Dossier d’œuvre architecture IA53004357 | Réalisé par
Barreau Pierrick (Contributeur)
Barreau Pierrick

Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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  • enquête thématique départementale, rivière Mayenne
Demeure de villégiature dite château, Torcé
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Mayenne - Gorron
  • Commune Ambrières-les-Vallées
  • Lieu-dit Torcé
  • Cadastre 1837 B2 318 à 320  ; 2021 ZM 68 69
  • Précisions anciennement commune de Cigné
  • Dénominations
    demeure
  • Parties constituantes non étudiées
    écurie, communs, parc, portail, mur de clôture

Aux origines, la motte castrale

Le château des années 1900 ne reflète plus l’épaisseur historique du site, heureusement bien documentée grâce au chartrier de Torcé, réuni à celui de Lassay par le marquis de Beauchêne au XIXe siècle et conservé aux Archives départementales de la Mayenne. Ses origines remontent vraisemblablement au XIe siècle : le plus ancien document conservé concernant Torcé, daté de 1234, fait déjà référence aux prédécesseurs d’Hugues de Couterne dans la possession dudit fief et seigneurie. A la suite des Couterne, Torcé appartient à une famille qui en prend le nom, représentée à partir du début du XIVe siècle par Jean de Torcé, jusqu’à Guillaume de Torcé, dans la 2e moitié du XVe siècle. S'il est difficile d’être plus précis pour cette période, il faut néanmoins signaler que l’inféodation du lieu de Torcé intervient à l’époque où Guillaume le Bâtard, futur Guillaume le Conquérant, progresse vers le Maine et fait construire le premier château d’Ambrières, au détriment du Geoffroi de Mayenne. Le Passais est alors une zone convoitée par les ducs du Maine et les comtes de Normandie, et la frontière indécise est progressivement parsemée de mottes castrales en terre, dont plusieurs bordent la Mayenne.

La motte, fossés et douves de Torcé sont attestés jusqu’au XVIIIe siècle par les multiples aveux conservés. En revanche, elle semble avoir totalement disparu aujourd’hui, peut-être lors de l’aménagement du parc. On n’en relève guère de trace sur le plan cadastral napoléonien de 1837 : tout au plus observe-t-on, tout près de la Mayenne et de l’ancien moulin, une parcelle approximativement demi-circulaire. Peut-être s’agit-il d’un vestige de cette motte, dont les fossés auraient alors été alimentés en eau directement par la rivière, comme c’était le cas pour la motte du manoir voisin des Mortiers. La butte, dont le diamètre pourrait alors être extrapolé à une trentaine de mètres, gardait un passage à gué sur la Mayenne (depuis remplacé par un pont), comme c’est le cas aux Mortiers. Dans la hiérarchie féodale, Torcé relève, jusqu’en 1472, de la châtellenie d’Ambrières, dont il est le fief le plus important. Le seigneur de Torcé doit à son suzerain, le baron d’Ambrières, vingt jours de garde à la porte des Champs de la ville. Il bénéficie du droit de fondation et de patronage en l’église de Cigné.

Le manoir de la fin du Moyen Age

L’incertitude plane sur l’évolution architecturale du site pendant le Bas Moyen-Age, mais un manoir est bel et bien attesté au XVe siècle. En 1472, la seigneurie de Torcé se voit divisée entre Pierre de Bailleul et son neveu René de Sallaines. Le premier conserve le manoir et une partie de ses fiefs, dont Cigné ; le second rattache sa part de la seigneurie à son fief de Montcorbeau. Dès lors, la seigneurie de Torcé-Montcorbeau emporte la préséance féodale sur celle de Torcé qui devient sa vassale et doit lui rendre hommage. Jusqu’à la Révolution, le manoir passe, par mariage ou vente, dans les mains de nombreuses familles : aux de Bailleul succèdent les Mondot, les Montreuil, les de la Cigogne, les Frain de la Vrillière, les Tanquerel, les de Logé, les de Vaucelles, et enfin les de Courtilloles. La succession et la généalogie des différents propriétaires ont été établies avec une grande précision par l’abbé Durand dans ses travaux sur la féodalité à Cigné.

Sur le plan architectural, le manoir n'est connu que par les évocations succinctes des aveux et surtout par une montrée dressée suite à l’achat de la seigneurie de Torcé en 1762, par Françoise de Logé, elle-même dame de Torcé-Montcorbeau. Ce document semble décrire un bâtiment du XVe ou du XVIe siècle, avec cuisine et salle au rez-de-chaussée, deux chambres à l’étage, tour contenant l’escalier "construit à visce [vis] et marches de bois enserrées dans les murs de la tour". Une lucarne éclaire le grenier, la charpente "construitte que de vieux morceaux de bois de l’ancien bastiment" parait avoir été remaniée, la couverture est en ardoise. D’autres précisions sont apportées par les énumérations des différents aveux : les fossés et le pont-levis, le four, la grange et les étables, les moulins à blé et le "droit d’en mettre à draps", la garenne à connils (lapins), le droit de fuie à pigeons, comme les droits de chasse et de pêcherie sur la Mayenne. Sont également mentionnés les jardins, vergers, terres, étang et bois. Il est également question, de façon récurrente, d’un portail ancien, qui n’était plus en état d'usage mais pourtant conservé. Peut-être relevait-il d’une construction antérieure au manoir et revêtait, tout comme la motte, une dimension symbolique. Enfin, en 1694, Joachim de la Cigogne ajoute à son aveu "ma métairie nouvellement bastie en ma basse cour composée d’une maison manable avec cellier et estable".

Les évolutions du domaine au XIXe siècle

François-Louis de Courtilloles, seigneur de Torcé, lieutenant au baillage d’Alençon où il réside la plupart du temps, n’est pas inquiété pendant la Révolution et conserve ses biens. Sa fille et héritière épouse en 1813 Narcisse Guesdon de Beauchesne. L’état du manoir est inconnu à cette époque. On ne sait si la réfection, en vue de laquelle on avait dressé la montrée de 1762, fut effectivement réalisée et quelle fut son ampleur. L’abbé Durand suppose, apparemment sans preuve, que la manoir avait été remplacé par une nouvelle demeure vers l’époque de la Révolution. On constate sur le cadastre napoléonien de 1837, que le logis, apparemment dépourvu de sa tour, occupe très exactement la partie droite du château actuel. Les bâtiments de la métairie sont disposés à proximité, autour d’une cour distincte. Le moulin de Torcé existe toujours, il ne sera détruit qu’en 1879 d’après les matrices cadastrales.

De 1827 à 1895, Torcé appartient à la famille Guesdon de Beauchesne, également propriétaire du château de Lassay, et dont le représentant le plus illustre est René-Adalstan, célèbre pour ses travaux d’érudition sur l’histoire et les châteaux du nord-Mayenne. Si l’on en croit les matrices cadastrales, il serait l’auteur de la construction, en lieu et place du manoir de Torcé, d’une maison dont le style, atypique pour la région, semble s’inspirer des villas de Toscane. Selon le cadastre, cette construction est achevée en 1883 et portée aux registres en 1886. Elle nous est connue par une unique photographie : on y reconnaît, sous les habillages postérieurs, la partie droite du château actuel, avec un corps à trois travées et bow-window flanqué d’un pavillon à deux étages. Les décors d’origine, parement en pierres polygonales au rez-de-chaussée et frise de céramiques vernissées, ont totalement disparu, mais les volumes sont aisément reconnaissables. En revanche, il est plus difficile de dire si cette maison pouvait reprendre des éléments du manoir antérieur dont elle conservait le plan-masse.

La transformation en château par de riches industriels

La demeure prend finalement son visage actuel à la toute fin du XIXe siècle. Paradoxalement, ce n’est pas une famille aristocratique (les Guesdon de Beauchesne ayant vendu pour s’installer à Lassay dont ils avaient achevé la restauration), mais une famille d’industriels, les Salles, manufacturiers de toiles à La Ferté-Macé, qui donne à Torcé l’allure d’un château. On doit le rachat du domaine, en 1895, à Clovis Salles (1835-1897), puis les travaux d’agrandissement et d’embellissement, de 1897 à 1900, à son fils Francis Salles (1867-1914) et son épouse et cousine Hélène (1867-1933), qui signent les tirants de cheminées de leur monogramme formé de deux S entrelacés. L'acquisition et la rénovation de Torcé s'inscrit dans la constitution d'un vaste domaine foncier par la famille Salles qui possède également, en plus de l’usine et de la maison patronale à La Ferté-Macé, les châteaux de la Motte à Madré et de Durcet près de Flers, ainsi que de nombreuses fermes dans le Fertois et le Nord-Mayenne (notamment à Cigné et Melleray-la-Vallée), la plupart reconstruites et modernisées. La dynastie Salles et l'histoire de l'industrie textile à La Ferté-Macé ont fait l'objet d'études signés par l'historien Michel Louvel : d'après ses recherches, la transformation du domaine de Torcé est concomitante avec l'apogée du textile fertois, entre 1890 et 1910. Le choix d'un style architectural très éclectique et exubérant, en rupture avec les autres châteaux bordant la Mayenne où sobriété et symétrie sont de mise, témoigne de la volonté d'afficher dans la pierre la réussite de l'entreprise familiale.

Le chantier de Torcé, confié à l'architecte mayennais Jules Tessier, est documenté par des correspondances et factures conservées aux archives départementales de l'Orne dans l'important fonds de la famille Salles. On y relève l'intervention des entrepreneurs Jules Goualier fils, charpentier-couvreur à Lassay, Ed. Quellier maçon à Cigné, Legentil briquetier à Melleray, L. Chancerel ferblantier-zingueur. Le granite est fourni par la carrière Gouyet à Louvigné-du-Désert (Ille-et-Vilaine). L'entreprise Pont-Ollion Nicolet signe le dallage en ciment du vestibule au monogramme des Salles. Les plants et semences pour le jardin et le parc sont fournis par l'entreprise Levazeux à Mayenne. Certaines lettres illustrant les altercations entre l'architecte et les entrepreneurs sur le chantier sont assez savoureuses.

Clovis, puis son fils Francis, également à la tête de la florissante entreprise familiale, meurent prématurément, mais l’empreinte laissée en à peine quinze ans par la famille Salles sur Torcé est considérable. La demeure est agrandie vers l’ouest, les toitures sont réhaussées, un second pavillon est élevé sur la partie droite, de nombreux décors sont plaqués, dans un éclectisme mêlant styles classique et Renaissance. En plus du remaniement complet du château, la métairie est rasée, remplacée par de vastes écuries flambant neuves à partir de 1898 et une maison de gardien d’inspiration francilienne. Au nord du château, une ferme modèle est élevée ex-nihilo selon un plan rationalisé, avec logement au centre et dépendances dans les ailes. Torcé compte également un vaste chenil, la chasse tenant une place importante dans le train de vie de la famille Salles. Dès 1899, Francis Salles embauche un piqueur "pour lièvre, chasses à cour et à tir" ; la chasse à courre se pratique dans les forêts d'Ecouves et d'Andaine. Le château est conçu comme une résidence de villégiature à une distance raisonnable des affaires familiales, tout en étant au centre de son propre domaine agricole et de forêts giboyeuses. Néanmoins, d'après M. Louvel, il est dès son achèvement le lieu d'habitation de la veuve de Clovis Salles ; Francis semble quant à lui progressivement délaisser sa maison patronale de La Ferté-Macé et réside en alternance en son appartement parisien et à Torcé.

La succession de Francis Salles prévoit le partage des domaines familiaux entre ses trois enfants. L’héritière de Torcé, Hélène Salles, épouse en 1923 le comte Antoine du Pontavice des Renardières, alors officier de marine. La famille en fait sa résidence principale et administre le domaine tout en s'investissant dans la vie locale. Malgré la menace des bombardements sur le pont de Torcé pendant la Seconde guerre mondiale, les combats épargnent le château. Ces dernières années voient la restauration des écuries, transformées en habitation, et celle du château lui-même qui est actuellement en cours.

Le château de Torcé est implanté dans un site isolé la vallée de la Mayenne, au débouché d’un pont sur la rivière reliant Cigné à Lassay-les-Châteaux. Outre un vaste logis, il comprend des écuries et une maison de gardien inscrits dans un parc à l'anglaise clos de murs, accessible par deux portails à piliers. A quelque distance au nord, se trouve l'ancienne ferme-modèle aujourd'hui indépendante.

Le château

La construction, orientée au sud, est en moellons de granite enduits et couverte d'ardoise. C’est un ensemble imposant, juxtaposition complexe de volumes, pavillons, oriels, tours, enchevêtrement de toitures et de lucarnes. La construction est de style éclectique, mêlant éléments Renaissance et classiques, unifiés par les imposantes toitures, les souches de cheminée brique et pierre (certaines frappées du chiffre de la famille Salles), ainsi que les décors plaqués récurrents que sont les chaînages et encadrements plaqués, les bandeaux et les corniches en granite. Le château se compose, dans sa structure, de trois éléments principaux, deux corps de logis de part et d'autre d'un gros pavillon.

La partie droite présente trois travées : la porte d’entrée principale du château occupe la travée centrale, avec son encadrement saillant à bossages, son fronton en ailerons et son décor sculpté. Une grande baie est visible à gauche, tandis que les fenêtres de l’étage sont couvertes de larmiers en bâtière. La corniche à modillons supporte un garde-corps en pierre. Les deux lucarnes en pierre sont couvertes d’un demi-fronton triangulaire surmonté d’un petit fronton cintré, et ornées d’un motif sculpté. La troisième travée a été remaniée et surélever pour ressembler à un pavillon. L’étage en surcroît présente trois baies sous un même grand fronton cintré interrompu par une lucarne à fronton triangulaire servant de support à une horloge. Ce faux pavillon est habillé par deux oriels montant de fond, à deux et trois niveaux, dont les étages sont ouverts et surmontés de balcons en ferronnerie. Celui de la façade principale présente, à l’étage, des colonnes de style ionique ; celui du côté est, des baies cintrées.

Le gros pavillon central possède deux étages et un niveau de combles, une travée, des baies géminées au second étage, des lucarnes en pierre et en zinc au niveau du comble. Il est coiffé d’un haut toit en pavillon interrompu, dont la crête de couronnement ouvragée a disparu. C’est aussi la partie du château la moins ornée, avec seulement un petit décor sculpté au sommet des angles et la lucarne en pierre, cintrée, pourvue de pilastres, d’ailerons à volutes et d’un fronton triangulaire.

Une curieuse travée, percée à son sommet d’un oculus, et précédée au rez-de-chaussée d’un petit porche en bois (supportant primitivement un balcon), assure la transition avec le second corps de logis, à deux travées, placé sur la gauche. Il est coiffé d’une toiture à longs pans, cantonnée d’amortissements en forme de boules. L’étage présente un balcon filant en ferronnerie et le comble une grande lucarne à deux fenêtres et fronton triangulaire. Un oriel montant de fond, surmonté d’une terrasse à balustrade, est placé contre le mur-pignon est. Il présente, à l’étage, des baies cintrées et un décor sculpté.

Les cages d'escalier hors œuvre se greffent sur la façade postérieure, dans le prolongement des entrées du château : une tour carrée coiffée d’un toit en bâtière, dans l’axe de la porte principale du château, et une tour circulaire couronnée d’un dôme à clocheton placée au revers de la travée avec petit le porche en bois.

Les communs et la ferme modèle

Les bâtiments de service se distinguent fortement du château par leur style architectural et leur polychromie. La maison du gardien, inspirée des "chalets" de villégiature, présente une architecture d’apparence rustique, avec un soubassement orné d'un placage de pierres polygonales, des murs en moellons de granite bruns apparents, des bandeaux et des encadrements d’ouvertures en brique, une toiture largement débordante soutenue par des aisseliers en bois. Le mur-pignon est complété par une structure en bois formant porche et balcon, rappelant le petit porche en bois du château. Une tour d'escalier carrée, coiffée d’un toit en pavillon surmonté d’un épi de faîtage en zinc, est placée sur un angle.

Inspirées de celles des grands châteaux français du XVIIe ou du XVIIIe siècle, avec leur plan symétrique, les écuries comprennent un corps central, à toit à longs pans et à croupes, entre deux courtes ailes à toits brisés. Les murs alternent la pierre de taille, en solin et bandeaux, les assises de moellons de granite et de briques, ainsi qu’une corniche à modillons en briques. Le corps central présente des lucarnes passantes en bois, tandis que les ailes possèdent des lucarnes plus monumentales brique et pierre, coiffées de frontons triangulaires.

Située à environ 300 mètres au nord, la ferme-modèle (complétée par des constructions récentes) est bâtie en U autour d’une cour carrée. On y retrouve les moellons apparents et les encadrements de baies en brique, ainsi que les lucarnes passantes en bois. Le logement se trouve en fond de la cour, tandis que les dépendances agricoles occupent les ailes latérales.

  • Murs
    • granite moellon enduit
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée, 1 étage carré, étage de comble
  • Couvrements
    • charpente en bois apparente
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • toit en pavillon
    • dôme circulaire
  • État de conservation
    bon état
  • Techniques
    • sculpture
    • ferronnerie
  • Représentations
    • ornement architectural, fronton, pilastre, ordre ionique, balustre
    • ornement géométrique, sphère
    • ornement en forme d'objet, vase
    • ornement végétal
  • Précision représentations

    Frontons à volutes, triangulaires ou cintrés ornant la porte principale et les lucarnes (avec ou sans pilastres).

    Amortissements à sphères et en forme de vases.

    Colonnes ioniques à l'étage de l'oriel principal.

    Garde-corps en ferronnerie à motifs végétaux, ou à balustres en pierre.

  • Statut de la propriété
    propriété privée

Documents d'archives

  • Archives départementales de la Mayenne ; 138 J 225. Chartrier de Lassay, aveux de la seigneurie de Torcé rendus à la baronnie d’Ambrières, 1396-1456.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 138 J 229. Chartrier de Lassay, titres de propriété de la seigneurie de Torcé, acquêts, échanges, mémoire, 1472-1676.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 138 J 233. Chartrier de Lassay, seigneurie de Torcé : aveux, hommages, procédures, 1512-1758.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 138 J 261. Chartrier de Lassay, titres de propriété de la seigneurie de Torcé-Montcorbeau, acquisition de la seigneurie de Torcé par Françoise de Logé, 1474-1763.

  • Archives départementales de la Mayenne ; MS 80/10-3. Monographie communale de Cigné, par l'instituteur Legendre, 1899.

  • Archives départementales de la Mayenne ; 3 P 109-110, 536, 1446. Matrices cadastrales, registres des augmentations et diminutions de construction de la commune de Cigné, XIXe-XXe siècles.

  • Archives départementales de l'Orne ; 260 J 185, 310, 341. Fonds de la famille Salles : correspondance et factures diverses, concernant entre autres les travaux du château de Torcé à Cigné, 1897-1900.

Bibliographie

  • ANGOT, Alphonse (abbé). Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne. Laval : Goupil, 1902.

  • DENIS, Michel. Les royalistes de la Mayenne et le monde moderne (XIXe-XXe siècles). Paris : C. Klincksieck, 1977.

    p. 35
  • DURAND, Albert (abbé). Cigné au cours des âges, t. 1, la féodalité. Laval : R. Madiot, 1972.

    p. 11-80
  • LE PAIGE, André-René. Dictionnaire topographique, historique, généalogique et bibliographique de la province et du diocèse du Maine. Le Mans : Toutain, 1777.

  • SOCIETE D'ARCHEOLOGIE ET D'HISTOIRE DE LA MAYENNE. Ambrières et Cigné entre Maine et Normandie. Condé-en-Normandie : Corlet, 2020.

    p. 120

Périodiques

  • LOUVEL, Michel. La famille Salles à La Ferté-Macé. Le Pays Bas-Normand, t. 317-318, 2020.

    p. 104

Documents figurés

  • Collection de cartes postales anciennes des communes de la Mayenne. (Archives départementales de la Mayenne ; 5 Fi).

  • Plan cadastral napoléonien d'Ambrières-les-Vallées (communes d'Ambrières et de Cigné), 1837. (Archives départementales de la Mayenne ; 3 P 2666.)

Date(s) d'enquête : 2021; Date(s) de rédaction : 2021
(c) Conseil départemental de la Mayenne
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
Barreau Pierrick
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Chercheur auprès du Pays du Perche sarthois jusqu'en octobre 2020. Depuis novembre 2020, chercheur auprès du Conseil départemental de la Mayenne.

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