• enquête thématique régionale, patrimoine de la villégiature
Maison dite villa balnéaire Laus Deo, 29 avenue Pierre-Loti
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Patrimoine balnéaire - La Baule-Escoublac
  • Commune La Baule-Escoublac
  • Lieu-dit lotissement Pavie
  • Adresse 29 avenue Pierre-Loti
  • Cadastre 2004 CD 346
  • Dénominations
    maison
  • Précision dénomination
    villa balnéaire
  • Appellations
    Laus Deo
  • Parties constituantes non étudiées
    jardin

Cette villa a été dessinée par l'architecte angevin Henri Jamard en 1922. Les plans sont consultables dans le fonds Jamard aux archives départementales de Maine-et-Loire (non inventorié).

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 20e siècle
  • Dates
    • 1922, daté par source

Plan massé avec rez-de-chaussée et deux étages sur sous-sol. Cette villa "dissymétrique médiévale" (cf. typologie) est implantée au milieu d'un jardin bordé par l'avenue Drevet au n° 12. Elle est mitoyenne au nord. La couverture est en ardoise et les murs sont à structure en pan de bois recouvert d'enduit avec soubassement en moellons. A l'ouest de la façade sud un pignon couvert, protégé par un essentage d'ardoise à simple égout au niveau des combles, est percé de deux fenêtres au deuxième étage puis à l'étage de deux fenêtres et cinq portes-fenêtres qui ouvrent sur deux balcons en béton avec garde-corps en fer forge et trois fenêtres au rez-de-chaussée. Sur cette façade les étages en encorbellement, sont supportés au deuxième par des potences en bois et au premier par des consoles en béton moulure. Au bout des potences de la façade sud des têtes d'homme sont sculptées dans le style médiéval. Sur la façade ouest un pignon couvert avec essentage d'ardoise à simple égout est aussi en encorbellement et forme avant-corps au premier étage. Il est percé de quatre fenêtres à l'étage et de quatre fenêtres au rez-de-chaussée. Un demi oriel recouvert d'un toit à deux pans relie ce pignon avec le retour en mur gouttereau. Au-dessus de l'oriel ce mur est surmonté au deuxième étage d'un pignon couvert avec la même pente que le toit de l'oriel. Ce mur est percé au deuxième de trois fenêtres, au premier de deux fenêtres et au rez-de-chaussée d'une porte et d'une fenêtre.

  • Murs
    • enduit
    • pan de bois
  • Toits
    ardoise
  • Plans
    plan massé
  • Étages
    sous-sol, 1 étage carré, étage de comble
  • Couvertures
    • toit à longs pans brisés
    • noue
  • Typologies
    médiéval
  • État de conservation
    restauré
  • Techniques
    • sculpture
  • Représentations
    • tête d'homme
  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    oriel, élévation
Date(s) d'enquête : 1990; Date(s) de rédaction : 1998
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général