceptionnelle, missions diplomatiques en Italie, rôle de témoin dans la dévolution des différents duchés et comtés de René d'Anjou à la couronne, participation aux états généraux de Tours de 1483 où se décida la régence de Charles VIII. Proche de ce dernier, il le reçut par deux fois dans son hôtel d'Angers lors des noces en 1487 de Jean II de Bourbon, chambellan et connétable de France, avec sa cousine Jeanne de Bourbon-Vendôme, et en 1490 à l'occasion d'un passage du roi par Angers pour gagner la Bretagne. Au regard de ce parcours inhabituel pour un bourgeois d'Angers, le logis de ses parents était insuffisant : Jean Binel l'augmenta en conséquence d'un nouveau corps de logis en 1480, entièrement dévolu à la représentation : celui-ci consistait en trois vastes salles superposées exclusivement destinée à la réception, occupant tout le corps de bâtiment et bénéficiant d'une entrée et d'un escalier spécifiques sur une allée latérale menant au rempart de ville, indépendante de la cour d'entrée du corps de logis d'habitation de l'hôtel et accessible depuis la rue par un passage couvert aménagé en extrémité du corps sur rue.
Au milieu du XVIe siècle, entre 1535 et 1559, le logis d'entrée sur rue fut détaché et vendu par le petit fils du grand Jean Binel, Charles Binel, sieur de la Bouchardière, à Louis de Breil. L'entrée de l'hôtel se fit alors uniquement par l'allée latérale. L'hôtel proprement dit fait l'objet de ventes par différents héritiers de la famille Binel qui le morcellent, notamment en 1559 et en 1561. Ainsi, par la vente de 1559, Gabrielle Binel, sœur de Charles Binel, vendit sa part à Jean de Boysguérin, juge au présidial, quand René Binel, sieur de Réchaussé, deux ans plus tard, fait de même en faveur de l'avocat Pierre Delespinière. En 1617, par trois contrats, François Lefebvre de l'Aubrière réunit à nouveau les différentes parties de l'hôtel, hors le corps sur rue qui ne fut depuis lors jamais récupéré, passant par différentes familles, Saillant, de Landévy, Hiron, Dupas, Richomme, Goureau, Daburon, Guérin, Genneteau... Ce logis fut diminué sur sa partie gauche au XVIIe siècle, une nouvelle maison s'y implantant (l'actuel n° 38, rue Pocquet-de-Livonnières.). Amputé de la partie antérieure de la propriété, l'hôtel s'ouvrit désormais sur la ruelle de l'Aubrière par un nouveau portail, à l'emplacement actuel. La famille de l'Aubrière posséda pendant plus d'un siècle et demi l'hôtel proprement dit, durée qui fit communément appeler désormais la demeure hôtel de l'Aubrière, dont Jérôme Lefebvre de l'Aubrière, milieu XVIIe siècle, chanoine de la Sainte-Chapelle de Paris et conseiller en la grand chambre du parlement de Paris, François, fin XVIIe siècle, conseiller au parlement de Bretagne, Charles-François, début XVIIIe siècle, conseiller au même parlement puis évêque de Soissons, Jérôme, milieu XVIIIe siècle, docteur en Sorbonne, doyen premier dignitaire de l'église de Nantes, abbé commendataire de l'abbaye de Villeneuve, près de Nantes. L'architecture de l'hôtel n'évolue pas fondamentalement sous les Aubrière : dans le courant du XVIIe siècle, un petit corps de logis sur la cour d'entrée est plaqué contre le pignon du corps de logis latéral de 1480, deux lucarnes sont refaites sur la façade antérieure du corps principal. La distribution intérieure garde encore les grandes pièces de réception de l'aile de 1480.
Au début des années 1770, la propriété passa à un avocat René-Joseph-François Couraudin, avocat, puis au début du XIXe siècle à son gendre, François-René Delaunay de la Briderie, auditeur à la chambre des comptes de Nantes. Au début du Second Empire, la propriété est pour l'essentiel au baron de Wolbock, petit-fils et héritier de F.-R. Delaunay, quand la partie postérieure de l'édifice et le jardin sont au presbytère de la paroisse Notre-Dame. Dans ce milieu du XIXe siècle, l'édifice avait fait l'objet à nouveau de subdivisions qui avaient fortement entamé son intégrité, notamment la moitié arrière du corps de logis de 1480, entraînant la division des vastes salles créées pour Jean Binel, qui étaient encore intactes au vu des descriptions de la fin du XVIIIe/début du XIXe siècle. De même, la distribution du corps de logis principal était aussi largement reprise. La pièce principale du rez-de-chaussée du logis principal présente un plafond néo-gothique à voûtes d'ogives plates dans des caissons. En 1864, le baron de Wolbock proposa de vendre sa partie à la ville qui y trouva l'opportunité d'augmenter le presbytère trop petit au lieu d'avoir à le reconstruire, acquisition concrétisée en 1865. Suite à l'affectation complète de l'hôtel au presbytère, de nouveaux travaux eurent lieu : dans le cadre de la régularisation de la rue de l'Aubrière qui depuis peu était maintenant reliée à la rue Chevreul, la tour d'escalier en vis semi-hors-œuvre du corps de logis de 1480, qui avançait sur la voie fut supprimée, de nouvelles fenêtres percées et tous les encadrements de baies refaits. Quelques fenêtres du XVe siècle subsistent, deux sur le pignon antérieur du corps de 1580, dont une avec colonnettes, accolade et un petit masque, visibles dans le comble du petit corps rajouté au XVIIe siècle ; d'autres, petites, simplement chanfreinées, sur le petit corps en arrière du logis principal. Le jardin qui allait initialement jusqu'à l'enceinte urbaine est amputé de son extrémité orientale tandis que des constructions adventices modernes ont été implantées au contact direct des parties arrières de l'hôtel. Vers 1900, le corps de logis sur rue fit l'objet d'un rhabillage de façade en tuffeau et les charpentes refaites. Une restauration générale eut lieu au tournant des années 2020, le presbytère n'occupant plus qu'une partie des lieux, une autre partie désormais réservée à de l'habitation.
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Période(s)
- Principale : 1er quart 15e siècle, 2e quart 15e siècle, 4e quart 15e siècle
- Secondaire : 13e siècle, 1er quart 15e siècle, 17e siècle
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Dates
- 1480, datation par dendrochronologie
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Auteur(s)
- Auteur :
A l'origine, l'hôtel Binel constituait une très vaste propriété, allant de la rue Saint-Michel (actuelle rue Pocquet-de-Livonnières) jusqu'à l'enceinte urbaine, un terrain long mais relativement étroit (une centaine de mètres de long par une vingtaine de large), mais avec les amputations successives, la propriété ne fait plus qu'une soixantaine de mètres de longueur. Elle se composait d'un logis d'entrée sur la rue et de l'hôtel lui-même, entre cour et jardin. Le corps d'entrée est un logis aujourd'hui long de 15 m (20 m à l'origine), à un étage carré et étage de comble, avec des longs pans modernes mais gardant des inclinaisons médiévales. En moellon de schiste enduit et tuffeau en façade, avec bossage ; et avec un pan de bois à l'étage sur la façade postérieure. L'escalier en vis fait saillie sur la rue, en demi-hors-œuvre en façade, couvert en pavillon. L'hôtel lui-même se compose de deux corps de bâtiment principaux, que complète un petit corps annexe à l'arrière gauche du corps principal (mais mal relié par les niveaux). L'ensemble forme un plan en U, enfermant une petite cour postérieure, précédant l'ancien jardin, aujourd'hui disparu. Le logis principal, en moellon de schiste enduit, à un étage carré et comble, est un bâtiment de 13 m par 8 m, desservi en façade par une tour d'escalier en vis hors-œuvre couverte d'un toit polygonal. Il conserve sur le pignon gauche des vestiges d'ouvertures gothiques composant, par restitution, une rosace entre deux lancettes. L'autre grand corps de logis, à un étage carré et étage de comble également, est en équerre par rapport au logis principal, s'établissant le long de la rue de l'Aubrière et présentant de fait un mur-pignon antérieur sur la cour d'entrée, masqué depuis le XVIIe siècle par un petit corps de logis coiffé d'une toiture à croupes. Il disposait avant les années 1860 d'un escalier en vis en demi-hors-œuvre qui ouvrait sur la rue(lle) de l'Aubrière, permettant une distribution indépendante du logis principal, pour les réceptions pour lesquelles ce grand corps de logis (15 m par 8 m) fut conçu.
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Murs
- schiste
- enduit
- moellon
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Toitsardoise
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Plansplan régulier en U
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Étagessous-sol, 1 étage carré, étage de comble, étage en surcroît
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans
- appentis
- toit polygonal
- pignon découvert
- pignon couvert
- demi-croupe
- noue
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Escaliers
- escalier hors-œuvre : escalier en vis sans jour en maçonnerie
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Typologieshôtel à cour antérieure (type A)
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État de conservationrestauré
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Techniques
- sculpture
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Représentations
- tête d'homme
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Précision représentations
La fenêtre de l´étage de comble (transformée en porte intérieure) dans le pignon antérieur du corps de logis sur rue présente une petite tête d´homme, inscrite dans la voussure de son linteau en accolade.
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Statut de la propriétépropriété d'une association cultuelle
L'hôtel Binel, malgré un état qui a souffert des reprises du XIXe siècle, reste un édifice particulièrement intéressant pour sa conception. Bien qu'il ait dû être un édifice sans ostentation (mais toute la modénature d'origine a quasiment été refaite), il fut l'un des grands hôtels du XVe siècle à Angers, aujourd'hui peu nombreux. Son grand intérêt réside dans l'étonnante adéquation entre histoire et architecture : le fait d'avoir appartenu à l'un des plus considérables personnages de la capitale angevine de la seconde moitié du XVe siècle, qui souhaitait marquer son rang et avait la nécessité de recevoir, explique la configuration unique de l'hôtel. Grâce à de riches archives (départementales et municipales), il a été possible d'en restituer les dispositions générales, avec ses deux corps de logis indépendants d'un de l'autre. A un logis traditionnel avec ses deux pièces par niveaux et sa tour d'escalier en vis en façade, s'est adjoint dans un second temps un corps de bâtiment tout aussi important entièrement dévolu à la représentation, uniquement constitué de trois vastes salles superposées de quelque 80 m2 chacune, et disposant d'un escalier propre sous la forme d'une seconde tour d'escalier en vis, malheureusement disparue au XIXe siècle, mais parfaitement identifiée par les archives municipales (et accessible par une allée latérale qui permettait de ne pas passer par la cour d'entrée même du logis d'habitation). Cette disposition rare dans un hôtel de deux salles de plein pied s'observe certes au logis Barrault, mais ce dernier est un édifice hors norme. On peut encore faire la comparaison avec le château du Plessis-Bourré, avec la grande salle de prestige voûtée en retour du grand corps de logis, venue aussi dans un second temps : deux exemples remarquables qui montrent indéniablement la particularité et l'ambition de l'hôtel Binel.
Enfin, l'hôtel Binel montre un curieux exemple de récupération d'un bâti antérieur avec ce pignon oriental (sinon peut-être davantage de maçonnerie ?) du corps de logis d'habitation qui par son originale composition de trois baies - rosace cantonnée de deux lancettes - signale le chevet plat d'une ancienne chapelle (relevant de la propriété ecclésiastique voisine, la maison de ville de l'abbaye Saint-Serge hors les murs).
- (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
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Letellier-d'Espinose Dominique ou Letellier Dominique, chercheur auprès de la Ville d'Angers.
Chercheur auprès de la Ville d'Angers jusqu'en avril 2024.
Letellier-d'Espinose Dominique ou Letellier Dominique, chercheur auprès de la Ville d'Angers.