Dossier d’œuvre architecture IA72001375 | Réalisé par
Aquilon Stéphanie (Contributeur)
Aquilon Stéphanie

Chargée de mission Inventaire du Patrimoine PETR Pays Vallée du Loir

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  • inventaire topographique
Château de la Flotte, ermitage de Camaldules (détruit)
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Vallée du Loir - La Chartre-sur-le-Loir
  • Commune Lavenay
  • Lieu-dit la Flotte
  • Cadastre 1816 C 612  ; 2010 AE 64
  • Dénominations
    château, ermitage
  • Parties constituantes non étudiées
    communs, orangerie, chenil, ermitage, écurie, pigeonnier, chapelle, sellerie, logement

La seigneurie de la Flotte relevait de la terre, fief et seigneurie de Monthodon à Savigny-sur-Braye [aujourd'hui dans le département du Loir-et-Cher). Elle fut érigée en baronnie à une date inconnue, semble-t-il au XVIe siècle. Elle avait droit de haute justice (prisons mentionnées en archives).

Un premier seigneur de la Flotte, Godefroy da Flotta, est cité à la limite des XIIe et XIIIe siècles. Au XVe siècle, Thomine de Villiers (décédée en 1518) apporte la Flotte à la famille du Bellay en épousant Jean du Bellay (1445-1522). Ce dernier fonde une chapelle seigneuriale dédiée à saint Jean-Baptiste en 1492. Le château est probablement reconstruit à la fin du XVe siècle ou au XVIe siècle par la famille du Bellay. Les extraits d'un inventaire du château en 1551, issus du chartrier de la Flotte, mentionnent en effet pour l'essentiel les salles du rez-de-chaussée que l'on retrouve par la suite : la salle, la chambre basse, la sallette, la chambre du bout près le porche, la boulangerie, la chambre de la boulangerie, la petite chambre du cabinet sur la dépense, la chambre [dite] de Mailly, la chambre du milieu, la chambre de l'Ange, la chambre neuve, la, cuisine, la dépense, la petite dépense, l'écurie, l'autre maison.

En 1608, la Flotte passe par alliance aux Hautefort : Renée du Bellay, fille de René du Bellay, épouse Charles de Hautefort.

L'épisode des Camaldules

De 1648 à 1767, un ermitage de Camaldules fonctionne à la Flotte. Catherine Le Vayer de Lignerolles, veuve de René II du Bellay, chevalier des ordres du Roi, baron et seigneur de La Flotte, lieutenant pour le Roi au gouvernement du Maine et du Perche et gouverneur de la ville d'Amiens, dame d'atours de la Reine, régente, mère du Roi, dote les religieux de bois, terres et vignes, et leur permet de s'installer sur un terrain à l'ouest du château. L'enclos compte la chapelle Notre-Dame de Consolation de la Flotte, quelques cellules, une cour, un jardin. En 1767, les Camaldules (jansénistes) quittent la Flotte pour rejoindre les Camaldules de Saint-Gilles de Bessé(-sur-Braye). Leur mobilier est transporté à la Gavolerie, les revenus et terres attribués au couvent de Saint-Gilles.

À la Révolution, le 4 pluviose an II (23 janvier 1794), ce qui subsiste des Camaldules de la Flotte (bâtiments, enclos, terres, vignes) est déclaré bien national, estimé puis adjugé pour 39 100 francs à François [de] Mainville pour sa femme Elisabeth Louise Massue, propriétaires du château de La Chapelle-Gaugain.

La Flotte à la fin du XVIIe siècle

Le plan de la Flotte dressé vers la fin du XVIIe siècle par l'érudit voyageur Roger de Gaignières est à comparer avec l'aveu et dénombrement des 20 et 21 août 1685, rendu par Gilles, marquis d'Hautefort et de Surville, à François Michel le Tellier, chevalier, marquis de Louvois et de Courtanvaux, seigneur du fief et seigneurie de Monthodon [à Savigny-sur-Braye] et autres lieux, pour la terre de la Flotte : le chasteau de ladite baronnie de la Flotte composé d'un grand corps de logis, une grande salle, une chambre au bout et une antichambre avec un appartement appelé le Trésor au coin de la cheminée, trois hautes chambres de plain-pied, un grand escalier sous forme de tourelle pour y monter, grenier et comble dessus, cave dessous. Autre bastiment non achevé appelé les bastiments neufs et une vieille fuie donnant bout du côté des Camaldules, etc. Est également mentionnée une fuie édifiée trente ans auparavant, soit vers 1655 (tour circulaire ?).

Selon le plan de Roger de Gaignières, le domaine se compose ainsi d'un logis (rez-de-chaussée distribué d'est en ouest d'une salle avec accès à l'escalier en vis hors-oeuvre, d'une chambre avec garde-robe et cabinet, d'une salle dite à bâtir) sur le bord de la plate-forme, d'une première cour (dite cour du château), d'une galerie couverte à l'est de cette cour reliant le logis à une aile de service au coeur de la cour (distribuée d'une cuisine, d'un vestibule traversant de la cour du château à la basse-cour, d'une boulangerie avec four à pain, d'une très petite salle, d'une espace ouvert, d'une grange à foin), d'une seconde cour (dite basse-cour) et finalement d'une aile de communs appuyée contre le coteau dit montagne (abritant une bergerie, une écurie, une grange à blé). Au-delà, un escalier permet de monter au potager sur le coteau. La chapelle Saint-Jean-Baptiste et un petit logement figurent à l'est au-devant d'une avant-cour. A l'ouest s'étirent la forêt et deux allées menant chez les Camaldules. La tour circulaire (première fuie ?) est dite ruinée.

Il est déjà difficile de restituer avec certitude le chemin d'accès au château : il n'est pas impossible qu'on ait privilégié à l'origine l'accès occidental avant l'installation des Camaldules. En effet, l'origine l'accès occidental avant l'installation des Camaldules. En effet, ce plan de Gaignières révèle que les accès à la basse-cour et à la cour du château sont situés à l'ouest. Premier scénario : on démontait devant la porte de la cour du château, puis on descendait trois marches. On pénétrait dans la cour : la galerie se trouvait au fond et le logis sur la droite. Deuxième scénario : on pénétrait en voiture ou à cheval dans la basse-cour par un porche couvert puis on rejoignait la porte d'entrée de la cour (cf. ci-dessus) ou bien on traversait l'aile de service par le vestibule, et on débouchait dans la cour en descendant également trois marches : la galerie se trouvait sur la gauche et le logis en face.

Le 11 septembre 1741, la Flotte est vendue par Emmanuel marquis de Hautefort (…) à Joseph Gabriel Le Coigneux, chevalier, seigneur de la Roche Turpin, capitaine au régiment dragon de Vibray, mineur [qui décède en 1743]. En 1764, le domaine passe par alliance aux la Rochebousseau par le mariage de Gabrielle Elisabeth Le Coigneux (1739-1776), demi-sœur de Joseph Gabriel Le Coigneux, avec Louis Marie Joseph de Fesques (1725-1794), marquis de la Roche Bousseau. Gabriel François Alexandre de Fesques (1765-1820), leur fils, est marquis de La Rochebousseau, baron de la Flotte, seigneur de la Roche Turpin. Il épouse en 1800 Augustine Jeanne, comtesse de Bavière Grosberg (1777-1867).

En 1816, le cadastre napoléonien présente un ensemble castral en partie mutilé : la galerie, la grande cuisine et le mur oriental de la basse-cour ont été démolis.

En 1825, un plan et une élévation du logis signés Bourgeois révèlent que l'édifice est, côté ouest, en partie ruiné ou plutôt inachevé (le projet de la fin du XVIIe siècle n'ayant probablement pas vu le jour). Les élévations, sans aucun décor, sont sensiblement différentes de celles que l'on voit aujourd'hui : côté cour, deux travées de baies à gauche de la tour d'escalier, deux travées de baies plus une porte à droite de la tour d'escalier. C'est quelques années plus tard, à l'époque du fils aîné de Gabriel François et Augustine Jeanne, Albert Ferdinand Eugène de Fesques de la Rochebousseau (1801-1853), qui épouse en 1829 Marie Léontine Colbert de Maulévrier (1808-1877), que le château est mis au goût du jour. Le couple est également très actif pour la commune de Lavenay et l'église paroissiale.

Le revival néo-gothique

A partir de 1838, le domaine est ainsi recomposé par l'architecte Pierre-Félix Delarue, qui détruit une partie des bâtiments (l'aile de service) au centre de la cour, isole le logis sur la plate-forme, termine le projet du XVIIe siècle, et donne à tout l'ensemble un style gothique revival. Il fait modifier toutes les baies du logis pour créer des travées, qu'il prolonge par des lucarnes, et orne le tout dans un style troubadour foisonnant. Il ajoute des corniches. Côté cour, il transforme la grosse tour circulaire en chapelle en 1838. Il crée un avant-corps en pierre de taille qui offre une petite terrasse à l'étage.

Coté vallée, il cantonne le logis avec deux hautes tourelles à faux mâchicoulis et balcons. Prenant en compte le grand paysage de la vallée du Loir, il ajoute un balcon porté par deux arcades en anse de panier, formant un avant-corps au-devant des deux travées centrales encadrées de pilastres terminés en hauts gâbles (détruits aujourd'hui comme les hautes lucarnes sur ce même côté vallée). Les communs de fond de cour sont également remaniés et régularisés dans un style néoclassique, avec des baies cintrées soulignées par des chaînes de pierre. Le résultat est photographié à la charnière des XIXe et XXe siècles par Gustave William Lemaire.

Autour de 1900 sont bâtis une orangerie à l'est en contrebas du logis, le domaine des écuries à l'est en surplomb du château, le tout en pierre de taille de tuffeau dans un style néo-classique.

  • Période(s)
    • Principale : 16e siècle, 17e siècle, 2e quart 19e siècle, limite 19e siècle 20e siècle
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Delarue Pierre-Félix
      Delarue Pierre-Félix

      Pierre Félix Delarue (1795-1873). Architecte diocésain et architecte départemental très actif. Succède à son oncle comme architecte départemental de l'Orne, à partir de 1818. En 1824, il devient également architecte départemental de la Sarthe. Il emménage alors au Mans. Il a réalisé et restauré de nombreuses demeures en Sarthe, en Mayenne, en Loir-et-Cher. Quitte ses fonctions pour s'installer à Paris à la mort de sa femme en 1863.

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      architecte départemental attribution par travaux historiques

Le domaine est implanté à mi-coteau, sur le versant de la rive droite du Loir, qu'il domine. Il est visible au loin depuis Couture-sur-Loir (Loir-et-Cher), en rive gauche du Loir. L'accès est latéral, par l'est. Sur la plate-forme terrassée subsistent le logis et la grosse tour ronde (peut-être le premier pigeonnier ou fuie), au-devant d'une large cour bordée par de grands communs, que prolongent à l'est les vestiges du mur sur lequel s'appuyaient la chapelle Saint-Jean-Baptiste et un petit logis, et bien au-delà les écuries, avec bâtiment d'écurie, sellerie et logis en surplomb d'une grande fosse. Il subsiste encore au-delà, en montant vers le nord, deux piles en pierre de tuffeau matérialisant l'entrée du domaine lorsque l'on vient de la métairie de la Botterie. À l'est, il reste des traces de la seconde fuie (vers 1655), des vestiges de l'orangerie, et à l'ouest, à l'orée du bois, il y a une maison de garde, au-devant du site qui autrefois avait été alloué aux Camaldules.

Le château comprend un logis de plan allongé avec un pavillon en retour d'équerre à l'est côté cour. Le logis de plan allongé s'élève sur trois niveaux côté vallée (étage de soubassement avec caves voûtées à l'est, rez-de-chaussée, étage carré), deux niveaux côté cour, le tout sous des combles couverts d'un toit à longs pans à croupes.

Au sud côté vallée, il présente huit travées ordonnancées et il est cantonné de deux tourelles. Au nord côté cour, il présente huit travées ordonnancées et il est cantonné à l'est d'un pavillon en retour d'équerre faisant comme un pendant à la tour circulaire transformée en chapelle. L'étage du logis est desservi par un escalier en vis en pierre logé dans une tourelle à pans coupés côté cour. L'ensemble joue avec le dénivelé, qui offre un niveau supplémentaire de soubassement côté vallée.

En fond de cour, les communs sont composés d'un bâtiment de plan longitudinal à deux niveaux (étables et fenils) encadré par deux ailes imposantes traitées en pavillon à trois niveaux (l'aile est avec souche de cheminée).

Le logis et les communs sont construits en moellons de calcaire et de silex enduits à chaux et à sable. Les murs des ailes des communs refaits au XIXe siècle, la façade de l'orangerie, sont en pierre de taille de tuffeau. Les chaînes d'angle, les encadrements de baie, les corniches y compris sur les communs, sont en pierre de taille de tuffeau, le décor sculpté du XIXe siècle est également en tuffeau. Les toits sont couverts en ardoise.

  • Murs
    • calcaire moellon enduit
    • silex moellon enduit
    • calcaire pierre de taille
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée, 1 étage carré, 2 étages carrés
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée, élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • toit à longs pans croupe
    • toit conique
    • toit en pavillon
    • toit polygonal
  • Escaliers
    • escalier hors-œuvre : escalier en vis en maçonnerie
  • Techniques
    • sculpture
  • Statut de la propriété
    propriété privée

Documents d'archives

  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; E 116 : 1492-1676. seigneurie de la Flotte.

    château, Justice, greffe et assises de la Flotte
  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; E 117. 1676-1741 : seigneurie de la Flotte.

    château, moulin, justice, vendanges
  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; E 118. 1448-1778 : seigneurie de la Flotte.

    justice ; écluses, pêcheries, bac
  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; E 119. 1308-1759 : inventaire des titres de la seigneurie de la Flotte (1er volume).

    titres de propriété, titres de famille et honorifiques, charges de la terre de la Flotte
  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; E 120. 1409-1734 : inventaire des titres de la seigneurie de la Flotte (2e volume).

    eaux et forêts, baux de la rivière du Loir, arpentages et devis de réparation, baux, aveux et dénombrements, déclarations, acquisitions
  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; E 121. 1342-1701 : inventaire des titres et papiers de la seigneurie de Bréhault.

    Bréhault : titres, aveux, héritages, acquisitions, déclarations
  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; E 107. Seigneurie de La Roche-Turpin. Foi et hommages.

    François Le Coigneux, François de Fesques marquis de la Rochebousseau
  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; E 96. 1721-1782 : fief d'Arthins.

    Gabriel Le Coigneux, chevalier, brigadier des armées du roi
  • Archives départementales de la Sarthe ; E 124. 1339-1689, inventaire des titres et papiers du fief des Trois-Seigneurs relevant de Maisoncelles, du fief de Girardet (ou Crueil) à Sougé relevant de Chalumeau (?), du fief de Thury relevant de Poncé.

  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; E 136. 1390-1684 (ou 1634), fief de Thury.

    Isabeau dame de la Flotte, Jean du Bellay et Thomine de Villiers sa femme
  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; E 145. 1447-1751, baux à ferme, seigneurie de La Roche-Turpin.

    PV dégats châteaux métaires et autres bâtiments des seigneuries et dép. La Roche-Turpin et La Flotte par tempête nuit du 14 au 15 mars 1751
  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; E 275. 1520-XVIIIe s., seigneurie de la Flotte, du Bellay.

    Jean du Bellay, pêcheries de la Flotte
  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; E 127. 1461-1634, fief de Girardet (ou Croil) paroisse de Sougé.

    Jean du Bellay seigneur de la Flotte
  • AD Sarthes ; série GG. (Relevé de Baptêmes, Mariages, Sépultures), Lavenay.

  • Archives départementales de la Sarthe ; entrée n° 20140100. Registre d'aveux de la baronnie de la Flotte, 135 pages. 20, 21 août 1685.

  • Archives Nationales ; CARAN : MC / ET / Li 925. Vente de la Flotte, 11 septembre 1741.

    Vente de la terre et seigneurie de la Flotte, 11 septembre 1741
  • Archives du Cogner (J. Chappée - Le Mans). Série E, art.1-144. Publié avec le concours de l'abbé L.-J. Denis. Paris : H. Champion ; Le Mans : A. de Saint-Denis, 1905.

  • Archives départementales du Loir-et-Cher ; 1 Fi 223/1. La Flotte, bois de Bréhault, Vauchallon, Bruleu [plan terrier partiel de la seigneurie de la Flotte, XVIIIe s.].

    la Flotte, les Camaldules, la Botterie

Bibliographie

  • BABELON, Jean-Pierre. Châteaux de France au siècle de la Renaissance. Paris : Flammarion/Picard, 1989.

    p. 751
  • BARRÉ DE SAINT-VENANT, Raoul de. Dictionnaire topographique, historique, biographique, généalogique et héraldique du Vendômois et de l'arrondissement de Vendôme. Bruxelles : éditions Culture et civilisation, rééd. 1978, 4 tomes, 1ère éd. Vendôme 1912-1917.

    https://www.vendomois.fr/societeArcheologique/actualites/dictionnaire.html

    t. 2 : F-N. la Flotte p. 28-29.
  • CASTEL, Damien. Pierre Félix Delarue (1795-1873) architecte. Le Mans : Cabinet de Fromentières / Recherches en archives & études architecturales, 2013.

  • CLÉMENT, Paul. Château, terre et seigneurie de la Flotte. Vendôme : impr. Launay & fils, 1909.

  • FROGER, Louis. Les Camaldules au Maine, Revue historique et archéologique du Maine : Saint-Gilles de Bessé, t. 2, 1877. Notre-Dame de la Consolation de la Flotte, tome IX, 1881. (Archives départementales de la Sarthe).

    Camaldules, ND de la Consolation de la Flotte
  • DE CUMONT, Marie (marquise), Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord, Limousin, Picardie et Vivarais, Niort, 1898.

  • ISNARD, Isabelle. Châteaux de la Sarthe vus et dessinés par le baron O. de Wismes de 1854 à 1862, MM sous dir. Michèle Ménard, Université du Maine, 1987. (Archives départementales de la Sarthe).

  • LASSUS, Louis-Albert. Vie et mort de deux ermitages camaldules du Maine, 1. Sainte-Marie de la Flotte (1648-1767), dans La Province du Maine [1925 en cours], 5e série, t. IV. (Archives départementales de la Sarthe).

    p. 113-126
  • PESCHE, Julien-Rémy. Dictionnaire topographique, historique et statistique de la Sarthe, Le Mans, 1836.

  • WISMES, Olivier (de). Le Maine historique, archéologique et pittoresque – Recueil des sites et des monuments les plus remarquables sous le rapport de l’art et de l’histoire, des départements entiers de la Sarthe et de la Mayenne, dessinés par le baron de Wismes, lithographiés par les meilleurs artistes de Paris, et accompagnés d’un texte historique, archéologique et descriptif par le baron de Wismes, Impr. Forest et Grimaud : Auguste Bry, Nantes/Paris. T. 1, 1862. (Archives départementales de la Sarthe).

Documents figurés

  • GAIGNIÈRES, Roger de. Plan du chasteau de La Flotte : [dessin]. Dessin : plume et encre de Chine ; 40,2 x 49,5 cm. (Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie ; EST VA-72 (1).

    http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb405596455

  • Plan géométrique du chemin de La Chartre à Ruillé et à Bessé. 1785. (Archives départementales de la Sarthe ; C additif 163).

    la Flotte
  • Plan géométrique du chemin de La Chartre aux bourgs de Ruillé, Poncé et Bessé, n° 1, 1 cm pour 50 m, après 1795. (Archives départementales de la Sarthe ; C ADD 161).

Annexes

  • Aveu et dénombrement pour la baronnie de Flotte, 1685
  • Vente de la Flotte, 1741
Date(s) d'enquête : 2014; Date(s) de rédaction : 2014
(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général
(c) Pays Vallée du Loir
Aquilon Stéphanie
Aquilon Stéphanie

Chargée de mission Inventaire du Patrimoine PETR Pays Vallée du Loir

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